Robert Langdon, Tome 5 : Origine

Ayant lu tous les Dan Brown, j'avoue que celui-ci était vraiment le moins bien a mes yeux. Clairement la même ligne que les précédents, et au bout de 4 fois ça fait beaucoup, quasiment pas d'énigme ou de codes, et une fin a double rebondissement beaucoup trop prévisible, puisque j'ai deviné les deux très vite, alors que je ne suis vraiment pas le meilleur pour ça en général. Pour moi, il a atteint la limite de ce qu'il pouvait faire d'intéressant avec ce personnage et ce type de romans

La saga de Robert Langdon n'est pas seulement palpitante et addictive, mais elle représente également une source d'information dans de nombreux domaines, qui sont tous liés, plus ou moins, à l'Histoire. Avec cette saga, Dan Brown est devenu mon auteur coup de cœur.

Salut Phoenix ! Ça va ?! …

Toutes les religions ont un point commun :

« Elles ont tort. »

« La grande soirée Edmond Kirsch », quand la religion devient obsolète.

Robert et Edmond sont des chercheurs. Ils ont rendez-vous dans un musée où ils se jettent comme dans la gueule d’un dragon.

Du côté d’Avila et de Maria une explosion détonne dans la cathédrale de la femme enceinte. Avila est confronté à une bande de non-croyants belliqueux.

Mon oncle m’a dit « Ah tiens tu lis l’Escroc » car Dan Brown mentirait sur ses qualifications, la véridicité de ses propos… etc … Soi-disant que ses premiers livres étaient meilleurs.

Pour calmer leurs agresseurs, Avila leur paie une tournée générale. Il les empoisonne ensuite (d’après ce que j’ai compris) laisse un pourboire de 100€ et appelle les secours.

Edmond Kirsch met les petits plats dans les grands, très médiatisé, il va annoncer « une grande nouvelle »

Y’a pas à dire le suspense à fonctionné pour moi : Que va annoncer Monsieur Kirsch ?

Köves se retire s’exiler dans un retour aux fondamentaux comme si Einstein revenait aux tables de multiplications. Pourtant, ses travaux le plongent en plein effervescence.

On utilise parfois de termes techniques du jargon spirituel/religieux.

Les religions sont menacées par le travail d’Edmond Kirsch, vont-t-elle faire front commun pour le calomnier ? Mais comment si prendre avec cet homme qui ne s’est jamais trompé ?

Il est question de « la torsion spirale » qui paraît si près alors qu’elle est à un kilomètre.

Langdon est un des favoris qui est présenté à une IA/Ordinateur/Déité. Il lui demande une preuve et elle la lui donne.

« Ce soir c’est un grand soir pour l’humanité » asséné Edmond et promet d’autres révélations au fil des heures.

Il est comparé à Copernic. Ami de la science.

Ennemi de l’Etat.

« Dans les vingt prochaines années la science aura détruit tous les mythes religieux »

« Quand la cause est juste, la miséricorde de Dieu est acquise »

Edmond se fait tirer dessus et c’est la panique.

A qui profites le crime ?

Mais Edmond est de retour en tant qu’IA et il compte bien délivrer son message cette fois tel Depp dans le film « Transcendance »

« Quand vient la violence, rien n’est plus rassurant que le mains de Dieu »

« Les voies du salut son innombrables.

Le pardon n’est pas le seul chemin. »

En voulant faire taire Kirsch on a au contraire démultiplié ses auditeurs.

« Les Geeks hériteront de la Terre »

« Rien n’est inventé, parce que la nature a déjà tout écrit.

L’originalité consiste toujours à revenir aux sources. »

Ce que Nietzche a fait avec la Philo, Edmond le fait avec la Science.

Certains n’hésitent pas à parler de lui en tant que « Prophète »

#Doùvenonsnous #Oùallonsnous

La royauté Espagnole est aussi très liée à tout ça.

« Les Palmariens pensent que l’Antéchrist est né en l’an 2000. »

Ça parle peut-être un peu trop Espagnol pour moi mais c’est la vie.

Page 446 on ne sait toujours pas quel est le « secret », finalement une début de réponse s’amorce 40 pages plus tard. Je ne veux pas non-plus vous SPOIL c’est assez complexe…

Il est aussi question, à côté, de la « création spontanée »

560 pages pour un message clair « Les religions sont des contes de fées, passez à la science. »

Phoenix

++

Encore un très bon tome avec Robert Langdon. J'aime beaucoup ces livres car il y a du suspense, des faits historiques, de l'art et chaque fois l'auteur, par sa fiction, nous fait réfléchir sur la société en ébranlant nos certitudes. Ici c'est la technologie qui est mise en avant, très intéressant !

Non ... Finalement je n'ai pas eu le coup de coeur pour cette histoire. Il est très long dommage. Le fond de l'histoire est pourtant excellente mais le livre n'est spectaculaire comme l'a été le DaVinci code.

après l'effervescence et l'engouement du Da Vinci Code que j'avais énormément apprécié, je n'ai pas retrouvé cette alchimie avec Origine.... Quel dommage !!!

Dans cette 5e aventure, Dan Brown "se met à jour" et donne une place importante aux IA et aux nouvelles technologies, qui font plus échos à l'actualité qu'une arme de destruction massive.

Si l'auteur a su progressé du coté de la science, il a toujours gardé les mêmes codes que dans ses autres livres. Pour l'aspect religieux et historique, ca ne me dérange pas trop, les informations, théories et anecdotes sont toujours aussi intéressantes(même si j'aurai préféré quitter l'Europe et l'Occident pour aller en Amérique du Sud ou en Asie). Par contre, c'est dommage pour le personnage féminin : Ambra Vidal, qui ressemble aux 4 autres, ce serait bien de changer sur ce point...

Autre point bancal : Spoiler(cliquez pour révéler)Robert Langdon qui bat au corps à corps un ancien officier de la marine grâce à ses années de natation, qui sont depuis le début de la série la seule justification de ses exploits physiques.

Enfin, la claustrophobie de Langdon qui se produit toutes les 2 minutes mais qu'il arrive à ignorer depuis 5 tomes ca devient répétitif.

Somme toute pas convaincue par ce tome. Dan Brown reste dans sa zone de confort avec toujours le même scénario (Langdon / une belle et jeune femme / sauver le monde à travers de mystérieux secrets qu'il est le seul à savoir décoder). Si l'écriture est toujours aussi fluide et les points culture toujours aussi passionnants, il commence à manquer quelque chose pour pleinement continuer d'apprécier cette série. Dommage.

Bien que des similitudes puissent être relevées entre les différents volets des aventures de Robert Langdon, je prends toujours un plaisir indéniable à le retrouver.

La plume de Dan Brown se distingue par sa simplicité et son efficacité remarquables : dénuée de superflus, elle nous immerge totalement dans l’aventure, grâce à sa fluidité et un dosage habile d’action et de suspense.

L'atmosphère de chasse au trésor et de décryptage, présente dans chaque tome, continue à me captiver, et dans ce dernier opus, Dan Brown réussit à se renouveler de manière remarquable en explorant un thème ô combien d'actualité : l'intelligence artificielle.

Cette œuvre, publiée en 2017, témoigne de la clairvoyance de Dan Brown, car elle aborde un thème bien avant qu'il ne soit sur le devant de la scène médiatique, même si à l'époque, il était déjà en cours de gestation.

L'intrigue tourne autour d'un scientifique prétendant avoir fait une découverte fondamentale concernant l'origine de l'humanité, une révélation qui promet de bouleverser notre monde tel que nous le connaissons, ainsi que notre relation avec la religion, une fois qu’il l’aura dévoilée. Avec un tel scénario, mes attentes étaient naturellement très élevées concernant cette révélation cruciale. Il est aisé de bâtir une trame intrigante et pleine de suspense autour de cette question, mais infiniment plus complexe de lui offrir une résolution convaincante qui ne déçoive pas. J'ai été agréablement surprise de constater que Dan Brown y est parvenu de manière admirable, même pour quelqu'un qui n'est pas scientifique de formation. Bien entendu, il s'agit d'une œuvre de fiction, et il ne faut pas s’attendre a ce qu’un auteur nous fournisse les réponses aux questions les plus fondamentales de notre société : d'où venons-nous ? Où allons-nous ? Mais je vous laisse découvrir la proposition qu’il fait et à vous de juger.

Après avoir lu 2-3 livres de Dan Brown, il est vrai que son schéma narratif devient prévisible, mais cela ne veut pas dire qu’il n’est pas appréciable. Mon seul regret persistant concerne le manque de personnages féminins élaborés et intéressants. Mais au vu de la personnalité inexistante de Langdon, il semble que le point fort de Brown se trouve davantage dans la création d’intrigues captivantes que dans le développement de personnages complexes.

Comme d'habitude ce 5e livre est dans la même veine que les précédents très addictif et toujours pleins de rebondissements ce livre nous fait réfléchir sur notre place dans l'univers j'ai adoré