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Abandonné, il est même présenté à des visiteurs qui ont payé pour voir la déchéance du maître. Certains écrits rapportent qu’il mangeait ses excréments et hurlait. Tout n’est que bobards destinés à discréditer le défenseur de l’affaire Calas. La religion se venge. Il ne lui est prodigué aucun soin, il n’est même pas lavé, lui qui était si propre ; on ne lui donne ni à manger ni à boire."

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Paris, 5 avril 1994. Les yeux de Danton regardent un Paris qui bouleverse le monde. Un Paris qui a mis le feu à la France depuis cinq ans, et qui va le tuer comme il tuerait son père, tel un adolescent en rut. L'éveil à la démocratie se fait dans le sang. Le monde des dictatures monarchiques est au début de sa fin. Sur son échafaud, Danton est à quelques minutes de la mort. Il contemple un Paris du Moyen Âge et il voit un avenir de modernité et le futur politique de la nation. La Révolution n'a pas été d'une grande allégresse, la mort était partout. Paradoxe de cette époque qui voit naître les droits de l'homme en même temps que la guillotine.

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Il reste conscient jusqu'au dernier moment dans sa cahute au fond de la cour. Les médecins viennent le voir une dernière fois le 30 mai vers 22 heures. Ils lui appuient sur les tempes et il réagit en hurlant : "Laissez-moi mourir!" Jusqu'au bout, Voltaire tient tête à la vie, et donc à la mort. Voltaire pousse un cri atroce... est-il vrai, est-il faux? ce cri renforce la légende. Le 30 mai 1778, Voltaire abandonne la vie, et l'humanité perd une lumière.

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Mais le sujet de préoccupation de la cour est la fistule anale du roi. Tout le monde en parle et veut la voir. C'est un privilège de voir le trou du roi et son suintement purulent. Mais elle finit par guérir, plus par hasard que par traitement. Cela dit, l'était-elle vraiment ou le roi en avait-il juste marre de montrer son anus? Nul ne le sait. Quoi qu'il en soit, il faut fêter l'évènement! Alors, Lully s'empresse de répéter son 'Te Deum' à la gloire de la guérison de l'anus du Roi-Soleil. Le 8 janvier 1687, aux Feuillants, un couvent dans Paris, il va diriger son œuvre avec tout son grand orchestre afin de remercier le Ciel. C'est la Tour Eiffel avec Johnny Hallyday, en quelque sorte, ou les Rolling Stones à Broadway.

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Jean ! Jeannot, comme le nomment tous les animaux eux aussi présents dans cette chambre, et que nul ne peut voir. La grenouille est venue sur le bœuf, l'aigle et la pie sont réconciliés, l'âne et le chien pleurent dans les pattes l'un de l'autre, un charlatan joue de la flûte, un chat porte deux moineaux sur ses frêles épaules, le cerf à la coiffe de bois brame, la cigale chante et la fourmi danse. Au fond de la pièce, le corbeau pleure en regardant le renard qui pue le vieux fromage. Qui va s'occuper d'eux maintenant ?

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En finissant ce texte,une chose étrange m'est arrivée : une fourmi est venue sur ma table et m' a parlé! Elle m'a dit qu 'un rat avait eu confidence d'asticots et de coccinelles ,qui tenaient ça de quekques coquillages : juste avant de mourir ,Jean de la Fontaine aurait été emmené par des oiseaux très forts et très beaux jusqu' au roi des animaux , loin des hommes. Depuis, il n 'aurait plus peur et serait guéri et bienheureux . Mais peut-on croire les contes et les fables ?

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Aucun médecin du roi ou autre n'est présent. Ni les puissants qui riaient tant avec lui, qui le flattaient, ni le roi... personne n'est venu. Le maître meurt entouré de sa troupe.

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ce livre est un peu un livre de médecine, fait pour expliquer la mort et son pourquoi. …

C’est surtout un plaidoyer pour que la médecine reste humble face à l’Histoire. Combien de médecins ont tué leurs malades au cours des siècles?

C’est une vulgarisation médico-psycho-sociale appliquée aux textes que j’ai pu retrouver. Presque tous les rois de France ont été autopsiés. Les informations que nous laissent les archives sont précieuses. Les lois ont changé et rares sont les personnalités désormais autopsiées.

Ce livre est peut-être tout simplement une fiction. Où à travers mon exercice de la médecine et à force de voir des malades mourir, des corps inertes, à force de vivre les derniers instants, j’ai imaginé ceux , et avant eux ce que fut la santé de ces personnalités. Nous souvenir, c’est aussi constater nos progrès avec optimisme.

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A propos d'Henri IV: Vue d'aujourd'hui, sa tenue vestimentaire est ridicule, on dirait un homme perdu dans un sac de linge sale entouré de doubles-rideaux de mauvais goût. Vu de son siècle, le roi est beau, drapé dans les tissus les plus riches,aux courbes de grand huit, le cou dans une minerve en collerette blanche, le tout saupoudré de colliers et de pierres précieuses.

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