Orcs et gobelins, Tome 1 : Turuk

Un bon premier tome avec ce personnage de turuk attachant et a la fois mystérieus une fin surprenant mais ce premier tome attractif commence bien

C'est loin d'être une lecture marquante mais ça se laisse lire.

Une BD à couper le souffle. Les dessins sont vraiment magnifiques, et j'ai beaucoup aimé le caractère de cochon et le franc-parler de Turuk !

J'ai beaucoup apprécié le style d'écriture de ce tome qui a assumé jusqu'au bout. La page de narration à la fin est top !

Eh oui, encore une bande dessinée, mais c’est tellement agréable d’en lire entre deux romans, que je n’ai pas pu résister à piquer celui-ci chez ma cousine ! C’est la première fois que je lis une bande dessinée fantasy pour adulte. Je suis plus une adepte des bd jeunesses ou graphiques. En feuilletant le début des pages, je n’étais pas emballée, et pourtant le résumé et, le discours de ma cousine pour me vendre l’histoire, ont fini par me donner envie. Et, je ne regrette pas !

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Pour faire court, Turuk est un orc plutôt séduisant, ce qui est très rare pour ces créatures. Il est bourru, égoïste, opportuniste, téméraire et a de l’humour à revendre. Vu comme ça ce n’est pas très vendeur. Pourtant, j’aime beaucoup ce personnage charismatique. À vrai dire, j’ai aimé le détester. Turuk se retrouve donc dans une ville abandonnée avec aucun habitant dans les environs et aucun souvenir de comment il s’est retrouvé ici. En fouillant les lieux, il s’aperçoit qu’il n’est finalement pas seul, mais autant vous dire qu’il aurait aimé l’être après une découverte des plus sanglantes.

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Orcs et Gobelins est une histoire pleine d’actions et de rebondissements que j’ai dévorés en quelques minutes. Autant vous dire elle reste un peu courte, bien qu’elle soit trépidante et addictive. Les personnages sont charismatiques et certains ont un tempérament de feu. Les dialogues sont vraiment bons et détaillés pour une bande dessinée, j’ai même eu envie qu’un roman soit adapté pour rester un peu plus longtemps dans l’histoire.

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Le seul petit bémol, c’est la fin ! Les auteurs sont cruels de nous laisser comme ça et le pire, c’est que le prochain tome sera sur un autre personnage donc autant vous dire que Turuk, on ne le verra sans doute plus JAMAIS ! Je proteste, je me révolte, je veux plus de Turuk. Mais le pire, c’est que les auteurs revendiquent ce côté sadique. Ce n’est pas bien du tout messieurs…

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En bref, je découvre un premier tome qui m’a donné l’eau à la bouche sur la suite de cette série, que je risque de dévorer cette année. D’ailleurs, si vous n’aimez pas les Orcs et les Gobelins pas de soucis, il y a une série sur les Elfes, les Nains, les Mages. Bref de quoi nous satisfaire, d’ailleurs, je suis très tentée par celle des Nains et des Mages ! J’espère avoir titillé votre curiosité ! Je ne peux que vous conseiller cette lecture, qui fut un petit coup de cœur pour moi.

Je suis très heureuse d’avoir pu découvrir grâce à Babelio et les éditions Soleil cet univers incroyable (mille mercis). Connaissez-vous cette saga les Terres d’Arran ? Je ne vous dis pas le nombre de tomes qu’il y a, mais c’est juste impressionnant. L’univers est divisé en quatre mondes « Mages », « Nains », « Elfes » et la petite dernière « Orcs et Gobelins ». L’univers est commun à toutes les séries et je pense que les personnages se croisent ici et là. Plusieurs scénaristes et illustrateurs sont à pieds d’œuvre pour nous régaler.

L’univers des Terres d’Arran est juste fantastique. Si vous aimez tout ce qui se rapporte à la magie et aux créatures fantastiques alors vous allez vous régaler.

Lorsque je reçois un livre, je feuillette toujours pour jeter un œil à la mise en page. Un petit rituel pour m’imprégner de ma prochaine lecture. Avec cette bande dessinée la surprise a été de taille. La couverture est juste géniale, les premières pages où carte et titres de collection figurent donnent déjà l’eau à la bouche et les dernières pages sont consacrés à un dossier concernant l’univers et les personnages à venir.

L’univers des Terres d’Arran est sombre et violent. Des tripes, du sang, des zombies et monstres en tout genre jalonnent le scénario. Un univers particulier mais que j’adore retrouver dans les bandes dessinées. Les illustrations sont d’une qualité particulière retrouvant ici et là des traits de douceurs au cœur de ce monde intransigeant. Le récit est étoffé avec de nombreuses cases sur les planches et beaucoup de bulles. Et je trouve cela agréable de pouvoir avoir une vision détaillée de l’action par la parole en premier temps et puis par les illustrations.

Turuk est un leader charismatique. On adore son magnétisme, son humour à deux balles et son égoïsme. Un truand à la belle gueule et qui ne se ménage pas dans les moment d’actions.

Les rebondissements sont nombreux jusqu’au final machiavélique et sournois.

Je vous avoue, je suis littéralement tombée amoureuse de cet univers et mon fils de 12 ans a aussi craqué. Il se dégage quelque chose de particuliers qui vous accapare dès le départ pour ne plus vous lâcher. C’est de la magie, de la sorcellerie ou je ne sais quoi d’autre, mais cela fonctionne à merveille.

En bref :

* Un univers sombre, violent et sanglant

* Un personnage charismatique totalement attachant

* Un scénario cocasse et complet avec de nombreux rebondissements

* Des illustrations de qualité

* Un immense coup de cœur

J’avais oublié que les bandes dessinées de ce genre pouvaient être juste géniales. Mes souvenirs remontent à plus de 20 ans avec la BD « Lanfeust de Troy » que je dévorais au lycée. Une très belle rencontre que je ne suis pas prête d’oublier.

[SERVICE PRESSE]

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Orcs et Gobelins #1 - Turuk de Jean-Luc Istin, illustré par Saïto

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Je remercie babelio pour cette masse critique privilégiée.

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Mon résumé :

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Turuk est un orc qui se réveille dans une ville inconnu, blessé et amnésique. Poursuivi par une elfe, et entouré de goules qui ne rêve que de le manger, il doit trouver un refuge pour la nuit. Réalisant qu’il est sur une île, il doit trouver un moyen de fuir.

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Mon ressenti final :

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Je suis une fan de bandes dessinées et c’est avec un grand plaisir que j’ai découvert le premier tome de cette série. J’adore ce genre d’univers, je n’ai donc eu aucun mal à me plonger dedans.

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Nous découvrons donc un orc, Turuk, dont l’opus lui est consacré. Personnage central, il sera notre fil rouge durant cette aventure. Blessé et amnésique, il se réveille dans une ville déserte… enfin, de prime abord, car à la nuit tombée, les rues se gorgent de goules qui ne rêvent que de le manger. Poursuivi par une elfe puis retrouvé par deux de ses congénères, le petit groupe cherche à quitter l’île. La trame de l’histoire est agréable et se tient. L’univers m’a grandement fait penser à World of Warcraft, et j’ai suivi cette aventure avec plaisir et attention.

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L’auteur fait preuve d’humour et d’un langage très familier, qui m’a permis de me transporter dans cette aventure sans problème. J’ai vraiment adoré Turuk, cet orc calculateur et mesquin. Il n’hésite pas à sacrifier ses amis pour sauver sa peau, un vrai salopard.

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Les illustrations sont vraiment incroyables. Le souci du détail est appuyé et c’est un régal pour les yeux. La couverture est sublime, tout comme la carte qui tapisse l’intérieur de la BD.

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J’ai passé un excellent moment de lecture, visuel comme littéraire, et j’en suis ressortie frustrée de ne pas avoir la suite !

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J'ai lu le premier tome de Orcs et Gobelins.

Quel plaisir de lire cette collection de chez Soleil.

Les planches sont d'une beauté époustouflante à chaque fois.

Nous suivons ici Turuk, un semi-orc, qui se réveille dans une ville inconnue, sans aucun souvenir des jours précédents.

J'ai trouvé l'histoire plaisante, le scénario est bien construit et amène son petit lot de surprises.

Turuk est un personnage attachant (à ma grande surprise), plein de répartie, avec un langage assez fleuri (mais c'est ce qui fait le charme de l'Orc) et malgrés tout, certaines valeurs auxquelles je ne m'attendais pas.

J'ai donc passer un très bon moment avec lui et son humour un peu spécial.

Je recommande à tous les amoureux de la collection d'abord, et à tous ceux qui aiment la fantasy et le dessin.

La première chose qui me marque sont les très belles illustrations et couleurs, la double page avec le château sur l’eau est magnifique ! L’intrigue est super aussi, j’ai adoré suivre les aventures de cet orc un peu bourru mais assez sensible pour avoir une relation amoureuse, même si ce n’est pas le cœur de l’intrigue. On fini sur du suspens mais le tome est déjà très complet, on a la présentation des personnages, l’introduction de l’intrigue et il n’y a pas besoin d’avoir lu les autres opus qui forment l’univers pour comprendre et apprécier cette bande dessinée. Il y a beaucoup d’action dans ce tome, pour mon plus grand plaisir, je n’aime pas quand ça traîne dans les BD, le format ne s’y prête pas vraiment je trouve. Moi qui ne suis pas un grand fan de fantasy, j’ai bien aimé.

J'aime bien le personnage de Turuk, même s'il est égoïste sur les bords. Il me fait un peu penser à Hellboy.