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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:18:22+01:00

M. Darcy en s'inclinant devant elle corrobora ses dires, et il s'apprêtait à prendre la résolution de ne pas poser les yeux sur Elizabeth quand son regard soudain se figea à la vue de l'étranger. Le hasard fit que la jeune fille put juger de la physionomie de l'un et de l'autre quand ils s'aperçurent. Elle fut stupéfaite de l'effet produit. Ils changèrent tous les deux de couleur, l'un devint blême, l'autre pourpre. Au bout de quelques instants, M. Wickham porta la main à son chapeau, salutation à laquelle M. Darcy consentit à peine à répondre. Que cela pouvait-il signifier ? Il était impossible de le deviner, impossible aussi de ne pas brûler d'envie de le savoir.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:17:54+01:00

M. Wickham fut l'heureux homme vers lequel se tournèrent presque tous les regards féminins, et Elizabeth l'heureuse élue à côté de laquelle il finit par s'asseoir. La manière agréable dont il entra aussitôt en conversation, bien que celle-ci ne portât que sur le caractère humide de la soirée et la probabilité d'une saison pluvieuse, fit sentir à Elizabeth que le sujet le plus banal, le plus plat, le plus rebattu pouvait être rendu intéressant par le talent de celui qui le traitait.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:17:44+01:00

M. Collins assurément n'avait ni jugement ni charme ; sa compagnie déplaisait, et son attachement devait être imaginaire. Il n'en resterait pas moins son mari. Sans se faire une haute idée des hommes ou de la vie conjugale, elle s'était toujours fixé pour but le mariage. C'était la seule ressource honorable laissée aux jeunes femmes de bonne éducation et de maigre fortune et, malgré l'incertitude du bonheur qu'il offrait, nul autre moyen plus attrayant n'existait pour elles de se préserver du besoin. Cette garantie, elle la possédait maintenant et, à l'âge de vingt-sept ans, n'ayant jamais été belle, elle se rendait parfaitement compte de sa chance.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:16:10+01:00

— Ainsi, Lizzy, dit-il un jour, ta sœur a un chagrin d'amour, à ce que j'apprends. Je l'en félicite. Hormis le mariage, rien ne plaît tant aux filles qu'une peine de cœur, de temps à autre. Cela occupe l'esprit et leur donne une sorte de distinction parmi leurs compagnes. Quand donc viendra ton tour ? Tu auras du mal à supporter longtemps une infériorité dans ce domaine vis-à-vis de Jane. Le moment est opportun. Meryton compte assez d'officiers pour briser le cœur de toutes les jeunes personnes de la région. Choisis Wickham. C'est un garçon charmant. Qu'il manque avec toi à ses engagements ajouterait à ta gloire.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:15:56+01:00

Il aimait la campagne, les livres, et de ces goûts avait tiré ses principales satisfactions. À sa femme il n'était guère redevable que, pour son ignorance et sa sottise, d'une part de son amusement. Ce n'est pas le genre de contentement qu'en général un mari souhaite devoir à une épouse. Mais, lorsque font défaut d'autres moyens de se procurer de la distraction, le véritable philosophe se satisfait de ceux qui lui sont offerts.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:15:10+01:00

Moi qui comptais faire la preuve de mon intelligence hors du commun en le prenant ainsi en haine, sans l’ombre d’une raison ! Dame, une antipathie de cet acabit, cela vous aiguise l’esprit, cela vous permet d’exercer librement votre verse. On peut se montrer perpétuellement insultant sans jamais rien dire de juste ; mais on ne se peut quand même pas être toujours à se moquer d’un homme sans tomber, de loin en loin, sur une remarque spirituelle.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:14:56+01:00

Un plan dont toutes les parties promettent des merveilles n'a aucune chance de succès. On ne se garde d'une déconvenue pleine et entière qu'en se ménageant la ressource d'une petite contrariété.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:14:46+01:00

La bonne nouvelle se répandit bientôt à travers la maison et, avec une célérité comparable, dans tout le voisinage. Les voisins l'accueillirent avec la philosophie qui convenait. Certes, il eût été plus propice à la conversation que Mlle Lydia Bennet fût devenue une femme de mauvaise vie ou, parmi les autres hypothèses la plus séduisante, eût été retranchée du monde et condamnée à vivre dans quelque ferme lointaine. Mais le mariage fournissait bien de la ressource aux cancans, et les bons vœux que les méchantes langues des vieilles dames de Meryton avaient précédemment formés pour la prospérité de Lydia ne perdirent que peu de leur acrimonie à ce changement de circonstances parce que, avec un tel mari, son malheur était considéré comme certain.

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Extrait ajouté par Didie6 2014-11-19T13:08:18+01:00

L'orgueil, observa Mary, qui se piquait de la profondeur de ses réflexions, est, je crois, une faiblesse très répandue. D'après tout ce que j'ai pu lire, je suis en effet persuadée que c'est là un défaut courant, auquel la nature humaine est particulièrement encline, et que bien rares sont ceux qui ne tirent pas vanité de quelque qualité, réelle ou imaginaire. La vanité et l'orgueil sont deux choses différentes, même si ces mots passent souvent pour des synonymes. Une personne peut être orgueilleuse sans être vaine. L'orgueil est davantage lié à l'opinion que nous avons de nous-mêmes, la vanité à ce qu'on voudrait que les autres pensent de nous.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-11-07T10:33:49+01:00

“J'ai lutté en vain. Je n'en puis plus. Je ne puis dompter mes sentiments. Il faut que vous me permettiez de vous dire à quel point je vous admire et vous aime ardemment".

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