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Extrait ajouté par Manouca76 2017-03-25T21:40:10+01:00

Son ton badin réveille tout mon corps. Eh merde ! S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît, dites-moi qu'elle est bien en train de dire ce que je crois qu'elle dit.

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Extrait ajouté par Steph-Anie 2017-01-16T08:07:02+01:00

Quand il m'embrasse, ça n'a rien à voir avec nos précédentes rencontres. Celles-là étaient brutales, charnelles et remplies de sexe. Ce baiser-ci est doux comme un pétale de fleur, sucré comme le sirop qui enveloppe ses paroles. C'est comme s'il en versait sur moi des litres. Chaque pression de ses lèvres sur les miennes me rappelle qu'il ne me donnera que ce dont j'ai besoin.

Et c'est ce baiser. Ce tendre, ce doux baiser qui m'effraye encore plus que tout ce que j'ai pu sentir jusqu'à présent.

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Extrait ajouté par Corinne-116 2022-05-27T16:16:44+02:00

« Je recommence. Encore. Encore et encore. Ses yeux se baissent sur nos mains jointes et s’élargissent comme si, tout à coup, elle se rendait compte que nous nous touchons depuis près de dix minutes. Je me penche vers elle et je frotte doucement le bord extérieur du lobe de son oreille du bout de mon nez, en remplissant mes poumons de son parfum épicé. Je pourrais rester ainsi toute la journée. Il y a quelque chose de jouissif à faire traîner les choses, jusqu’à ce que ça devienne presque douloureux. Cela rend la jouissance encore plus explosive. J’ai l’impression que faire l’amour avec Sabrina James va me faire grimper aux rideaux. »

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Extrait ajouté par Lucifera999 2021-05-07T09:40:47+02:00

Ça me bouleverse de la voir dans cet état. Mon côté bon Samaritain se réveille pendant que je lui pose un gant sur le front.

- Tu vomis comme ça depuis combien de temps ?

- Je ne sais pas. Un moment. J'ai attrapé un virus. C'est Nana qui me l'a refilé. Il faut attendre un peu. Je me sentirais mieux dans une heure ou deux.

- Tu as de la fièvre ? Tu veux une aspirine ?

Je pose le dos de ma main sur son visage. Il ne semble pas chaud.

- Je n'ai pas de fièvre, je suis juste barbouillée et fatiguée.

A ces mots, une sonnette d'alarme retentit dans un coin de ma tête.

En me mordant l'intérieur de la joue, je passe en revue ses symptômes.

Le fait qu'elle soit malade au réveil, l'amélioration de son état l'après-midi, ses seins hypersensibles, son impression de fatigue. Le fait qu'elle n'a pas eu ses règles, ou du moins n'en a pas parlé, depuis les deux mois que nous baisons ensemble.

- Tu n'es pas enceinte ? je luis lance à brûle-pourpoint.

Ses paupières papillonnent de surprise.

- Quoi ?

- Enceinte.

J'énumère à haute voix ses symptômes sur mes doigts, en terminant pas l'absence de règles.

- Mais non. J'ai eu mes règles... (Elle se met à réfléchir. Et devient toute pâle.) Il y a à peu près trois mois, murmure-t-elle. Mais j'ai toujours eu des règles très irrégulières, même avec la pilule. Et j'ai un peu saigné ces deux derniers mois. Je pensais que...

Je me lève et récupère mes vêtements.

- Où vas-tu ? chuchote-t-elle.

- Je vais à la pharmacie acheter un test de grossesse.

P.271 à 273

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Extrait ajouté par Maryann7002 2021-03-13T04:32:44+01:00

TUCKER

Dean est un dragueur.

Les nanas adorent Dean.

Allie est une nana.

Par conséquent, Dean a baisé avec Allie. 

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Extrait ajouté par leclipsa 2020-01-23T13:33:45+01:00

– Depuis quand ? je ne peux m’empêcher de lui demander. Quand t’es tu rendu compte que tu étais amoureuse de moi ?

– Je ne sais pas. Peut-être lors de cette sortie à quatre débile ? Peut-être quand tu as pris soin de moi lorsque je croyais que j’étais malade ?

Quand tu m’as offert la sacoche ? Quand tu as cogné Ray pour me défendre ? (Chaque mot que je prononce m’étonne moi-même.) Je ne sais pas exactement depuis quand, Tuck, mais je sais que je t’aime.

J’ai la gorge nouée.

– Pourquoi tu ne me l’as pas dit plus tôt ?

– Parce que j’avais peur. Et parce que je n’étais pas certaine que tu m’aimes en retour…

– Tu te moques de moi ? J’ai perdu la tête dès l’instant où je t’ai vue. Tu le sais.

Elle relève le menton.

– J’ai cru que tu ne pensais qu’à ta queue. C’est ce que font les garçons, en général.

Je le lui accorde. Mais je n’ai jamais été comme ça, moi.

– Et ensuite, je suis tombée enceinte, et j’avais peur que tu mélanges tes sentiments pour le bébé avec tes sentiments pour moi. (Elle passe une main dans ses cheveux.) Mais le plus grand truc, c’est… que je…

Je lui caresse les hanches.

– Que tu ?

Ses yeux sont pleins de larmes.

– Je ne voulais être celle qui allait foutre ta vie en l’air. Je t’ai déjà

fait devenir père bien plus tôt que tu l’imaginais. Je ne voulais pas tout compliquer. Je ne voulais pas… (Elle cligne des yeux.) Je ne voulais pas que tu te réveilles un matin et que tu me détestes.

–Te détester ? Seigneur, ma puce. (Je la serre fort dans mes bras, je plonge la tête au creux de son cou.) Tu ne comprends toujours pas, n’est-ce pas ?

– Quoi ? demande-t-elle d’une petite voix.

– Toi. Moi. Nous. Ça.

Je lui balance les choses au fur et mesure qu’elles me passent par la tête.

– C’est toi que j’aime, Sabrina. Il n’y a personne d’autre que toi. Si je te croisais au bord de la route en conduisant ? Tu peux me croire, j’arracherais une, voire deux bougies de ma bagnole pour pouvoir passer ne serait-ce que cinq secondes avec toi. Putain, c’est toi que je veux, et aucune autre.

Sa respiration devient saccadée.

– Même si tu ne m’avais pas donné Jamie qui, cela dit, est le putain de plus beau cadeau au monde, je voudrais quand même vivre avec toi. Même si tu ne m’avais pas dit que toi aussi tu m’aimais, je me contenterais de la moindre miette que tu voudrais bien me donner, pourvu que je reste avec toi. Je me fous complètement de te paraître pathétique…

– Tu n’es pas pathétique. Jamais tu ne seras pathétique.

– Ça me serait totalement égal que tu le penses.

J’attrape son visage et j’essuie ses larmes avec mes pouces.

– Tu es la meilleure chose qui me soit jamais arrivée, Sabrina James.

– Non. Elle sourit. C’est toi la meilleure chose qui me sois jamais arrivée.

Avant que j’aie pu me pencher pour l’embrasser, un cri familier retentit dans l’appartement.

– Et ça, je murmure, c’est la meilleure chose qui nous soit arrivée à tous les deux.

Une larme s’échappe de ses paupières et coule doucement sur sa joue.

– Oui, c’est vrai.

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Extrait ajouté par leclipsa 2020-01-23T13:31:38+01:00

– Tu rentres au Texas après la remise des diplômes ou tu restes pour l’été ?

En entendant la question de Logan, je sens un nœud se resserrer dans ma poitrine.

– Je ne sais pas encore. Ça dépendra des opportunités qui s’offrent à

moi.

Non, cela dépendra de si ma copine décide de garder ou non mon enfant. Mais l’autre option est vraie aussi, j’imagine.

– Je continue à penser que tu devrais ouvrir un restaurant, plaisante

Hannah. Tu pourrais trouver des noms avec Tucker pour tous tes plats.

– Nan. J’aimerais bien être chef cuistot. Mais je n’ai pas envie de subir la pression d’un restau. Des restaurants ferment tous les jours…

C’est trop risqué.

Je vais tenter d’être prudent avec l’argent qui me vient de l’assurance vie de mon père. J’économise depuis des années et je ne suis pas sûr de vouloir tout miser dans un restaurant.

Mais ce n’est pas comme si j’avais une foule d’autres idées non plus.

Il vaudrait mieux que je trouve quelque chose, et vite. La remise des diplômes approche. La vraie vie va commencer. Ma copine est enceinte.

J’ai des millions de décisions à prendre, mais pour l’instant, je suis dans le flou total.

Je ne peux pas prendre la moindre décision. Pas temps que Sabrina n’a pas pris la plus importante de toutes.

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Extrait ajouté par leclipsa 2020-01-23T13:30:25+01:00

J’en ai assez. J’en ai vraiment marre. J’ai envie de parler de Sabrina à mes potes. J’ai envie de leur parler du bébé et de leur demander conseil, mais elle m’a fait promettre de ne rien dire jusqu’à ce que nous ayons pris une décision. En même temps, si la décision consiste à ne pas garder le bébé, ce n’est pas la peine de leur en parler. Et puis, qu’est-ce que je dirais ? J’ai mis quelqu’un en cloque mais elle a avorté, donc il n’y a rien à dire !

Je déglutis, j’ai la bouche soudainement sèche. Je ne sais pas comment j’en suis arrivé là. Mes potes se moquent de mon côté boyscout, et honnêtement, je pensais avoir bien intégré le plan « toujours prêt ». Mais il a suffi d’une seule erreur et je pourrais me retrouver père.

J’ai vingt-deux ans, merde.

Je ne sais pas si j’en suis capable.

Des bulles de panique me prennent la gorge. Je suis un mec patient.

Un roc. La tête bien sur les épaules. J’ai envie d’avoir une famille, un jour. Je veux des enfants, et une femme, et un chien, et une putain de barrière autour de ma petite maison. Je veux tout ça… Un jour.

Pas aujourd’hui. Pas dans neuf mois. Pas…

Peut-être que tu n’auras pas le choix.

Merde.

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Extrait ajouté par leclipsa 2020-01-23T13:30:08+01:00

J’avais toujours cru que si jamais je mettais une fille enceinte, je pourrais me confier à mes amis. Mais ça fait déjà presque une semaine que je le sais, et je n’en ai parlé à personne. En réalité, personne ne sait que j’ai une petite amie. Moi non plus, d’ailleurs.

Depuis que Sabrina a fait pipi sur trois bandelettes tests et qu’elles ont toutes les trois été positives, elle m’évite. On s’envoie des textos chaque jour, mais elle m’affirme qu’elle est trop prise pour me voir, qu’elle veut s’avancer pour le prochain semestre. J’ai essayé de lui donner du temps, elle semble visiblement en avoir besoin, mais je commence à perdre patience.

Il faut vraiment que nous nous voyions pour parler de tout ça. Parce que, quand même, il s’agit d’un possible bébé. Un bébé. Jésus. Ça me fout les jetons. Je suis pourtant du genre imperturbable, de celui qui peut supporter d’être secoué et remonté comme un coucou, mais la seule chose qui fait tic-tac en ce moment, c’est mon cœur qui bat deux fois plus vite que la normale.

Je n’ai pas la moindre idée de la façon dont je dois gérer ça.

Sabrina a dit qu’elle ne pouvait pas avoir d’enfant et je l’épaulerai quoi qu’elle décide de faire, mais je voudrais être partie prenante de sa réflexion, bordel. Ça me démolit de savoir qu’elle traverse tout ça toute seule.

Elle a besoin de moi.

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– Alors pourquoi suis-je là ?

– Parce que tu m’aimes et que tu ne veux pas dormir sur le canapé, répond Hope doucement.

– Ce n’est pas un canapé, Hope. C’est un bout de bois avec de la mousse dessus.

Je glousse. Le nouvel appartement de Hope à Boston est bourré de trucs qu’elle a trouvés dans le grenier de sa grand-mère, qui contient suffisamment de meubles pour remplir trois maisons environ.

– C’est un Saarinen d’origine.

– Ça n’en fait pas pour autant un canapé, insiste-t-il.

Mais Hop ne lâche rien :

– Assieds-toi dessus. Il y a trois coussins. C’est donc un canapé.

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