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Liste des extraits

Je remontais doucement à la surface de la conscience, tout en me demandant: Que disait Ernest Hemingway déjà? Qu’en théorie la douleur vous fait automatiquement tourner de l’œil, sauf que cela ne se passe jamais comme ça. C’était pourtant ce qui venait de m’arriver, mais il n’avait pas complètement tort; je n’avais perdu connaissance que quelques secondes. Roulée en boule, les mains pressant mon flanc droit, je sentais le sang couler entre mes doigts, chaud, froid et poisseux; et je commençais à avoir mal… très mal…

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Le ventre de Grey se noua à l’idée de se retrouver face à Jamie, et encore plus à celle de lui annoncer que William avait disparu.

— Il s’est battu aux côtés de Benedict Arnold, à Saratoga, expliqua-t-il. Sa femme est en très bons termes avec le général.

— Que Dieu vienne en aide à ce pauvre Arnold! marmonna Hal.

— De plus, qui aurait de meilleures raisons de nous aider que Jamie Fraser?

— Je ne te le fais pas dire, murmura son frère.

Le silence retomba entre eux et Hal replongea dans ses méditations. Il ne reprit la parole que lorsqu’ils s’arrêtèrent au bord d’un ruisseau pour abreuver leurs montures et s’asperger le visage.

— Si je comprends bien, non seulement tu as épousé la femme de Fraser, mais tu as également élevé son fils illégitime pendant plus de quinze ans?

— En effet.

Le ton de Grey indiquait clairement qu’il n’avait pas envie d’en discuter davantage.

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— J’aime quand tu gémis, Rachel, railla-t-il en s’interrompant un instant. Veux-tu que je te fasse crier?

— Oui, haleta-t-elle. S’il te plaît.

— Pas tout de suite.

Il se souleva légèrement pour laisser passer un peu d’air entre eux. La chambre était petite et très chaude. Elle toucha son torse et frotta doucement son pouce contre son mamelon. Il sentit la sensation fuser droit dans sa verge.

— À mon tour, chuchota-t-elle.

Elle se redressa sur un coude, sa main libre autour de son cou, et suça doucement son téton.

— Encore, dit-il d’une voix rauque. Plus fort. Mords.

— Mords? répéta-t-elle en s’interrompant un instant.

— Mords.

Il roula sur le dos et l’attira sur lui. Elle prit une grande inspiration et abaissa à nouveau la tête, répandant sa chevelure sur son torse.

— Aïe!

— Tu m’as dit de mordre! Oh, Ian, je suis désolée. Je ne voulais pas te faire mal!

— Tu ne m’as pas fait mal. Enfin… si. Mais… tu peux recommencer?

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Ce devait être fait, et rapidement. Entre les craintes de Jamie et mes propres doutes, j’avais repoussé la question de l’éther. À présent, je ne pouvais plus attendre. Je ne pouvais opérer Sophronia sans une bonne anesthésie générale.

J’avais déjà décidé de le fabriquer dans le minuscule abri qui se trouvait au fond du grand potager de Mme Landrum. Il était situé en dehors de la ville, avec tout autour un arpent de terre qui n’abritait que des choux frisés et des carottes en hivernage. Si je me pulvérisais en mille morceaux, je n’entraînerais personne avec moi.

Doutant que cette observation rassure Jamie, je m’abstins de lui dévoiler mon projet. Je rassemblerais tout ce dont j’avais besoin et ne l’informerais qu’au dernier moment pour éviter qu’il se ronge les sangs. Je ne doutais pas de trouver les ingrédients nécessaires. Savannah était une ville assez importante, et un port de surcroît. Il y avait au moins trois apothicaires, ainsi que plusieurs entrepôts qui importaient des produits spécialisés d’Angleterre. Quelqu’un aurait forcément de l’acide sulfurique, également appelé huile de vitriol.

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IAN ET RACHEL

Ian souleva la robe verte dans un bruissement d'étoffe, puis Rachel secoua vigoureusement la tête en projetant des épingles à cheveux dans toutes les directions. Elle lui sourit, sa chevelure sombre retombant en désordre. Il se mit à rire et cueillit les dernières petites attaches métalliques. Jenny lui avait fait un chignon, avant la réception de White Camel.

- J'ai cru mourir, soupira-t-elle en glissant ses doigts dans ses cheveux libres. Entre les épingles qui me rentraient dans le crâne et mon corset serré. Tu veux bien me délacer, mon époux ?

Elle lui tourna le dos et le regarda par-dessus son épaule avec un regard malicieux.

Il n'avait pas cru possible d'être aussi ému et plus excité, mais ce dernier regard le fit battre tous les records. Il glissa un bras autour de sa taille, la faisant glousser de plaisir, tira sur le nœud de ses lacets et lui mordit doucement la nuque, lui arrachant un couinement beaucoup plus fort. Elle se débattit et il rit, la serrant plus fort tout en dénouant ses liens. Elle était svelte comme un jeune saule et encore plus souple. Elle se tortilla contre lui et ce petit corps à corps échauffa encore ses sens. S'il avait eu moins de sang-froid, il l'aurait clouée sur le lit en quelques secondes, avec son corset, sa chemise et ses bas.

Il la libéra néanmoins, fit glisser ses bretelles sur ses épaules et lui passa le corset par-dessus la tête sans le dégrafer. Elle s'ébroua à nouveau et puis lissa sa chemise moite se redressa, droite et fière devant lui. Ses tétons pointaient sous le tissu mou.

- J'ai gagné ton pari pour toi, annonça-t-elle.

Elle passa les doigts sur le petit ruban bleu tissé dans le col de sa chemise, et lui montra l'ourlet brodé de petites fleurs bleues, roses et jaunes.

- Comment étais-tu au courant ?

Il l'attira à lui et posa les mains à plat sur ses fesses.

- Crédieu, tu as un si joli petit derrière bien rond !

- Quoi, tu blasphèmes pendant notre nuit de noces ? le gronda-t-elle en souriant.

- Je ne blasphème pas, je remercie le ciel. Et qui t'a parlé du pari ?

Fergus lui avait parié une bouteille de stout qu'une épouse quaker porterait de simples sous-vêtements en lin sans ornements. Ian n'en savait rien, mais il avait espéré que Rachel considérerait que faire plaisir à son mari n'était pas un péché de vanité.

- Germain, naturellement, répondit-elle.

Elle glissa les bras autour de son corps et, comme lui, posa les main sur ses fesses.

- Le tien n'est petit ni rond, mais il n'en est pas moins charmant. As-tu besoin d'aide avec tes lacets ?

Devinant qu'elle en avait envie, il la laissa s'agenouiller et dénouer les lacets de sa braguette. En voyant sa tête échevelée sous lui tandis qu'elle s'appliquait à la tâche, il posa ses mains sur ses cheveux, savourant leur chaleur.

Sa culotte retomba autour de ses chevilles et elle se redressa pour l'embrasser. Sa main traînante rencontra son membre au garde-à-vous et elle le caressa.

- Ta peau est si douce, là, en bas. Comme du velours.

Sa caresse n'était pas hésitante, mais très légère. Il enroula ses doigts autour des siens et lui montra comment le tenir fermement et jouer avec. Elle apprenait vite.

- J'aime quand tu gémis, Ian, murmura-t-elle en se pressant contre lui

- Je ne gémis pas.

- Mais si

- C'est juste ma respiration. Oh... C'est bon... Mais... Attends...

Il la souleva (elle fit un petit << Oups ! >>) et la porta jusqu'au lit. Il la laissa tomber sur le matelas (avec un << Oups >> nettement plus fort) et se jeta à ses côtés avant de la prendre dans ses bras. Il y eut un certain nombre de contorsions, de gloussements et de sons décousus. Elle réussit à lui ôter sa chemise, alors qu'il n'était parvenu qu'à remonter la sienne et à l'abaisser sous ses seins, si bien que le vêtement était enroulé autour de sa taille.

- J'ai gagné, annonça-t-elle en se trémoussant pour la passer le long de ses jambes et le repousser du pied.

Il prit son sein dans sa bouche. Elle émit un son très gratifiant et lui tint la tête. Il redoubla d'ardeur, dardant la langue telle une vipère.

- J'aime quand tu gémis, Rachel, railla-t-il en s'interrompant un instant. Veux-tu que je te fasse crier ?

- Oui, haleta-t-elle. S'il te plaît.

- Pas tout de suite.

Il se souleva légèrement pour laisser passer un peu d'air entre eux. La chambre était petite et chaude. Elle toucha son torse et frotta légèrement son pouce contre son mamelon. Il sentit la sensation fuser droit dans sa verge.

- A mon tour, chuchota-t-elle.

Elle se redressa sur un coude, sa main libre autour de son cou, et suça doucement son téton.

- Encore, dit-il d'une voix rauque. Plus fort. Mords.

- Mords ? répéta-t-elle en s'interrompant un instant.

- Mords.

Il roula sur le dos et l'attira sur lui. Elle prit une grande inspiration et abaissa à nouveau la tête, répandant sa chevelure sur son torse.

- Aïe !

- Tu m'as dit de mordre ! Oh, Ian, je suis désolée. Je ne voulais pas te faire mal !

- Tu ne m'as pas fait mal. Enfin... si. Mais... tu peux recommencer ?

Elle lui adressa un regard perplexe. Il lui vint à l'esprit que, lorsque oncle Jaime lui avait conseillé de procéder lentement et doucement, il n'avait peut-être pas voulu dire qu'il fallait épargner sa partenaire.

- Viens ici, mo nighean donn.

Il l'attira à lui. Son cœur tambourinait contre sa poitrine et il ruisselait de sueur. Il écarta ses cheveux de son visage et les glissa derrière ses oreilles.

- Allons-y d'abord doucement, d'accord ? Ensuite, je te montrerai ce que j'entends par << mordre >>.

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Aux dernières nouvelles, Rachel proposait Fox, pour George Fox, le fondateur de la Société des Amis. Naturellement, ils ne peuvent l'appeler George à cause du roi. Ian n'ayant pas une grande estime pour les renards, il suggère plutôt Wolf. (1)

1) Fox, "renard", et wolf, "loup", en anglais.

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- Tu as perdu tes parents très jeune, mo nighean donn, et tu as erré de par le monde sans racines. Tu as aimé Frank (ses lèvres se plissèrent légèrement sans qu'il en soit conscient) et, naturellement, tu aimes Brianna, Roger Mac et les enfants, mais... Sassenach, je suis la vraie demeure de ton cœur. Je le sais.

Il déposa un baiser dans chacune de mes paumes, son souffle chaud sur mes doigts.

- J'en ai aimé d'autres et j'aime beaucoup de gens, Sassenach, mais toi seule tiens mon cœur tout entier entre tes mains, et tu le sais.

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John était un admirable soldat et un gentleman accompli, membre d'une honorable famille de l'ancienne noblesse. Il était également homosexuel à une époque où une telle orientation était un crime capital.

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- C'est quoi ce mot que tu as failli prononcer, maman ? demanda Joanie. Celui qui veut dire la même chose qu'éliminer.

- Massacrer, répondis-je pour épargner Marsali. Cela veut dire assassiner sauvagement et sans discernement plusieurs personnes. Tiens.

Je lui tendis une nouvelle compresse que, pour une fois, elle appliqua sans rechigner.

- En quoi c'est différent de tuer simplement ?

- Cela dépend. Tu peux tuer quelqu'un par accident, par exemple, auquel cas ce n'est pas un massacre, même si c'est très regrettable. Tu peux aussi tuer quelqu'un qui cherche à te tuer. Il s'agit alors d'une défense légitime.

- Rachel dit que c'est mal, observa Joanie pour la forme. Et si on est dans une armée et qu'on doit tuer les soldats de l'autre camp ?

Marsali fit une grimace de réprobation et répondit sèchement :

- Si un homme s'engage dans l'armée, alors tuer devient son métier. Mais il le fait avant tout pour protéger sa famille et ses biens. C'est un peu comme une défense légitime, comprends-tu ?

- Je comprends "sauvagement", déclara Joannie. Ca veut dire brutal quand on n'a pas besoin de l'être, mais "sans discernement" ?

Elle prononça soigneusement le mot comme si elle se préparait à l'épeler.

- Cela veut dire tuer des gens au hasard alors qu'ils ne t'ont rien fait.

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Tu as dit qu’entre deux personnes qui s’aimaient, il y avait de la place pour des secrets, mais pas pour des mensonges. Je ne veux pas te mentir, Jamie, mais je n'ai vraiment pas envie d'en discuter avec toi.

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