Commentaires de livres faits par ophelie_6942
Extraits de livres par ophelie_6942
Commentaires de livres appréciés par ophelie_6942
Extraits de livres appréciés par ophelie_6942
-Toujours morte, marmonna Sol penché sur le poêle, je te préviens dès qu'elle réssuscite.
Tu te croyais abandonné
Petit flocon pur et parfait
N’aie pas peur, je vais te rattraper.
La passion n'a pas grand chose à voir avec l'amour.
"LES QUELQUES PREMIERS MOTS de chaque histoire sont toujours les plus difficiles à écrire. Il est presque comme si en les tirant, en les mettre sur le papier, vous vous engagez à le voir tout au long. Comme si une fois que vous commencez, vous devez terminer. Et comment ne terminez-vous quand certaines choses ne finissent jamais? Ceci est l'histoire d'amour sans fin... mais il m'a fallu un certain temps pour y arriver.
Si je vous dis dès le départ, en plein début que je l'ai perdu, il sera plus facile pour vous à supporter. Vous saurez que ça vient, et ça va faire mal. Ça va quand même vous faire une douleur à la poitrine et faire retourner votre estomac avec effroi. Mais vous savez, et vous serez en mesure de vous préparez. Et c'est mon cadeau pour vous. On ne m'a pas donné la même courtoisie. Je n'étais pas préparé.
Et après son départ? C'est aller de pire en pire, pas de mieux en mieux. Les jours ont passé et c'était devenu plus difficile, pas plus facile. Le regret était tout aussi intense, le chagrin aussi coupant, le tronçon sans fin de jours avant moi, les jours passés sans lui, tout aussi difficile. En vérité - depuis que je suis décidé que c'était tout ce que j'avais pour moi - , je serais heureuse de me soumettre à toute autre chose. Tout sauf ça. Mais qui est ce qui a été donné à moi. Et je n'étais pas préparé.
Je ne peux pas vous dire comment on se sent. Comment on se sent encore. Je ne peux pas. Les mots me semblent creux, pas cher, et tourner tout ce que je dis, tout ce que je sens, dans un roman d'amour tendre plein de phrases fleuries conçues pour illicites larmes sympathiques et une réponse immédiate. Une réponse qui n'a rien à voir avec la réalité et tout à voir avec l'émotion facile que vous pouvez mettre de côté lorsque vous fermez le couvercle. Émotion qui vous a essuyer vos yeux et gazouillis un hoquet heureux, appréciant le fait qu'il était tout juste une histoire. Et le meilleur de tous, pas votre histoire. Mais ce n'est pas comme ça.
Parce qu'il est mon histoire. Et je n'étais pas préparé."
Bailey est d'accord, il a les larmes aux yeux lui aussi.
- Mais il y a des jours où tu ne peux plus faire semblant de ne pas voir que tu es dans un beau merdier, Fern, tu sais.
– Mais merde crever en pleine campagne et pas un trou du cul pour m'aider !
– Même habillée comme ça ? C'est un comble !
Je la regarde, elle porte une robe très près du corps, qui ne laisse aucune place à l'imagination.
– Les mecs c'est plus ce que c'était ! lui répond 4B.
Elle nous regarde tous les deux, comprenant ce qui était ou ce qui aurait dû se passer.
– Vous avez la tête à avoir fait des cochonneries !
– J'aurais bien aimé dire oui mais tu es arrivée beaucoup trop tôt, enchaîne 4B.
– Et je ne compte pas repartir mon chou, alors tu prends ta trique et tu vas aller t'asseoir sur ta béquille, lance-t-elle en se dirigeant vers sa chambre.
Je la suis des yeux et je ne vois pas 4B derrière moi, il est tellement proche que mes miches chantent la Lambada dans mon pantalon.
Thomas rit, surtout pour chasser la tristesse qui l'avait saisi à une question.
-Évidemment, tocard! Il faut que je t'explique le coup des choux et des roses ?
L'ordinateur: Je ne comprends pas.
Isaac: Moi non plus. Pause.
— Vas-y, répliqua Newt.
Minho hocha la tête et se retourna vers la foule.
— Soyez prudents, leur dit-il sèchement. Ne vous faites pas tuer.
Thomas aurait ri s’il l’avait pu.
— Super, commenta Newt. Nous voilà bien motivés
Pourquoi n’ai-je pas mis le son de mon MP3 plus fort ?
Je ne préfère pas répondre !
Il me fixe toujours et son regard devient intense. Il n’a
pas le droit ! Pourquoi suis-je plus excitée avec un seul de ses regards qu'avec les deux baisers réunis de Beaux-Yeux. J'ai mon corps qui se consume peu à peu, on n’en retrouvera bientôt qu'un petit tas de cendre.
Non Jaja, reprends tes esprits, ne le regarde pas, ne le
regarde pas.
– Je te mets mal à l'aise Lee ? Je t’impressionne peut-être ?
Putain mais il se prend pour qui ce connard ?
Jaja tu vaux mieux que ça ! Alors tu prends ta paire de couilles et tu fonces dans le tas. Il veut jouer ? On va jouer!
Je me rapproche de lui doucement. Il ne s'y attendait pas,
moi non plus ! Il est toujours appuyé contre la paroi de l’ascenseur et nous ne sommes plus qu'à une vingtaine de centimètres l'un de l'autre. J'ai mon cœur qui va peut-être exploser mais tant pis ! Je pose ma main sur son torse, je me penche et m’avance encore. Je distingue très bien sa cicatrice et ses yeux émeraude. Il n’est pas rasé de près, j’ai envie de lui caresser les lèvres et pas que ça d’ailleurs !
Jaja reconcentre toi, vite !
Il ne bouge pas.
Nos corps se touchent.
Je sens soudain son excitation contre mon bas-ventre. À
force de s'emballer, je crois que mon cœur s'est arrêté. Je vous parle peut
être de l'au-delà ! Mes lèvres se rapprochent dangereusement de son oreille et tout en lui touchant son érection, je lui murmure :
– J'ai plutôt l'impression que c'est moi qui
t'impressionnes !
Je crois que je vais tomber ! Il faut que mon timing
soit bon.
Ouf ! On arrive au 4ième étage et les portes s'ouvrent.
Je sors de l'ascenseur, il ne bouge toujours pas. Je me
retourne alors vers lui et lui lance avec un grand sourire :
– 4A : 1 -. 4B : 0
-Balançoire atrocement seule recherche maison accueillante.
-Balançoire seule, un brin pédophilique, recherche derrières d'enfants, ai-dit.
Il a ri.
-Voilà pourquoi.
-Quoi ?
- Voilà pourquoi tu me plais. Est-ce que tu te rend compte à quel point c'est rare de tomber sur une fille canon capable d'inventer un adjectif avec "pédophile" ? Tu es trop occupée à être toi-même, tu ne réalises pas que tu es exceptionnelle.
J’ai résisté à l’envie d’avoir un haut-le-cœur sonore.
- Il n’est pas aussi intelligent que ça, ai-je dit à Julie.
- Hazel a raison. C’est juste que la plupart des mecs canon sont stupides. Par conséquent, je me situe au-delà des espérances.
- Oui, il est avant tout sexy, ai-je déclaré.
- C’en est parfois aveuglant, a-t-il renchéri.
- D’ailleurs, Isaac, un de nos copains, est devenu aveugle à cause de ça.
- Quelle tragédie ! Mais comment puis-je m’empêcher d’être mortellement beau ?
- Tu ne peux pas.
- Ah, c’est un fardeau d’avoir un visage sublime.
- Sans parler de ton corps.
- Ne me lancez pas sur le sujet de mon corps parfait. Il faut éviter de me voir nu, Dave. Hazel Grace m’a vu nu et ça lui a coupé le souffle, a-t-il dit avec un petit signe de tête en direction de ma bombonne d’oxygène. »
– Hazel Grace, a-t-il dit, mon nom paraissait plus joli, comme neuf dans sa bouche. Je suis très content d’avoir fait ta connaissance.
– De même, Monsieur Waters.
J’étais intimidée. Je ne pouvais soutenir l’intensité de son regard bleu azur.
– Je peux te revoir ? a-t-il demandé d’un ton qui trahissait une inquiétude charmante.
J’ai souri.
– Bien sûr.
– Demain ?
– Attention, ai-je rétorqué. Tu risques de passer pour un impatient.
– C’est pour ça que j’ai dit demain, a-t-il répliqué. J’ai déjà envie de te revoir maintenant. Mais je vais m’obliger à attendre toute la nuit et une bonne partie de la journée de demain.
J’ai levé les yeux au ciel.
– Je ne blague pas, a-t-il insisté.
– Tu ne me connais même pas.
J’ai pris le livre qu’il avait calé entre les deux sièges.
– Et si je t’appelais quand j’ai fini ça ? ai-je proposé.
– Tu n’as pas mon numéro.
– Je te soupçonne fortement de l’avoir écrit dans ce livre.
Il s’est fendu de son sourire béat.
– Et tu oses dire qu’on ne se connaît pas.
Il est un vieux monsieur que j'admire beaucoup : Einstein.
Il a écrit de très savantes choses, il a dit qu'entre cinq minutes passées sur la plaque rouge d'une cuisinière et cinq minutes dans les bras d'une belle fille, il y avait, malgré l'égalité de temps, l'intervalle qui sépare la seconde de l'éternité.
Newt hocha la tête.
-Une sorte d'expérience ?
-Non, plutôt une épreuve, répondit Thomas. Ils éliment les candidats les plus faibles, ceux qui baissent les bras, et sélectionnent les meilleurs. Ils nous balancent des variables, nous incitent a abandonner. Ils testent nos capacités a garder espoir. L'arrivée de Teresa et la disparition du soleil n'étaient que la dernières étape, une ... dernière variable. Maintenant, c'est l'heure du test ultime. L'évasion.
-Pas juste une nuée de mites, se défend-elle. Genre...une armée de mites. Partout. Avec tout ces ailes et ces pattes...
Elle frémit d'un air horrifié.
-Atroce, fait Will, railleur.ça c'est ma nana! Dure comme du coton.
-Il n'est jamais sobre !
-Ce n'est pas faux.
Dumbledore le regarda d'un air radieux et sa voix résonna avec force aux oreilles de Harry, malgré la brume lumineuse qui descendait à nouveau sur eux en masquant sa silhouette :
- Bien sûr que ça se passe dans ta tête, Harry, mais pourquoi donc faudrait-il en conclure que ce n'est pas réel ?
J'étais pétrifiée, je voulais me fondre dans la paroi de roche. Je voulais être une pierre.
Une pierre morte.