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Commentaires de livres faits par oursala

Extraits de livres par oursala

Commentaires de livres appréciés par oursala

Extraits de livres appréciés par oursala

Avant - propos - p.9

Le savoir-vivre? Au milieu des questions si graves qui préoccupent le monde moderne, celle-ci mérite-t-elle de garder l'importance qu'on y attachait jadis? "Périmés, les usages anciens", déclare-t-on fréquemment, soit à regret, soit avec désinvolture.

Mais sans doute se produit-il à cet égard une certaine confusion dans les esprits. Le savoir-vivre n'a pas du tout perdu ses droits. Il ne pourrait les perdre qu'au détriment du respect de soi-même et des autres. S'il s'est allégé, cet allègement ne vient pas d'un sentiment de lassitude, d'indifférence, d'un relâchement de discipline morale : des raisons très légitimes ont amené la suppression de maints détails d'intérêt secondaire, qui lui donnaient une allure conventionnelle et démodée.

En effet, notre manière de vivre a tellement changé! La simplification des usages est le résultat d'une adaptation nécessaire, d'un ajustement logique et opportun. Parmi les usages, ceux qui ne s'accordent plus avec les mœurs et les circonstances d'eux-mêmes. D'autres naissent. De telle sorte que le savoir-vivre, lui aussi, apparaît rajeuni.

Nous pouvons donc être aussi polis et courtois qu'au temps de la fameuse "douceur de vivre". Politesse qui prendra parfois d'autres formes, mais qui se trouvera ainsi en harmonie avec l'âme moderne, ses devoirs et ses plaisirs.

Et jamais les bonnes manières furent-elles plus nécessaires? Un nivellement se faisant entre les diverse classes sociales, la correction et l'élégance ne forment plus l'apanage d'une élite. A quelques degré de l'échelle que se trouve un homme, une femme, un adolescent, il doit donc s'initier à ces règles parfaitement raisonnables, fondées sur des sentiments de haute valeur : respect d'autrui, souci de l'ordre social et de la dignité personnelle, et non sur des préjugés désuets.

Guidés, nous l'espérons, par ce livre, vous pourrez prendre ou garder votre place parmi les gens qui, si simple que soit leur origine savent ce qu'il convient de dire et de faire en chaque circonstance. Une telle courtoisie est l'indice de la vraie distinction : celle de l'âme.
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Une discussion franche (conclusion du livre)

Enseignez une sexualité biblique - p. 212

La sexualité biblique va bien plus loin que "Dieu interdit les relations sexuelles!". La sexualité biblique enseigne que Dieu a crée notre sexualité et que, non seulement Il l'a créée, mais il la considère bonne (Genèse 1.31)!

Aujourd'hui trop de jeunes chrétiens et non chrétiens pensent que Dieu déteste la sexualité. Comme je l'ai dit auparavant ils pensent que Dieu est le rabat-joie par excellence. Souvent, ils entretiennent ces pensées parce que personne n'a jamais pris la peine de leur expliquer en quoi consiste la sexualité dans la perspective divine.

Nous devons communiquer à nos enfants que notre corps et notre sexualité sont des dons de Dieu (1 Corinthiens 6. 19-20). Ces dons devraient être respectés et soignés. Nous devons enseigner le point de vue biblique sur le péché que représente les relations sexuelles avant le mariage. Puis, sachant que de nombreux jeunes finissent par connaître une certaine promiscuité sexuelle, nous devons nous assurer que nos enfants apprennent la grâce et le pardon. Je crains que la plupart des jeunes soient ignorants en matière de sexualité biblique. Vous avez le privilège rare de leur apprendre ce qu'ils ont désespérément soif de connaître.
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Partie 1 : Poser de bons fondements

Objectif : réussir notre couple - p.37

Entretenir la complicité
Le processus par lequel deux vies se fondent en une ne peut se faire que si l'on acquiert l'habitude de raconter à l'autre ce qui fait nos journées. Cela peut parfois demander un effort considérable, mais c'est ce qui développe notre complicité : au fur et à mesure que nous partageons les détails de nos quotidiens, nous mettons en commun un capital d'expériences qui approfondissent notre compréhension mutuelle.
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Partie 1 : Poser de bons fondements

Voir à long terme - p.22

Beaucoup de couples se séparent, non par incompatibilité, mais parce qu'ils ne savent pas ce qu'il faut faire pour maintenir leur union. Dans notre société, de moins en moins de personnes grandissent dans un foyer où elle ont un exemple de relations solides.

Nous vivons dans une société de consommation où nous n'avons pas l'habitude de réparer quoi que ce soit. Quand un appareil ne marche pas, il est plus facile et moins onéreux d'en acheter un nouveau. La publicité s'efforce de nous faire désirer ce que nous n'avons pas, alors que nous devrions être reconnaissants de ce que nous avons. Elle renforce notre soif de jouissance immédiate, comme le dit ce slogan publicitaire pour le crédit : "Faites-vous plaisir maintenant, et payez dans trois mois!". Tout nous pousse à croire que la satisfaction vient de ce que l'on peut avoir avec un minimum d'efforts plutôt que s'impliquer pour l'obtenir.

"A notre époque, déclare le sociologue et auteur anglo-saxon, Alvin Toffler, les gens ont la mentalité du jetable. Non seulement ils ont des produits jetables, mais ils se font des amis jetables et cette mentalité produit des mariage jetables."

De nos jours le mariage est souvent envisagé comme un contrat temporaire entre deux individus tant que l'amour perdure. Notre culture met l'accent sur la liberté de chacun. Si la relation ne me satisfait plus personnellement, il vaut mieux que je m'en aille. S'il n'y a plus d'amour dans le couple, il vaut mieux en finir.

Cependant, notre société est en train de découvrir qu'on ne se débarrasse pas des conséquences d'une séparation aussi facilement qu'on voudrait nous le faire croire. Le fait de n'être qu'un dans le lien du mariage a pour conséquence qu'on ne peut séparer les deux êtres sans déchirure ni souffrance. C'est comme deux feuilles de papier qui ont été collées. Elles ne font plus qu'une feuille et on ne peut pas les détacher sans les endommager toutes les deux.
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Conclusion - p.235

Vivre sa passion

Les passionnés soulèvent leur monde... Il semble essentiel au terme de ce parcours de revenir à la citation d'origine, pour dire et redire combien l'homme, chaque homme, est invité à trouver un épanouissement profond de lui-même, à partir de ce qu'il est, des mouvements de son être, de son âme, de sa phycologie, de son corps...

Cette recherche d'équilibre et d'épanouissement n'est pas toujours évidente. mais elle est essentielle, et concerne en particulier l'apprentissage de la passion juste par la vertu. Les mouvements impérieux de notre personnalité, qui sont bien trop souvent occasions de souffrances pour nous-mêmes comme pour nos proches, se révèlent source d'une grande énergie, significatifs de notre ressemblance personnelle au bien. Chacun d'entre nous, au plus intime de son être, est investi par une parcelle de ce bien qui attire tout être à lui-même. Avec cette vision issu de l'anthropologie d’Aristote et de Thomas d'Aquin, chaque homme fait partie d'un tout qui le dépasse, mais qui n'existerait pas sans lui.

L'humanité toute entière, en chaque homme qui la constitue, se découvre passionnée par le bien : sa mission, sa vocation, est d'incarner ce bien au quotidien, par son agir moral en fonction de ce qu'il est, de son caractère, de sa personnalité.

Vivre sa passion se révèle alors comme le chemin proposé à chacun. Il ne s'agit pas de se laisser gouverner par ses passions, nous l'avons vu au long de ces pages mais de les rendre pleinement humaines. Si elles restent au niveau d'une pulsion plus ou moins inconsciente, elles risquent en effet de détruire l'homme. mais acceptées pour ce qu'elles sont, comprises par l'intelligence, guidées par la volonté, elles se révèlent comme une des forces principales de notre vie.

C'est pour cette raison que nous n'avons pas à avoir peur de la connaissance de soi, d'écouter ce que nous sommes. Notre nature profonde est porteuse d'une richesse bien trop souvent niée. Se connaître réellement et donner à notre passion dominante toute sa place est un risque indispensable pour que chacun puisse trouver sa voie et sa voix dans ce monde. Sans cette démarche, nous ne suivrons que les chemins d'un autre, nous ne dirons que ses mots... Et il manquera une voix à l'harmonie du monde.
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Quelle qu'en soit la cause, l'équilibre de votre vie est pertubé. Vous aurriez bien besoin de soutien et de réconfort, mais vous ne savez vers qui vous tourner : "A qui faire confiance? Qui pourra me comprendre? Comment faire cesser la douleur morale? Par où et par quoi commencer?"

Guérir prend du temps.
Cela ne se fait pas en une semaine.
Les blessures de l'âme sont comme celles du corps _ plus la plaie est profonde, plus la cicatrisation demandera du temps.
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date : 08-08-2014
Proverbes 23, 29-35 dit Portrait de l'ivrogne

Pour qui s'écrie-t-on "malheur" et "hélas"? Qui se dispute sans cesse et se plaint sans arrêt? Qui reçoit des coups sans raison? Qui a la vue trouble? C'est l'homme qui s'attarde à boire du vin et essaie sans cesse de nouveaux mélanges d'alcool. Ne soit pas tenté par la belle couleur du vin qui pétille dans la coupe. Il coule agréablement dans le gosier, mais finalement il est comme une morsure de serpent, comme le poison d'un reptile venimeux. tes yeux auront des visions, ton esprit et tes paroles deviendront confus. Tu te croiras en pleines mer, balancé au sommet du mât d'un navire. Tu te diras : "J'ai dû être blessé et battu sans avoir mal et sans m'en rendre compte. pourvu que je me réveille bientôt pour redemander à boire!".
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date : 08-08-2014
Proverbe 31, 10-31 dit Portrait de la femme vertueuse

Qui peut trouver une femme vertueuse? Elle a bien plus de valeur que les perles.
Le coeur de son mari a confiance en elle, Et les produits ne lui feront pas défaut.
Elle lui fait du bien, et non du mal, Tous les jours de sa vie.
Elle se procure de la laine et du lin, Et travaille d'une main joyeuse.
Elle est comme un navire marchand, Elle amène son pain de loin.
Elle se lève lorsqu'il est encore nuit, Et elle donne la nourriture à sa maison Et la tâche à ses servantes.
Elle pense à un champ, et elle l'acquiert; Du fruit de son travail elle plante une vigne.
Elle ceint de force ses reins, Et elle affermit ses bras.
Elle sent que ce qu'elle gagne est bon; Sa lampe ne s'éteint point pendant la nuit.
Elle met la main à la quenouille, Et ses doigts tiennent le fuseau.
Elle tend la main au malheureux, Elle tend la main à l'indigent.
Elle ne craint pas la neige pour sa maison, Car toute sa maison est vêtue de cramoisi.
Elle se fait des couvertures, Elle a des vêtements de fin lin et de pourpre.
Son mari est considéré aux portes, Lorsqu'il siège avec les anciens du pays.
Elle fait des chemises, et les vend, Et elle livre des ceintures au marchand.
Elle est revêtue de force et de gloire, Et elle se rit de l'avenir.
Elle ouvre la bouche avec sagesse, Et des instructions aimables sont sur sa langue.
Elle veille sur ce qui se passe dans sa maison, Et elle ne mange pas le pain de paresse.
Ses fils se lèvent, et la disent heureuse; Son mari se lève, et lui donne des louanges:
Plusieurs filles ont une conduite vertueuse; Mais toi, tu les surpasses toutes.
La grâce est trompeuse, et la beauté est vaine; La femme qui craint l'Éternel est celle qui sera louée.
Récompensez-la du fruit de son travail, Et qu'aux portes ses oeuvres la louent.
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Préface du livre

C'est toujours au pire moment que cela arrive! Alors que j'ai trois rendez-vous professionnels importants aujourd'hui, ma fille pleure car elle a mal à l'oreille. C'est sûrement une otite, il faut que je coure chez le pédiatre, que j'affronte avec calme une salle d'attente bondée et souffreteuse. La dernière fois, en catastrophe, c'était ma mère que je devais accompagner de toute urgence vois son médecin car elle ne se sentais pas bien.

Ensuite c'est toujours pareil : une consultation éclair avec le plus souvent une ordonnance bétonnée en antibiotiques, anti-inflammatoires, ect. Mais que nous propose-t-on d'autres? Est-il possible de se soigner différemment, de manière moins agressive, afin de prévenir ou de soigner ces maux courants?

J'ai mené mon enquête et j'ai rencontré un groupe de médecins, dirigé par le docteur Jean-Claude Lapraz, qui propose, au cœur de la science dont ils sont issus, une nouvelle méthode de diagnostic très précise avec des traitements à base de produits d'extraction naturelle comme les plantes, les huiles essentielles, les oligoéléments, adaptés au terrain de chacun.

Dans ce groupe, j'ai rencontré le docteur Jean-Christophe Charrié qui enseigne la phytothérapie clinique, en France et à l'étranger. Nous avons rédigé ensemble ce guide très pratique et concret qui va vous permettre de découvrir les nombreux conseils de ce médecins généraliste. Sa salle d'attente ne désemplit pas et il est difficile d'obtenir un rendez-vous pour les nouveaux patients. A travers ce livre, c'est comme s'il vous offrait une longue consultation afin de vous guider dans la pratique d'une automédication raisonnée.

Ainsi, vous ne vous retrouverez plus seul devant vos symptômes.

A chaque saison, les maux les plus courants sont décris et trouvent une explication simple et claire avec de nouvelles pistes permettant de les enrayer grâce à des produits naturels, faciles à trouver dans votre cuisine ou à se procurer chez votre pharmacien. Vous saurez comment obtenir de bons résultats avec des produits respectueux de votre physiologie. Sachez en tirer le maximum pour maintenir votre santé ou la retrouver.
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Les yeux de Brigitte et de son frère Denis s'envoient des étincelles et, sur les lèvres nettes et railleuses du grand garçon, je vois se reformer inlassablement les deux syllabes : "Moi, je...". Mais cette guerre-là ne fait pas de bruit. alors, tante Anne pousse un tendre soupir :
- C'est tout de même bon de se trouver au milieu de gens heureux! Hier, j'étais là-bas...
"Lâ-bas" désigne le lotissement très pauvre où tante Anne passe ces jours.
- Et il y a tant de misères! Je voyais deux gamins jouent avec des boîtes de sardines qu'ils traînaient par de vieux cordon de souliers en appelant ça "mon auto". Et leur mère m'a dit : "Ils n'ont jamais eu de joujoux. On est trop pauvres!".
Line, Jean-Joie et Marie sont pétrifiés.
-A nous, on défend de toucher les boîtes de sardines parce que ça coupe et que c'est sale. Pas de joujoux! Quel âge avaient-ils, les petits enfants? Comment s'appelaient-ils?
Les yeux clairs de Line ont leurs ombre émouvante. Jean-Joie fait une moue désolée. Et les "Moi je..." recommencent, mais d'un tout autre accent.
- Si j'étais riche, moi, murmure l'un. Mais il n'y a plus rien du tout dans ma tirelire.
- Moi, j'ai cinq sous, murmure l'autre. Peut-on acheter des joujoux avec cinq sous?
- Y a t'il d'autres petits enfants là-bas qui n'auront pas d'étrennes?
- Oh oui! répond tante Anne. Et pas seulement là-bas : dans toute la France, dans le monde, partout, il y a beaucoup d'enfants sans joujoux et sans bonbons. Et même sans habits chauds et sans pain.
Roseline passe le bras autour du cou de son frère.
-Si nous leur donnions nos joujoux? disent-ils d'une seule voix.
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