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Pygmalion p. 282
« L’esprit d’une femme est une arme redoutable. »
Afficher en entierPygmalion, p. 208
« Vous êtes des créations imparfaites, des femmes incapables d’atteindre l’idéal féminin. Notre seul objectif, à Goldengrove, est de vous aider à guérir. De faire de vous des femmes à part entière. Si Dieu le veut, nos méthodes vous soigneront. Vous devez avoir la foi. Vous devez coopérer avec vos soignants. Si nous y parvenons, tout ira bien. Vous irez bien. »
Afficher en entierPygmalion, p. 138
« Une petite tape dans le dos n’aurait rien changé. J’étais seule, véritablement seule, et personne n’y pouvait rien. »
Afficher en entierPygmalion, p. 32
« [U]n autre bruit résonna : un bruit sourd, suivi d’un claquement sec. Je l’entendais pour la toute première fois, pourtant je savais déjà ce qu’il voulait dire. Les infirmières venaient de nous enfermer.
Le claquement du pêne glissant dans la gâche n’avait ému personne. Je commençais à me dire qu’on finissait vraisemblablement par s’habituer à tout. Sans quoi tous ces femmes se seraient mises à hurler au lieu de s’endormir. »
Afficher en entierPygmalion, p. 22
« En vingt ans, je n’avais jamais rien fait d’aussi scandaleux. Je n’étais plus moi-même. À la place, à ma façon, je serais la grande Nellie Bly. En 1887, Phoebe et moi avions lu avec engouement le reportage qu’elle avait fait paraître dans le New York World, intitulé 10 jours dans l’asile, choquées par les conditions misérables qui régnaient dans l’asile d’aliénées de Blackwell’s Island et époustouflées par la bravoure de cette journaliste. Était-ce seulement l’année dernière ? »
Afficher en entierPygmalion, p. 14
« Il lui tardait de montrer au monde entier que nos deux familles ne faisaient qu’une ; pour ma part, je ne m’imaginais pas réaliser cette union. Même quand je songeais à ces mots – mon fiancé – je ne voyais qu’un espace vide à la place de son visage. »
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