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Je l’y rejoins. J’enchaîne les bières. Je sais que la boisson n’est pas réputée pour représenter le top de la féminité, mais j’ai envie d’avoir l’air de cette fille parfaite, à la fois ton pote et ta pute. Ça marche assez moyennement, voire pas du tout. Je me suis faite à l’idée que ces hommes rencontrés sur Internet ne cherchent pas en moi la femme qu’ils pourront aimer. Je ne suis que le vaisseau de leur plaisir d’un soir, et je prends le mien au passage. Ces hommes ne cherchent plus l’amour, ils picorent, prennent peur, et se rassurent dans le confort de leur solitude, sans prise de risque, jamais. »
Afficher en entierJe ne sais pas ce qui me trahit alors, la fragrance caractéristique qui s’échappait déjà de ma jupe chaque fois que je décroisais les jambes, ou le fait justement que j’avais choisi de porter cette jupe, irrévérencieuse au possible, le jour où je décidai de commettre ma première erreur professionnelle. Quoi qu’il en soit, M. Verdier, en son statut d’homme très occupé, ne prit pas de détours. J’étais assise depuis à peine cinq minutes qu’il me demanda soudain si je préférais expier ma faute par sa main ou par sa verge. En bonne repentante, je lui répondit que c’était lui le mieux placé pour juger de la justesse de mon blâme. Une réponse qui sembla le ravir puisque je profitai, ce jour-là, de ma première pénétration anale, accoudée contre le bureau, exactement comme j’avais imaginé qu’il prenait mes prédécesseurs. C’est ainsi, le cul encore dilaté et la bouche imprégnée d’une amère sanction, que je retournai à mon travail, bien décidée à tout mettre en œuvre pour susciter à nouveau les foudres de mon supérieur ».
Afficher en entierMa main part au-delà des bas. Pas de barrière pour les caresses les plus profondes ! Mes doigts s’enlisent dans le mucus qui trahit son excitation. Appuyée au dossier, passive, les cuisses ouvertes, elle se laisse faire. Vaincue d’avance, elle tente une dernière dénégation :
- Je t’en prie, arrête… j’ai honte, tu es si jeune… Tu pourrais être ma fille…
- Chut… Ne dis rien… Viens explorer le con de la petite salope qui a dû hanter tes nuits d’insomnie. »
Afficher en entierJe me mets en tailleur sur la table, jambes ouvertes, je dévisse délicatement le bouchon, j’écarte mieux les jambes et je m’enfile aussitôt le goulot sans perdre une goutte d’eau gazeuse. Ma chatte est si mouillée que ça rentre très facilement, et même plus profondément que je croyais. Je suis surprise par un plaisir qui s’annonce intense. Mon idée est de secouer la bouteille si fort en va-et-vient que l’eau gazeuse va jaillir en moi à grands flots finement pétillants et créer une pression qui va faire gonfler mon vagin. Ce sera comme si Alban se vidait en moi en un geyser de foutre, mais frais et en fines bulles. »
Afficher en entierSon index trouva sans peine le clitoris durci. Il continua à la doigter énergiquement tout en baissant la tête. De la langue, il taquina les salières de Vénus, ces adorables fossettes qu’elle arborait au-dessus des fesses, descendit le long de la crête sacrée, s’immisça dans la fente, se posa enfin sur la petite fleur mauve. Anne-Laure tressauta, mais il ne la lâcha pas. L’idée de sa laideur cramponnée à ce cul superbe pendant qu’il la fouillait à son aise lui procurait une sensation de puissance incroyable. »
Afficher en entierM. Barthélémy se leva et s’assit sur le siège près duquel était installée Marie-Charlotte. Le cœur de celle-ci se remit à battre fort et vite, le sang qu’il éjaculait dans ses artères alimentait directement son sexe, son clitoris tambourinait aussi fort que son myocarde.
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