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Liste des extraits

- Je sors d'une réunion avec des Médicus de Tchétchénie, s'enflamma Alistair. Il faut absolument que je vous raconte, on ça organiser une véritable révolution !

Son regard s'arrêta sur le monceau de tissus de l'autre côté de la table. Il fonça les sourcils.

-Tiens, à propos de révolution, on ne l'a pas décapitée, Marie-Antoinette ? Oh, Anna-Maria, c'est vous ...

Pages 92.

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- Toi au moins, dit-il tout doucement, tu l'as vu..

Violette leva les yeux et se mit à chanter :

Somewhere over the rainbow ( Ailleurs, au delà de l'arc-en-ciel )

Skies are blue ( Le ciel est bleu )

And the dreams that you dare to dream really do come true ( Et nos rêves les plus inespérés se réalisent )

Oscar soupira et voulut se relever.

- C'est lui, dit-elle. C'est Papa.

- Qui ?

- Le magicien d'Oz ! Tu sais, dans le film, Dorothy chante et voudrait trouver un monde merveilleux ; elle ait qu'il existe et personne ne la croit. Elle y rencontre le magicien qui promet à tout le monde réaliser leurs rêves : l'épouvantail voudrait autre chose que de la paille dans sa tête pour être intelligent, l'homme en fer-blanc voudrait un cœur, le lion voudrait devenir courageux... Et à la fin, le magicien leur explique que tout est déjà en eux, qu'il suffit de savoir regarder en soi, parce que tout ce qu'on cherche est déjà là, à l'intérieur, dit-elle en effleurant sa tête puis son cœur.

Elle regarda par la fenêtre, comme si la suite était inscrite dans le ciel.

- Papa, je ne me souviens plus de son visage, dit-elle d'une petite voix, mais pour moi il ressemble au magicien d'Oz. Certaines nuits, il me rend visite pour me dire ce qui me manque, c'est à l'intérieur de moi que je dois le chercher. Alors, j'y vais dès que je peux, voilà. C'est tout.

Elle tourna la tête vers son frère. Son visage était grave - sans être triste -; et pour la première fois on aurait pu la croire plus âgée que ses 14 ans. Oscar partit en courant et revint quelques secondes plus tard avec l'album de phots qu'il gardait toujours sous son oreiller ou sous lui. Il sortit celle où l'on voyait Vitali, Celia visiblement enceinte et Violette dans un landau, peu de temps après sa naissance - et avant celle de son frère. Oscar tendit la photo à sa sœur, mais elle repoussa sa main en douceur sans y accorder un regard.

- Le magicien d'Oz, ça me va bien, ajouta la jeune fille. Ca me suffit.

(...)

Celia referma la porte de sa chambre sans bruit et s'adossa au mur, les yeux fermés. Elle était rentrée quelques instant plus tôt et voulait rejoindre ses enfants lorsqu'elle avait surpris, sans le vouloir, leur conversation.

Elle essuya du revers de la main les larmes qui coulaient sur ses joues sans qu'elle puisse les contrôler, tandis que la voix de sa fille - sa magicienne à elle, partie dans son autre monde - lui parvenait de l'autre côt" du mur.

Somewhere over the rainbow ( Ailleurs, au-delà de l'arc-en-ciel )

Bluebirds fly ( Volent les merles bleus )

Birds fly over the rainbow ( Et si les oiseaux s'envolent au-delà de l'arc-en-ciel )

Why, then, oh why can't I ? ( Alors pourquoi ne le puis-je pas ? )

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Extrait ajouté par Python 2011-06-29T19:10:39+02:00

- Les enfants, c'est ici que va commencer le voyage. Je vais vous présenter celui qui va vous accueillir dans son deuxième Univers. Je vous demande deux choses : être poli et ne toucher à rien. Mais vous verrez : c'est un charmant monsieur, et...

- QU'EST-CE QUE C'EST QUE CE RASSEMBLEMENT DEVANT MA MAISON !

[...]

Il pointa l'index au loin, et cinq paires d'yeux s'agrandirent : devant eux s'élevait un immense canyon, avec ses vertigineuses falaises rocheuses entre lesquelles on devinait un étroit passage. De loin, on aurait dit un immense gâteau d'anniversaire orange coupé en deux.

Oscar contempla le spectacle, aussi impressionné que ses camarades.

- On se croirait dans un western, dit-il. Il ne manque plus que les cactus et les Indiens...

- Parfois, c'est aussi dangereux que dans un western, répondit Alistair sans en dévoiler plus. Mais il va falloir l'atteindre -et le traverser.

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Extrait ajouté par Mondaye 2011-02-25T12:00:51+01:00

Tout est finit

Il ralentit sa course se remit à marcher puis s’arrêta essoufflé. Devant lui la plaine s’étendait à l’infini. Pourtant il courrait depuis des heures, laissant derrière lui les immenses cavernes où il s’était perdu mille fois.

Il était épuisé, il avait soif et la température ne cessait de monter. Il voulut enlever sa cape parce que le contact du velours lui était pénible, mais il se rendit compte qu’au contraire, elle le protégeait de la chaleur ; il s’empressa de s’en envelopper. Il sortit sa gourde et but les dernières gouttes d’eau, très vite il lui faudrait trouver une source.

Pur se donner du courage, il effleura le M brodé de fil d’or de sa cape et regarda vers l’horizon : il devinait encore ces ombres longues et pointues qui émergeaient du sol comme des troncs d’arbres brûlés. Il tenta d’oublier le vent terrible qui ne tombait et qui desséchait tout- le vent qui rendait fou et qui donnait son nom aux plaines.

Il se baissa pour ramasser un peu de cette terre pâle qui crissait sous ses pieds, et c’est alors qu’il aperçut la première empreinte, toute proche.

Elle était beaucoup plus grande que celles qu’il avait laissées derrière lui et c’était celle d’un pied nu ou plutôt d’une patte qui se terminait en trois extrémités pointues. Des griffes ? Son coeur se mit a battre plus vite et plus fort comme si une alarme résonnait en lui pour annoncer un danger. Il fit quelque pas, et trois mètres plus loin, il reconnut une empreinte similaire. Trois mètres1 Mais quelle taille pouvait avoir cette créature pour faire des pas de trois mètres ? Peut-être courrait-elle ? Il l’espérait.

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Nouvel extrait

Valentine tomba dans ses bras sans le laisser finir sa phrase et fondit en larmes. –

Noooon ! cria-t-ele au milieu d’un sanglot digne de la plus grande actrice de théâtre. Je vous en supplie, ne me laissez pas ici, on me martyrise ! Un homme tout en noir, chauve sur le dessus du crâne et triste à mourir m’oblige à mettre des patins sur le parquet, et une gentile cuisinière très maniaque me fait ranger ma chambre et prendre une douche tous les jours, je vais fondre, sauvez-moi !! Bones, posté sur la dernière marche de l’escalier, leva les yeux au ciel et, à bien y regarder, peut-être eut-il une seconde ébauche de sourire.

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Extrait ajouté par Mindula 2011-01-31T20:07:58+01:00

Oscar PILL La révélation des Médicus

L' incroyable évasion ch 1

Sergueï Popov s' approcha de la fenêtre de son bureau et frissona : dehors, de gros flocons gris tourbillonnaient et le vent soufflait en rafales avant de s' infiltrer dans le moindre interstice et hurler entre les pierres. suite bintot

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Tu sais, la folie, ca ne veut rien dire. Tout dépend de ce qu’on estime être ‘normal’.

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- Oscar Pill !

Oscar baissa le bras, surpris, tandis que Valentine et Lawrence émergeaient des pans de velours verts brodés du M en fil d'or.

- Oui, Mr Smith ?

- Tu avais tort en tout point, car je n'ai pas mauvais caractère.

- Non, monsieur.

Leonid se pencha vers les trois enfants avec un air méchant.

- En fait, j'ai TRÈS mauvais caractère, rectifia-t-il. Alors si vous faites du grabuge à l'intérieur, gare à vous !

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Violette était plongée dans la contemplation d’une feuille blanche. Oscar se cala contre le mur au milieu des mille objets incongrus.

– Violette ?

– Mmh ?

– Je te dérange ?

– Non. Je lis.

– La feuille est blanche, tenta Oscar.

– Je sais, dit la jeune fille en pliant la feuille pour la ranger. Je lis toutes les histoires que j’ai écrites dans ma tête. C’est plus simple sur une page blanche.

– Pourquoi tu ne les écris pas vraiment ?

– Trop long, répondit Violette. Et puis ça change tout le temps

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Extrait ajouté par SherCam 2018-09-22T18:11:32+02:00

Le cercle des bêtes se resserra autour de lui. Il ferma les yeux pour ne pas voir les horribles grimaces, les crocs luisants, les visages déformés. Il essaya d’oublier les hurlements et se recroquevila sous la cape. Plus que la peur, une immense détresse le prenait à la gorge. Lui qui voulait rapporter un à un les Trophées qui feraient de lui un Médicus, lui qui tenait tant à rendre à son père et à sa famile l’honneur perdu, voilà qu’il alait mourir ici sur cette plaine hostile, terrassé par un Pathologus, seul parmi des bêtes féroces. Il aurait tant voulu aler au bout… Des larmes de rage roulèrent sur ses joues. Les visages de sa mère et de sa sœur apparurent sur l’étoffe verte de la cape.

Il serra le M brodé dans son poing, eut encore le temps de voir des pattes griffues se tendre vers lui, et le plus grand des monstres bondit.

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