Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
710 548
Membres
993 015

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Commentaires de livres faits par Pauline9562

Extraits de livres par Pauline9562

Commentaires de livres appréciés par Pauline9562

Extraits de livres appréciés par Pauline9562

-Salut Wellsy, tu es en retard, dit-il en souriant.
-J'avais dit huit heure et quart. Il est huit heure et quart, je retorque avant de diriger mon attention sur Monsieur GQ. Quand à toi, tu viens vraiment de sous-entendre que j'étais une pute?
-T'as cru qu'Hannah était une pute? demande Garrett en fusillant son ami du regard. C'est ma prof, espèce d'abruti. Un peu de respect !
-Je ne pensais pas que c'était une pute, je pensais qu'elle venait faire un strip-tease, répondit-il comme si ça changeait tout. Tu as vu sa tenue, bordel ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +7
« Devine qui j’ai croisé tout à l’heure ?

Je me contente de le regarder avec un air interrogatif et un sourire tordu s’inscrit sur ses traits.

‒ Notre chère voisine : Vanessa. Sans déconner, je crois que même mon chien a peur d’elle !

‒ Elle avait l’air si terrible que ça ? demandé-je d’un ton désinvolte.

Il me sourit d’un air sinistre en appuyant sur le bouton d’appel de l’ascenseur.

‒ J’ai voulu mettre une touche d’humour – sûrement à cause de mon stress – histoire de la dérider un peu. Alors je lui ai dit en la voyant : « Oyez, gente dame ! » Elle ne m’a pas laissé finir, dit-il alors que les portes métalliques s’ouvrent devant nous. Elle m’a lancé un regard hargneux et m’a dit : « Premièrement : je ne suis pas gentille. Deuxièmement : je préfère me jeter d’un pont plutôt que de t’écouter. Troisièmement : puisque, par malheur, tu n’es  pas né muet, apprends à te taire si tu ne veux pas que je t’arrache la langue et que je la donne à manger à ton chien ! »

Je m’immobilise complètement, ahuri, alors qu’il appuie sur le bouton de notre étage.

‒ Ah… »
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
- J’aime venir ici.
- J’imagine, oui. Les filles doivent être folles de cet endroit.
Je n’avais pas pu m’empêcher de le sortir. Mais en même temps, ça le pousserait peut-être à me dire pourquoi il m’avait emmenée ici. Il grogna et se tourna vers moi.
- Je n’emmène aucune fille ici, Rynne. Jamais.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
« Ma mâchoire manque de tomber au sol quand je vois Thorn en ressortir, vêtu seulement d’un bas de pyjama, son torse nu éclairé par la lueur argentée de la lune. Des veines d’un noir opaque semblent se mouvoir sous sa peau, comme les racines d’un pouvoir qui menace de l’envahir. Ses mèches humides tombent sur son front alors qu’il se frotte la tête avec une serviette.
Thorn se fige quand son regard tombe sur moi, abaisse sa serviette lentement.
— Vous êtes réveillée, dit-il.
— Qu’est-ce que vous faites ici ? demandé-je sèchement.
Ma voix sort plus troublée que je ne l’aurais voulu. Il hausse un sourcil et avance de sa démarche prédatrice, lançant la serviette sur le canapé. Il y a une entaille sur sa lèvre inférieure, un bleu sur sa mâchoire, comme s’il s’était battu. Sa peau est encore humide. Mon attention est attirée par une goutte d’eau qui trace un chemin le long de ses abdominaux ciselés jusqu’à disparaître au creux de son nombril.
— Je vais au lit.
Mes yeux remontent immédiatement à son visage. Je combats le rougissement qui crépite sous ma peau alors que je constate le sérieux de sa réponse. Les paroles du garde – Gordon, je crois – me reviennent en tête. Il avait mentionné que je sortais de la chambre du prince…
— Vous ne dormirez pas dans ce lit, dis-je en glissant discrètement une main sous mon oreiller. Sortez. 
Il éclate d’un rire franc, la tête en arrière, sa gorge exposée et vulnérable. Mes doigts se referment sur ma dague. Lorn me dirait de sauter sur l’occasion pour lui trancher la gorge, mais je reste immobile comme une idiote, subjuguée par le mouvement de sa pomme d’Adam.
Les yeux gris de Thorn reviennent sur moi, rieurs. Je relâche la dague.
— J’aimerais vous voir essayer de m’en empêcher, dit-il.
Sur ces mots, il contourne le lit et se laisse tomber lourdement à mes côtés. Je saute immédiatement sur mes pieds, la dague dissimulée dans mon dos. Il me lance un coup d’œil amusé, un bras derrière la tête, avant de fermer les yeux. Il faut moins d’une seconde à sa respiration pour s’approfondir.
Il s’est endormi.
En soufflant de frustration, j’attrape mon oreiller et pars m’installer sur le canapé. »
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
— C’est ce que j’ai entendu dire, marmonnai-je en remarquant le regard suffisant que l’Ombre me jeta.
Ce salaud était manifestement en train d’écouter et était toujours complètement imbu de lui-même. Il mourait sans doute d’envie de dire je te l’avais dit.
— Personne n’apprécie les je-sais-tout, signalai-je d’un ton narquois. 
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
Je n’aurais jamais cru que la réponse logique à une question d’amour contiendrait ce mot. C’est comme entendre :
« Comment tu t’appelles ? 
— Moi ? J’habite dans le Connecticut.  »
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
date : 05-01-2023
– Et puis tu sais… lance-t-il d’une voix rauque. Si vraiment j’avais voulu écourter ta nuit, ce n’est probablement pas la manière dont je m’y serais pris.
Je marque un léger temps de pause pour réfléchir à ce qu’il vient de me dire là. La manière dont il s’y serait pris ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Rapidement, l’évidence me frappe en pleine tête. J’hallucine. En enfilant mon legging imprimé, je peste :

– C’est dingue ce que tu peux être lourd, quand tu t’y mets.
Une fois mon bas correctement remonté, je m’occupe maintenant de sortir mon haut quand il répond :

– Ouais, souffle-t-il dans ce que j’imagine être un sourire béat. On me dit aussi que je suis long et dur, mais ça, j’imagine que tu t’en fous un peu.
Cette fois-ci, je ne peine pas à comprendre le double sens qu’a sa phrase. En soupirant bruyamment afin d’être certaine qu’il m’entende, je balance brusquement ma serviette sur l’arrière de sa tête :

– T’es vraiment insupportable ! 
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
 Le nuage de fumée balaya l’air autour de nous, nous soulevant sans effort. L’Ange ne voulut cependant pas de ces conneries, déployant ses ailes tandis qu’elle s’élevait hors de l’étreinte de Noir d’Encre.
— Personne ne me porte, déclara-t-elle, furieuse. Dis à l’Ombre de garder ses foutues mains pour lui.
— Wouhou, criai-je. Vas-y, ma fille !
Elle me jeta un petit sourire avant de flotter jusqu’au sol.
Je tapotai Noir d’Encre.
— Je peux marcher moi aussi, mon grand. Pose-moi, s’il te plaît.
Et vous savez quoi ? Il le fit. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 11-01-2023
— Tes cheveux me font de la barbe, j’aime bien ça, constaté-je à voix haute pour détendre l’atmosphère.
Elle glousse.
— Tu sens comme ton gel douche, celui que j’ai utilisé ce matin.
— Ah…
— Ça sent bon, je veux te manger, annonce-t-elle.
— O.K., on va s’éloigner doucement et garder son calme, surtout !
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
L’Ombre gronda dans mon dos ; je l’avais surpris pendant son sommeil. Il resserra son étreinte, mais je réussis à rouler pour lui faire face. Ses yeux étaient d’un rouge de lave quand mon regard croisa le sien et la confusion obscurcissait son visage.
— L’Ombre, l’appelai-je à voix basse.
Il sursauta, me tirant plus fort contre lui.
— Tu es à moi. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Tu as détruit chaque fichue porte de cet endroit, à l’exception de celle de la Terre. Il n’y a qu’une seule raison pour laquelle tu as fait ça.
Il émit un son désobligeant.
— Peut-être que c’était pour les métamorphes.
Je fronçai le nez en le toisant.
— Arrête ça. Tu m’aimes. Je l’ai su dès la première fois que tu m’as balancée sur ton épaule.
Il se figea, clignant des yeux vers moi, et je me demandai si je n’étais pas allée trop loin.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Tu es celle qui est faite pour mon âme, Rayon de Soleil, grogna-t-il à travers le pouvoir qui nous entourait. Tu es mon élue. Le seul être pour qui je détruirais des mondes, et j’ai bien peur d’avoir déjà commencé.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Pourquoi gaspiller des mots quand vous pouviez répondre d’un seul… la devise de l’Ombre dans la vie.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 09-02-2023
 – C’est tellement ringard. Tu as aussi prévu des feux d’artifice et un message écrit dans le ciel ?
Derrière sa tête, j’ai agité la main dans l’espoir qu’Aaron et Carly comprendraient que le bouquet final était annulé. Si elle trouvait déjà que c’était ringard, je n’avais pas besoin qu’elle connaisse la suite.
– Non, ce serait too much. Pour quel genre de mec tu me prends ?
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 09-02-2023
 – Euh, ouais. Est-ce que ça va ? Tu n’as pas l’air d’aller super.
– Ça va. Super bien. Merveilleusement bien. (Taylor a soudain lâché un petit rot et s’est couvert la bouche.) Roteusement bien. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
– Je n’avais pas le choix.
– Bien sûr que si, Riden. Un sacré choix. Et toi, tu as penché pour l’option facile, c’est-à-dire ne rien faire.
– Facile ? Tu crois qu’il m’était facile de te regarder ? De te voir là-haut, quand je savais ce que tu devais endurer, ça… ça m’a fait sentir… ça m’aurait fait moins mal si c’était moi qu’on avait pendu. Je m’en voulais à mort de ce qui t’arrivait. Et la seule façon de me punir restait de me forcer à te regarder souffrir. C’était ma punition. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— Fauteuse de troubles, râle-t-il
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— Impossible. Tu m’as demandé de ne pas crever.
— Tu as de la chance d’être en vie, je t’aurais tué, sinon
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
 — La curiosité est un vilain défaut, surtout chez une dame.
J’esquissai une moue peu convaincue et le visage de Rita devint grave.
— Connaître la vérité vous apportera-t-il la paix, mademoiselle ?
— Je ne sais pas, reconnus-je. Mais si je peux éviter que d’autres subissent la même chose que moi…
Rita roula de gros yeux.
— Mademoiselle ! Une femme du monde ne tue personne !
Ma légèreté me revint d’un coup.
« — Voyons, Rita ! me récriai-je d’un ton faussement épouvanté. Je n’ai pas l’intention de tuer qui que ce soit !
Elle fronça les sourcils, suspicieuse. Sabrina releva le nez de son écran et désigna la fenêtre du pouce, goguenarde.
— Une femme du monde se contente de donner l’ordre, maman.
— Absolument, approuvai-je.
Le coin des lèvres de Rita se releva en un sourire de chat.
— Eh bien, eh bien… Vous n’avez pas tout perdu de l’éducation que je vous ai donnée, mademoiselle.
Encore heureux. À mon âge ! 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
Sérieusement, qu’est-ce qu’il faut faire pour arracher un sourire à un homme comme lui ? Voler des bonbons à des gamins ? Commettre des sacrifices sanglants ? Lui faire regarder des familles se faire exproprier en live à la télé ? Il faut que je sache.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— Je suis à peu près sûre qu’on va nous appeler Rayon de l’Ombre.
Ses lèvres tressaillirent ; il n’avait pas non plus oublié la dernière fois que j’avais dit cela et, heureusement, ce rappel eut l’effet escompté.
— Rayombre ressemble à un nom d’animal de compagnie, babillai-je en prononçant tous les mots qui me venaient à l’esprit.
Je fus délicatement reposée sur mes pieds et, comme je voulais le garder dans mon champ de vision, j’inclinai la tête en arrière.
— Rayon de l’Ombre, c’est exactement comment je nous vois, gronda-t-il. L’un trop sombre, l’autre trop lumineux, et rien d’autre que des tempêtes destructives entre nous deux.
 Je déglutis difficilement au ton de ses paroles, presque brisé. Il ne croyait pas vraiment que nous aurions un jour un surnom de couple parce que nous n’en serions jamais véritablement un.
— Les tempêtes, c’est ce que je préfère, déclarai-je avec force. Je danse toujours sous la pluie.
Il se pencha en avant, son nez parcourant ma joue tandis qu’il respirait mon odeur.
— Tu as oublié le côté destructeur, petite louve.
Je n’avais pas oublié. Je n’en avais simplement rien à faire. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
— N’as-tu pas dit que tu pouvais marcher ? s’agaça-t-il, comme à son habitude. Ne m’oblige pas à te porter de nouveau.
Je le saluai.
— Oui, monsieur. Je n’avais pas réalisé que j’étais censée vous suivre. Désolée.
La façon soudaine dont il me regarda de haut me rendit très nerveuse.
— Tu n’as pas peur de moi ? m’interrogea-t-il d’une voix douce.
Normalement, ce serait un bon signe, mais c’était le « genre de douceur dont aurait fait preuve un tueur en série juste avant de vous couper les orteils pour les garder en souvenir. Ma gorge se serra.
— Au contraire, je suis à deux doigts de me faire pipi dessus. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 24-01-2023
Je trouve ma fiancée assise devant le miroir de sa table de toilette, vêtue d’une robe de velours noir ajustée – à croire que nous sommes sur la même longueur d’onde, et pas seulement dans notre envie de nous poignarder mutuellement –, une cigarette allumée glissée entre ses lèvres sensuelles. Elle bourre un pot de terre : oui elle jardine en plein milieu de sa chambre, dans une robe du soir Chanel.
Elle est folle.
Et c’est ma folle à moi.
Bon Dieu, dans quoi est-ce que je suis allé me fourrer ? 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 11-01-2023
Rentre chez toi ! répété-je.
Je me retourne brièvement pour m’assurer qu’elle ne me suit pas et je la découvre les bras croisés sur sa poitrine en train de faire la moue. Une enfant…
— T’es sérieuse ? Arrête de bouder et rentre chez toi !
— Non !
— Reste pas au milieu de la route, merde !
— Tu comptes faire quoi pour m’en empêcher ?
Je fixe Joana une longue seconde et abdique.
— Amène-toi ! Mais te fous pas dans mes pieds, O.K. ?
— O.K. !
Elle se précipite dans ma direction avec un grand sourire. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 11-01-2023
— Oh putain !
Il trébuche sur mon pied et croise mon regard alors que j’essaie de reculer. Je ferme les yeux lorsque mon dos percute le mur. Je me retrouve prise en sandwich entre le gendarme et une paroi en lambris moche. Je rouvre les paupières quand Henri pose son front sur le mur à côté de ma tête.
— Que ce soit bien clair, j’ai pas peur des araignées ! ment-il effrontément.
Je serre les lèvres, mais malgré mes efforts, un rire m’échappe. Henri s’écarte alors, me privant de sa chaleur réconfortante.
— J’ai juste été super surpris, ajoute-t-il en me tournant aussitôt le dos pour faire face à la descente de la cave.
— Ouais… O.K.
Il éclaire devant lui. L’araignée n’a pas bougé. Elle a tissé une toile pile sur la petite porte du compteur. J’entends le gendarme reprendre son souffle, comme pour se préparer mentalement à l’affrontement.
— Faut dire qu…
Il sursaute en tournant un peu la tête dans ma direction.
— Pardon… Je te laisse te concentrer.
— J’ai pas besoin de me concentrer, tout va bien.
— O.K. 
Il descend la première marche en veillant à vérifier ses appuis, s’approche et recule à nouveau.
— Faut dire qu’elle est énorme, concédé-je.
Il remonte pour de bon et secoue les épaules en sautant sur place.
— Ouais, la garce ! Et elle était juste là… presque sous mon nez, merde !
— Un peu plus et elle se perdait dans tes cheveux.
— Quelle horreur !
Un frisson semble lui parcourir la colonne vertébrale.
— Bon, il me faut un truc… genre, une pelle ou, je sais pas, une tronçonneuse ! 
Je tourne la tête vers l’un des placards de l’entrée où se trouvaient à l’époque mes pires ennemis : les balais, l’aspirateur et les produits de ménage dont je ne me sers toujours pas.
— Un balai, ça ira, non ?
L’instant suivant, il menace l’arachnide avec une vieille serpillière.
Avez vous apprécié cet extrait ? 0
date : 11-01-2023
La portière côté conducteur s’ouvre brusquement et me sort de mon souvenir. Le gendarme s’affale à côté de moi et me scrute avec colère.
— Qu’est-ce qui n’était pas clair dans « Ne touchez à rien » ?
— J’hésite entre « toucher » et « rien »… Mais, en effet, quelque chose a merdé.
Il reprend de l’air avant de claquer sa portière et de tirer sur sa ceinture. 
Avez vous apprécié cet extrait ? 0


  • aller en page :
  • 1
  • 2

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode