Ondine

un texte poétique et envoûtant, une des meilleures versions de la trope d'ondine

Pièce sublime, touchante aux personnages magnifiquement écrit. La plume de Giraudoux est puissante sans artifice.

A lire absolument et à voir

Une magnifique pièce de théâtre qui met en scène une ondine, amoureuse d'un chevalier (qui lui rend bien mal cet amour).

Drôle et tendre, cette pièce est à la fois un conte et une manifeste féministe (du moins, c'est comme ça que je le ressens).

Une pièce que j'ai beaucoup apprécié.

J'ai adoré la représentation de Ondine.

une véritable pépite. Voilà une pièce de théatre que j'ai redécouvert cet après midi avec plaisir .... A lire en une après midi par un bel après midi de printemps

Une pièce à lire mais si possible à voir jouée! J'ai eu cette magnifique occasion à Avignon et c'est une de mes meilleures expériences de théâtre. Malgré quelques lourdeurs dans l'écriture et des références germaniques qui nous sont un peu inconnues, cette oeuvre met en relief avec beaucoup d'humour et de justesse les thèmes de la vérité, de l'amour et de l'engagement sur un fond mythologique et fantastique. La dernière scène est très émouvante. Du théâtre original et inspirant!

Une pièce très agréable à lire, sur fond de merveilleux.

Une belle pièce de théâtre que j'ai beaucoup apprécié, notamment le personnage d'Ondine qui m'a beaucoup touché.

Une pièce de théâtre assez agréable à lire, l'histoire est plutôt bonne, même si je n'ai pas aimé le personnages d'Ondine plus que sa.

Une très jolie pièce de théâtre, qui tient du registre du conte avec une inspiration tirée du folklore germanique et du théâtre dans le théâtre, avec une mise en abyme liée à une réflexion intéressante sur l'écoulement du temps et l'inéluctabilité du destin. Si tout est manipulable sur scène, si les personnages ne sont que des marionnette aux actions toutes tracées, qu'en est-il alors de nos propres vies ? Dans ce cadre merveilleux, rien ne semble cliché ou faux, bien que le gardien de porc s'exprime en vers ou que la reine s'appelle Yseut, grâce à la beauté de la langue, à sa poésie. Il y a de très belles trouvailles stylistiques d'ailleurs, les plus humbles s'exprimant dans une langue noble.

Les personnages sont aussi très travaillés : si Hans peut sembler au premier abord un chevalier errant assez fat qui ne mérite pas Ondine, le dernier acte l'humanise en le rendant tragique, puisqu'on se rend compte qu'il l'aimait vraiment. Bertha se révèle aussi, capable de grandeur lorsqu'elle perd tout. Quant à Ondine... elle a la fraîcheur et la douceur de ses presque quinze ans, amoureuse d'un homme, ou plutôt des hommes, de l'humanité. Ce monstre inhumain fait de la pâte brisée au beurre en secret... quoi de plus étrange et pathétique ?

Le dernier acte est un véritable déchirement, même si j'ai eu un peu de mal à l'imaginer sur scène - les didascalies elles-mêmes suggèrent l'intervention surnaturelle.