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Parler ne fait pas cuire le riz



Description ajoutée par Kesciana 2017-04-10T11:59:58+02:00

Résumé

À bientôt quarante ans, Jeanne est au bout du bout du rouleau. Plus de mec, un travail qui ne rapporte pas un rond, des relations tendues avec sa mère et quelques kilos en trop, sa vie ressemble à un désastre. Afin de l’aider à faire le point, sa soeur lui offre une semaine de vacances. Mais pas pour se la couler douce, non, pour faire une cure de jeûne. Le pire cauchemar de Jeanne ! Imaginer dire adieu au pain au chocolat du matin et à tous les gâteaux qu’elle avale compulsivement, c’est déjà une torture, alors huit jours de diète forcée, c’est au-dessus de ses forces. Et pourtant … C’est au fin fond du Pays basque que la retraite commence avec Myriam, spécialiste déjantée ès jeûnes, et son mari JP, baba cool à la masse. Au programme: yoga, randonnée et bouillons. Pour Jeanne, la semaine s’annonce longue, très longue. Franck, le neveu de Myriam, et son ami Gustave, appelés en renfort, l’aideront-ils à surmonter sa mauvaise humeur ?

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Classement en biblio - 44 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par magaliB 2018-07-26T10:19:05+02:00

Chapitre 1

Dans moins d’une minute, le verdict va tomber. Louise est convaincue que son intuition est prémonitoire et moi, je suis persuadée qu’elle se trompe. Plus que cinq secondes pour savoir laquelle de nous deux a raison. 5, 4, 3, 2, 1, 0…

L’icône qui apparaît sur le petit écran de contrôle, un cercle avec deux points pour les yeux et un trait pour la bouche, affiche un sourire, comme si c’était forcément une bonne nouvelle. Je suis enceinte. Voilà, voilà. J’ai la chanson Am stram gram pic et pic et colegram, bour et bour et ratatam dans la tête, signe que je m’en remettrais bien au hasard pour que son pic dam final désigne la bonne réponse du doigt : tuile ou pas tuile ?

Je rejoins Louise à table pour qu’elle m’aide à trancher. À  mon regard, elle comprend et se jette dans mes bras, folle de joie. Je me vois dans l’obligation de lui rappeler que Maxime déteste les enfants, ce qui tombe moyennement bien, vu mon état actuel. À  part pleurnicher, séparer les couples épuisés et coûter une blinde, Maxime ne voit pas bien ce qu’un enfant fait d’autre.

C’est dit. Alors, pfft, circulez les mioches, y’a rien à voir ici ! Après ce survol accéléré de la tendance de Maxime à aimer ses prochains bien moins que lui-même, je laisse Louise reprendre la parole.

— Un peu réducteur, comme toujours avec lui.

— C’est dommage que tu ne puisses pas le blairer, parce que tu le connais plutôt bien. En tout cas, on pourra dire ce qu’on voudra, je suis mal barrée. Soit je privilégie le bébé et c’est Maxime qui fait ses valises, soit…

— Encore faudrait-il qu’il ait des valises chez toi.

— C’est vrai… Soit c’est l’inverse, et c’est le bébé qui va voir ailleurs si j’y suis. Dans les deux cas, il y a un déménagement à la clé. Si tu penses à une autre option, je suis preneuse.

— Je ne peux pas imaginer qu’il ne comprendra pas que c’est ta seule et unique chance d’être maman à bientôt quarante ans, Jeanne. Ce bébé, c’est un cadeau du ciel. C’est comme ça qu’il faut que tu le présentes. Pas comme une galère sans nom qui vous tombe dessus.

— J’apprécie ton optimisme, mais c’est un peu une galère quand même.

— Inverse le courant justement, sinon, tu sais très bien ce qui va se passer. Tu vas apporter de l’eau à son moulin et il va te servir mille et une bonnes raisons de ne pas le garder et, toi, tu vas céder. À contrecœur, mais tu vas néanmoins céder parce que tu as tellement peur qu’il te quitte que tu es prête à faire l’impasse sur ce qui compte vraiment pour toi.

— Il ne veut pas d’enfant, Louise, et n’en voudra jamais. Avec personne, pas même avec moi. Tu le sais et je le sais. C’est catégoriquement sans appel.

— Sans appel, sauf que la donne a changé aujourd’hui, tu ne peux pas le nier.

C’est exact. J’attends un bébé, un bébé pas encore tout à fait réel, mais qui n’est déjà plus un concept et comme Louise le dit si bien, les projets sont inhérents à la vie de couple. Rien n’est jamais gravé dans le marbre, pas même l’inexistante fibre paternelle de Maxime qui pourrait très bien se matérialiser maintenant que l’imprévu, aussi cataclysmique soit-il, s’en est mêlé.

— Et je te rappelle que tu es la femme qui partage sa vie depuis deux ans.

— Oui, et donc ? Tu crois que ça me donne le droit de lui faire un enfant dans le dos ?

Elle le croit, en effet. Mais n’exagérons rien, je ne lui ai pas fait dans le dos, pas sciemment en tout cas. C’est un accident d’une banalité à pleurer. Un préservatif pas mis à temps. Ça, c’est la version officielle, celle pour ma mère et ma sœur. La version officieuse, c’est que je me suis gourée dans mes calculs, résultat, un J-8 s’est transformé en une pleine période d’ovulation et je ne me suis pas protégée. Même si j’aimerais beaucoup blâmer Maxime, je suis la seule  responsable. Pour Louise, ça n’est rien de moins qu’un acte manqué qui la fait beaucoup rigoler.

— Inconsciemment, tu le voulais cet enfant. Ta tête t’a peut-être convaincue qu’il ne se passerait rien, mais ton corps, lui, savait que c’était le moment. Et tu vois, il ne s’est pas trompé.

— Présenté comme ça, tu me donnes vraiment l’impression de l’avoir piégé.

— Au final, le résultat est le même, tu ne croispas ?

Instantanément, je me sens coupable. C’est un sentiment que je connais bien, la culpabilité, je ne suis donc pas surprise de la voir apparaître.

Elle me renvoie trente-deux ans en arrière, se niche au creux de mon ventre où elle va se blottir et prendre, en habituée, ses quartiers d’été. La culpabilité fait tellement partie de moi depuis ce jour maudit de décembre, que j’ai l’impression que je ne saurais plus vivre sans. Alors, je vis avec. Rectification, je survis avec.

J’ai huit ans. Mon père et moi décorons le sapin de Noël. Il est gai, heureux d’accrocher les boules et les guirlandes assorties que je lui passe en riant.

Justine, ma petite sœur de trois ans est dans la cuisine avec ma mère. Le dîner est prêt, pas notre arbre. Il ne manque pourtant pas grand-chose pour qu’il soit parfait. Dix fois, ma mère vient et revient nous rappeler à l’ordre, refusant que notre activité passe avant ses rôti et gratin dauphinois qui sont déjà servis et refroidissent. Un gratin toujours trop sec, sans suffisamment de crème et de goût, et que je me force chaque dimanche à picorer sans aucun plaisir. Je ne demande pas la lune, juste quelques secondes pour qu’elle nous laisse terminer, mais rien ne peut la faire fléchir, pas même mes larmes de déception et de colère.

Je connais les règles et je dois les appliquer et il n’y a pas de c’est Noël qui tienne. Mon père descend de l’escabeau à contrecœur sans moufter, refusant à son habitude d’envenimer une situation bien assez explosive comme ça.

Il me sourit, puis se penche vers moi pour m’embrasser, déposant dans ma paume la grande étoile du Berger qu’il tient à la main.

— Viens à table, ma chérie, et sèche tes jolis yeux, on s’en occupera tout à l’heure tous les deux.

C’est plus fort que moi, je sanglote, incapable de me contenir et le supplie de remonter pour l’accrocher. Il ne reste que ça à faire, bon sang, elle ne va quand même pas tout gâcher juste parce que l’heure c’est l’heure !

Si. Ma mère se moque de moi en me singeant, tournant au ridicule ma peine qui n’est, pour elle, rien d’autre qu’un caprice de petite fille trop gâtée par un papa trop gâteux. Elle me tire par le bras pour me faire sortir du salon et m’envoyer dans ma chambre.

J’hurle : « Papaaaaaa ! » Il hurle à son tour :

« Lâche-la immédiatement ! » Ma mère s’exécute, mais avant, elle me gifle. « Tu es contente de toi ? Tu as eu ce que tu voulais ? On se dispute encore à cause de toi ! » Puis, Justine sur les talons, elle sort en claquant la porte.

D’une voix douce, mon père s’agenouille devant moi, me caresse tendrement la joue puis me relève le menton pour que je le regarde droit dans les yeux.

— Passe-moi l’étoile, ma Jeannette que j’aime du fond du ciel jusqu’au fond de la mer et même au-delà de l’univers. On va finir ce que nous avons commencé. Le rôti et ta mère attendront bien quelques secondes.

Pour me faire plaisir, parce qu’il m’aime, parce qu’une étoile c’est plus important qu’un rôti, parce  que la peine de sa fille vaut bien une engueulade de sa femme, il remonte sur l’escabeau. Le sapin est si haut que même sur la dernière marche, il est sur la pointe des pieds. Il se penche, les bras tendus, l’étoile dorée scintillant au bout d’une ficelle pailletée. Il se penche un peu trop ou peut-être un peu trop vite, je ne sais pas. Ce que je vois, c’est sa main crispée sur sa poitrine, sa bouche ouverte d’où aucun son ne sort. Et son regard. Mon Dieu, ce regard…

Il bascule en arrière. Sa tête heurte le coin en marbre  de la cheminée avec un bruit sourd de noix de  coco éclatée. Clong. Fin de la pièce.

Tombée de rideau. Pluie d’étoiles filantes devant mes yeux. Pas d’applaudissements. Que le sang,l’effroi e t le torrent de mes larmes mêlés à mes cris et à ceux de ma mère qui, en attendant les pompiers, vocifère : « Regarde ce que tu as fait ! Tu as tué ton père ! » Il lui faut un coupable pour justifier une crise cardiaque qui n’a pas eu la présence d’esprit d’envoyer des signes avant-coureurs qui m’auraient affranchie de toute responsabilité dans cette affaire. Il lui faut un coupable, oui, et je suis toute désignée puisque j’ai désobéi. C’est donc logiquement de ma faute.

Envoyés au diable les Noëls, les sapins, les boules colorées, les cadeaux aux jolis rubans.Adieu santons, Rois mages, petit Jésus dans la crèche, enterrés à la cave avec ma foi. Il ne nous est resté que la mort qui s’est incrustée dans les silences et les regards entre ma mère et moi. La mort et la culpabilité. C’était de ma faute, c’est vrai. Si je n’avais pas insisté. Si je l’avais écoutée, si je n’avais pas fait la comédie. Si et si et si, mon père serait encore vivant. Pour survivre à tout ça, je me suis agrippée comme une naufragée à la seule chose positive que j’ai trouvée. Le gratin dauphinois dégueu de ma mère a accompagné papa dans l’au-delà et n’a plus jamais réapparu à notre table. Bien faible compensation, mais compensation quand même.

— Jeanne ? Tu ne m’écoutes plus ! Ça va ?

— Pardon, j’étais ailleurs.

— Tu veux en parler ?

— Non, tu sais déjà tout ce qu’il y a à savoir sur le sujet. Change-moi plutôt les idées ! Tu disais ?

— Je disais que tu étais quand même la femme de Maxime et…

Stop ! Je serais sa femme si nous étions mariés. Ou pacsés. Ou sans aller si loin, si nous habitions ensemble. Ce qui n’est évidemment pas le cas. Louise reprend avec le sourire. Je suis donc presque sa femme et à ce titre, j’ai le droit d’imaginer que par amour pour moi, il acceptera ce bébé. Je respire un grand coup avant de travailler l’autosuggestion censée entraîner mon adhésion aux idées positives que je m’impose. Je sens que la méthode Coué va devenir ma meilleure alliée ces prochains jours. Je suis sa femme et par amour pour moi, il va l’accepter. Je suis sa femme et par amour pour moi, il va l’accepter. Il suffit d’y croire pour s’en convaincre. À suivre donc.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par vivie10 2022-09-20T12:11:58+02:00
Lu aussi

Un excellent livre que j'ai découvert durant mes vacances au bord de la piscine et à la plage.

Un bon moment de franche rigolade que j'ai littéralement dévorée en 2 jrs 😊

Si vous désirez de courir un livre sans prise de tête je vous conseil ce livre 😉

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Bronze

Le petit roman qui fait du bien. rapide et drôle, ce livre permet de passer un bon moment.

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Commentaire ajouté par Tessa9 2020-04-28T13:47:59+02:00
Bronze

Une histoire un peu trop longues à démarrer malheureusement car le scénario et les personnages son sympathique. Passer ce long démarrage l'histoire est agréable et quelque fou rire sont au rendez-vous.

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Commentaire ajouté par Cecicye 2019-08-23T18:51:44+02:00
Lu aussi

Lecture simple et facile. Parfait pour des vacances. L’histoire est commune et banal mais l’écriture drôle de l’auteure permet de passer un bon moment sans prise de tête.

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Commentaire ajouté par Lyelye 2019-06-06T09:22:13+02:00
Argent

Roman humoristique qui passe très bien pour une lecture pas prise de tête.

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Commentaire ajouté par Folize 2019-05-12T16:35:59+02:00
Pas apprécié

Jeanne traverse une mauvaise passe alors sa sœur l’inscrit pour une retraite dans les hauteurs de Biarritz faire une semaine de jeun et se ressourcer… Je n’ai pas adhéré au personnage de Jeanne ainsi qu’à son humour donc ça a compliqué ma lecture. Pas pour moi.

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Commentaire ajouté par julisa 2018-08-24T22:58:10+02:00
Pas apprécié

Le résumé et le début du livre étaient très prometteurs... puis le caractère du personnage principal a commencé à m'agacer, se plaignant énormément, avec un humour qui ne m'a pas vraiment fait sourire... dommage pour Moi !

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Commentaire ajouté par gribouille 2018-06-30T12:56:03+02:00
Diamant

ça ne donne pas envie de faire la cure mais c'est sympa et très drôle à lire

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Commentaire ajouté par ceinwyn79 2017-05-29T20:28:54+02:00
Or

Un livre feel-good et surtout drôle, compagnon idéal pour vos vacances ou pour vos moments de doute. Je me suis laisser prendre par un style direct et enlevé. Je le relirais certainement.

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Commentaire ajouté par Kesciana 2017-04-10T11:58:09+02:00
Or

https://aliceneverland.com/2017/04/09/parler-ne-fait-pas-cuire-le-riz-cecile-krug/

J’ai été très intriguée quand j’ai reçu ce livre. A vrai dire, je ne connaissais pas du tout l’auteur, et je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre. Et, je crois bien que si je n’avais pas eu la surprise de le découvrir dans ma boite aux lettres, je ne me serais jamais arrêtée dessus. Mais le résumé m’intriguait, semblant me promettre un bon moment de détente. Je me suis donc lancée dans cette romance.

J’ai ainsi découvert Jeanne, loin d’être heureuse dans sa vie, tant au niveau personnel que professionnel. Tout lui parait fade, sans saveur et, après une déconvenue avec son copain, elle saute sur l’occasion que lui donne sa sœur de partir « s’exiler » de tout cela durant quelques jours afin de se recentrer sur elle-même et de mieux définir les réels buts de sa vie. Mais, à sa plus grande horreur, ce séjour se révèle être un jeûne de huit jours. Pire encore, Jeanne est la seule venue au séminaire. Ce voyage détente s’annonce des plus mauvais qu’il soit, mais sa rencontre avec Franck et Gustave pourrait bien changer la donne…

Très vite, Parler ne fait pas cuire le riz s’est révélé être une histoire pleine de pétillant, bourrée d’humour et de crunchy. Jeanne possède un ton mordant, un peu cynique. Mais elle ne fait pas de faux-semblants ; en découvrant son histoire, j‘avais l’impression d’entendre une vieille amie me raconter ses déboires. Car Jeanne est drôle mais, surtout, c’est une madame-tout-le-monde ; normale, mais pas banale, on se retrouve toutes plus ou moins dans son personnage. On ne s’ennuie pas une seule seconde à ses côtés, et c’est surement ce qui fait qu’on s’attache très vite à elle.

L’histoire, en elle même, est une vrai comédie romantique. L’humour et l’amoureux sont là, mais aussi toute une philosophie de vie belle à découvrir. C’est typiquement ce genre de roman feel-good qui nous transporte, qui nous fait du bien au moral et que l’on dévore avec un plaisir non-dissimulé.

Pour conclure : j’ai passé un excellent moment en compagnie de Jeanne. Parler ne fait pas cuire le riz est une romance drôle, pétillante, rafraichissante et qui nous donne immédiatement le sourire. Son héroïne y est pour beaucoup et je me suis régalée en sa compagnie. Si vous voulez un livre plein de joie et de bonne humeur, ne cherchez pas plus loin : Cécile Krug vous embarquera aux côtés de Jeanne dans une cure diète pleine de gourmandise !

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Date de sortie

Parler ne fait pas cuire le riz

  • France : 2018-06-20 - Poche (Français)

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