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Liste des extraits

-voila! s'exclama Pavel en poussant l'une d'elles d'un air plus que ravi.

il se poussa pour leur laisser le passage.

-euh... oui... super, Papa c'est... une très jolie chambre... bredouilla Oksa.

La chambre était effectivement meublée avec gout, avec sa commode rouge, ses fauteuils beiges en forme d'œuf, sa lampe de sol ronde et blanche comme une pleine lune... et son lit a deux places.

-C'est votre chambre, dit Pavel.

Oksa le dévisagea, les sourcils froncés. Que devait-elle comprendre?

-C'est votre chambre a tous les deux, précisa son père. A Gus et a toi...

-Ah?

[...]

-comme ça , ça évitera a gus de raser les murs sur la pointe des pieds pour venir te rejoindre chaque nuit...ajouta Pavel, des sourires pleins les yeux.

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-Il est bien, cet appartement, hein? dit il a son oreille.

-Très très bien, répondit Oksa

-Et cette chambre, elle est vraiment super, non?

-Mmm mmm... acquiesça Oksa.

-Et le lit, quelle merveille, n'est-ce pas?

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"Celui que j'ai été n'existe plus.

Celui que je suis est meilleur.

Vraiment meilleur.

Mais celui que je peut être est pire.

Tellement pire."

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" -Waouh... fit Oksa, la tête renversée en arrière pour regarder l'arbre.

-J'étais sûr que tu allais dire un truc très profond de ce genre... commenta Gus, amusé."

p 356

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Prologue :

La ville apparut sur l’écran, belle, millénaire, hérissée de toits et de dômes d’églises. Dans la salle de projection, les chefs d’état-major de l’armée américaine se calèrent sur leur chaise et fixèrent avec gravité les images prises depuis un essaim de minuscules chauves-souris.

Ces dernières parcouraient le ciel de part et d’autre, alors que la lumière du soleil couchant laissait place à la nuit. La scène aurait presque pu sembler romantique si les ailes des créatures n’avaient pas émis ce chuintement mouillé un peu écœurant. L’écran se fractionna en plusieurs plans rapprochés au fur et à mesure que la nuée se dispersait en un plongeon. La cité apparaissait à une vitesse vertigineuse, de plus en plus nette, fourmillante et bruyante, avec ses rues encombrées et ses places animées.

À quelques mètres du sol, les chauves-souris se placèrent en vol stationnaire et tournèrent leurs yeux à trois cent soixante degrés, inspectant chaque être humain qui se trouvait dans leur champ de vision. Et soudain elles foncèrent se poser sur la tête des passants. Leur corps lustré brilla un instant dans la chevelure d’un homme installé à une terrasse de café, sur l’épaule d’un autre devant un distributeur de boissons, d’une femme disputant son enfant, d’un mendiant assis au bord d’une fontaine…

Les images s’accélérèrent, montrant des centaines de personnes, sereines, rieuses ou affairées. Puis, leur visage se crispa dans une grimace d’effroi et de douleur quand, nichées au creux de leur cou, les chauves-souris plantèrent les dents dans leur peau. D’innombrables cris jaillirent alors des quatre coins de la ville pendant que la nuée se reconstituait et disparaissait dans la nuit orangée.

D’autres séquences succédèrent aussitôt à celles-ci, encore plus terribles. Les images d’hommes et de femmes se tirant une balle dans la tête, se jetant sous des trains, sautant des toits d’immeubles…Au fond des yeux de chacun d’eux, le même désespoir ardent, la même détermination d’en finir. Plus rien à quoi se raccrocher. Pas le moindre espoir. Pas la moindre lumière.

En guise de conclusion, un tableau présenta quelques chiffres :

Nombre d’habitants : 3 000 000

Dispositif ressource : 1 000 Chiroptères

Mode opératoire : sélection 100% naturelle

Durée de l’opération : 72 heures

Résultat : 500 000 éliminations

Marge d’erreur : 0

Les hauts gradés s’entreregardèrent. Comme tous, ils avaient appris un peu plus tôt la nouvelle : une capitale européenne avait perdu un habitant sur six en quelques heures. Si les autorités évoquaient un virus fulgurant, elles se montraient peu enclines à fournir des détails. La confusion semblait totale. À moins qu’elle ne soit entretenue pour masquer une réalité bien plus terrible encore, hypothèse que chacun des hauts-gradés témoins de cette projection devait garder en tête.

Intrigués par les données chiffrées figurant toujours sur l’écran, il leur tardait d’en savoir plus. Fergus Ant, le nouveau Président par intérim, se leva pour se placer face à eux, portant leur attention à son comble. Il se racla la gorge et invita un homme assis au premier rang à venir le rejoindre.

- Mesdames, Messieurs, ce que vous venez de voir est strictement authentique et confidentiel… commença-t-il.

Une femme à la veste bardée de médailles profita de la courte interruption pour poser la question qui leur brûlait les lèvres :

- Notre pays a-t-il une quelconque responsabilité dans ce qui vient de se passer ?

Le regard du Président glissa vers l’homme à ses côtés.

- Absolument ! répondit ce dernier d’un air triomphal.

Il avait détaché chaque syllabe avec ostentation accentuant le profond sentiment de malaise planant dans la salle. Certains se mirent à transpirer anormalement, d’autres glissèrent un doigt dans leur encolure, le souffle soudain court.

- Fergus ? fit l’homme à l’adresse du Président.

Les militaires s’interrogèrent du regard.Qui était cet individu proche du Président au point de l’appeler par son prénom ? Aucun d’eux ne le connaissait.

- Tout le mérite de cette opération vous revient, répondit Fergus Ant en reculant d’un pas. C’est vous qui saurez mieux que quiconque nous apporter les détails de l’opération. Je vous en prie, Orthon…

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Je m'appelle Tugdual Knut. Enfin... je m'appelais Tugdual Knut.

Aux yeux des autres, je suis un jeune homme un peu sombre, convenablement intelligent, très séduisant, carrément mystérieux.

Est-ce que ça me plait qu'ils me voient comme ainsi ? Disons que ça m'arrange... Parce que s'ils savaient à qui ils ont affaire, je ne suis pas sûr qu'ils continueraient de me trouver autant d'attraits. Ils chercheraient plutôt à me tuer et je vous avouerais que le monde ne s'en porterait pas plus mal, bien au contraire.

Tout cela, je le dois à mon père. En mourant, il m'a libéré de lui, mais pas de ce qu'il voulait que je sois. Dommage.

Son héritage est une punition à perpétuité.

Alors, je m adapte. Il le faut bien.

Aujourd'hui, je suis Tugdual Cobb.

Celui que j'ai été n'existe plus.

Celui que je suis est meilleur.

Vraiment meilleur.

Mais celui que je peux être pire.

Tellement pire.

Le reste de mon histoire commence maintenant

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"Ce temps est révolu

Certaines choses ne durent jamais vraiment

Nos liens se sont défaits

Mais pour moi, tu seras toujours la seule."

source site "dans notre petite bulle"

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" -On déclare forfait ? ricana le Félon.

Pour toute réponse, Pavel mit de côté ses pouvoirs surnaturels et lui assena un coup de poing garanti cent pour cent humain. "

p 106

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Oksa inspira à fond.

-T'en as pas marre d'avoir toujours raison ? fit-elle en ramenant ses genoux contre elle.

-Fais donc attention à ne pas tomber... répliqua Gus avec un petit sourire en coin.

-Je sais volticaler, je te signale !

-Et tu sais aussi créer des Reticulatas...

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-Surtout ton père, ajouta Gus. Enfin...Comme aurait dit Dragomira, les chiens ne font pas les chats...

Oksa se redressa sur un coude.

-Tu ne serais pas entrain d'insinuer que les Pollock sont un brin excessif ?

-Oh, je ne l'insinue pas, je l'affirme ! [...]

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