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Commentaires de livres faits par Pegh

Extraits de livres par Pegh

Commentaires de livres appréciés par Pegh

Extraits de livres appréciés par Pegh

« Un nouveau soupir lui échappa, et il chercha la tête sombre d’Ollie dans le bus, même s’il savait qu’il n’était pas là. Le reste de la tournée allait-il se passer ainsi ? Des aller-retours d’Ollie, et Shay se cassant la tête à essayer de gérer la situation ? Le groupe émo devenait de plus en plus tentant. Mon dieu, je suis pathétique. »
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« – Quand j’avais l’impression que l’obscurité se refermait sur moi, tu étais là.
La pièce devint silencieuse et Leo sut que King s’était endormi. Il ferma les yeux, ses mots furent un murmure dans l’obscurité.
– Je suis toujours là. »
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Ma prise se referme sur son avant-bras et je le tire à moi d’un geste brusque avant d’écraser ma bouche sur la sienne.
Énorme connerie.
Énorme connerie.
Énorme connerie. 
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date : 13-02-2019 par Sleepwxlker
— Je peux demander à Pierce de t'amener dans ma chambre pour le dîner. Tu veux te joindre à moi ?
— Est-ce que j'ai le choix ?
— Bien sûr.
— Avez-vous l'intention de continuer de me séduire ?
— Je pense que oui, dit-il d'une voix qui trahissait son sourire. As-tu l'intention de continuer de me repousser ?
— Oui.
— Hm, dit-il simplement tandis que ses mains caressaient malicieusement mon dos. Je ne sais pas si j'en suis ravi ou déçu.
Moi non plus, je ne le savais pas.
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Chapitre 1 :
«…Red pointa un doigt vers la plage.
— Explique-moi ça.
Ace regarda dans la direction indiquée.
— Eh bien, Russel, il semblerait qu’il y ait une séance photo en cours.
— À moins que tu veuilles manger du gruau pour le restant de tes jours, tu vas me dire ce que tu as fait.
— Moi ? Demanda Ace avec un petit cri scandalisé. Tu penses que j’ai arrangé ça ?
— Ace, l’avertit Red.
— D’accord, j’ai, peut-être demandé à Coton s’il était au courant de séances photo de mode à venir localement, et Colton a peut-être ou pas mentionné celle-ci en particulier, et j’ai peut-être ou pas demandé à Manson de se faire affecter à cette surveillance.
Ace s’éclaircit la voix et croisa le regard de Red.
— Je m’en suis mêlé. Je suis un mêle-tout qui s’ingère dans les affaires des autre. C’est Laz.
— Sans blague... »
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date : 21-07-2018 par HebusDeTroy
— J’ai dû me tromper.
Reggie entra de nouveau tous les chiffres. Quand le résultat s’afficha, il secoua la tête.
— Oh, la vache, dit-il d’un ton sarcastique, ça va vous plaire.
— Quelle taille ? demanda Kai, sachant déjà que cela dépasserait ses pires craintes.
Reggie laissa échapper un long soupir.
— Accouche ! s’exclama Brad.
Il y avait de la peur dans son regard, mais un sourire fugace se dessina aussi sur ses lèvres. Kai comprenait ce mélange de frayeur et d’excitation.
Car de manière totalement irrationnelle, malgré les ravages qu’entraîneraient des vagues énormes et le danger, Kai avait toujours nourri le désir de voir de ses yeux un tsunami. Apparemment, il allait être exaucé.
— Sept-zéro, au moins, annonça Reggie.
— Bon, mais le tsunami de 2004 faisait dans les dix mètres de hauteur, si je me souviens bien, fit remarquer Brad.
Reggie secoua la tête.
— Selon certaines estimations, les vagues ont atteint au moins deux fois cette hauteur à Banda Aceh.
— D’accord, donc avec sept mètres, on ne s’en sort pas si mal, non ?
Kai posa une main sur l’épaule de Brad. Il n’avait pas compris.
— Sept-zéro, pas sept virgule 0…, lui expliqua Kai. Reggie parle d’une vague de soixante-dix mètres de haut.
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date : 02-10-2022 par Lalouu
Je me fige en entendant mon prénom et je n'ai pas besoin de réfléchir bien longtemps pour savoir à qui elle parle. Ma mère.
- Je vous ai dit non. Il vous a déjà demandé d'arrêter de l'appeler.
Je m'approche, sans bruit, et je me colle au mur séparant la cuisine du couloir de l'entrée.
Mon sang pulse dans mes veines et je sers les poings pour essayer de canaliser ma colère.
- Écoutez-moi bien, maintenant ! tranche-t-elle d'un ton dur et cassant. Vous l'avez peut-être mis au monde, mais vous n'avez rien fait de plus pour lui. Vous avez cessé d'être sa mère depuis un moment, maintenant Kaylan est chez moi, sous mon autorité. C'est moi, qui m'occupe de lui, moi qui veille à ce qu'il ait tout ce dont il a besoin, moi qui sèche ses larmes et calme ses peurs. C'est moi qui me ronge les sangs chaque putain de jour pour lui !
Je n'ai jamais entendu Elina élever la voix aussi haut ni parler comme ça à quelqu'un. Et je dois bien admettre que je suis impressionné.
- J'essaie de réparer tout ce que vous, vous avez brisé, et dieu sait à quel point c'est difficile. Mettez-vous bien ça dans le crâne, Kaylan est dans MON foyer, dans MA vie. C'est MOI sa mère, aujourd'hui !
Sur ces mots, elle raccroche le téléphone d'un geste brutal et mon cœur explose. "C'est moi sa mère, aujourd'hui." Une simple phrase, de simples mots et pourtant..."
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— Tu as un A. C. H. Smith relié en cuir ?

Lang s’accroupit devant une étagère basse, tirant lentement le livre de sa place entre un Kingsbury et un Lowachee. Ouvrant lentement la couverture, il eut le souffle coupé devant le gribouillage sur la page de garde.

— Et c’est signé. Putain, Deacon, c’est… incroyable.

— Je ne me lasserai jamais de t’entendre jurer, gloussa ce dernier en sortant des oreillers d’un tiroir de l’armoire. Tu es si élégant et chic, comme un chat doré et noir. Puis tu la joues ghetto avec moi quand un joli livre tortille du cul devant ton nez.

— Merci.

Lang lui adressa son plus bel air renfrogné. Ça le fit seulement rire plus fort.
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— Votre ami, M. Sullivan est un homme très insistant.
Qu’est-ce qui lui prenait ? Je secouai la tête pour l’avertir de ne pas déconner avec moi, mais il s’entêta, l’air toujours aussi exaspéré.
— Nous allons devoir le laisser parler avant de pouvoir continuer.
Ezra écarta son siège de la table pour se tourner vers moi.
— Ce Nosik, s’agit-il de quelqu’un que vous connaissez ?
J’évoquai instantanément mon arrivée ici et tentai de me souvenir des infos que j’avais pu communiquer à ce timbré. J’avais dû mentionner Nosik, au moins une fois, sinon Ezra n’aurait pu connaître son nom. Je refusais de croire à ses foutaises, ni qu’il puisse lire dans les esprits ni à ses histoires de fantômes, donc, il devait y avoir une autre explication. En attendant que je la trouve, j’estimai qu’un haussement d’épaules bien évasif ferait l’affaire. Ezra soupira et ferma les yeux, la tête penchée comme s’il écoutait quelque chose au-delà des murmures curieux qui s’échangeaient autour de la table. Je me demandai pourquoi il m’avait choisi ce soir. Il aurait été plus facile pour lui de sélectionner un de ses clients endeuillés.
Après une longue minute, Ezra me fixa à nouveau, franchement perplexe.
— Je crains de ne pas comprendre. Il serait un… un agent double ?
À quel point m’étais-je impudemment confié à ces gens-là ? Ezra commençait à parler comme un foutu Fed !
— Nosik serait un agent double, hein ? ricanai-je. Hé, le problème, c’est que je ne peux ni le confirmer ni le nier. Ez, mon vieux, vous n’avez rien d’autre ?
Manifestement très gêné des instructions qu’il recevait de l’au-delà, Ezra bredouilla une réponse :
— Il vous signale qu’avec un 46 fillette, son pied vous laissera une empreinte durable dans le cul…
Il interrompit, le visage écarlate, et chuchota :
— Pourrions-nous passer dans une autre pièce, s’il vous plaît ?
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date : 06-11-2019 par Karine89
- Tu ne comprends toujours pas, hein ? En fait, je crois juste que tu ne veux pas comprendre. Ça, ce foutu club, et moi. C'est ce qui t'es arrivé de plus vrai depuis des années. Ta putain de mascarade, c'est la vie que tu mènes. Une putain de grosse blague. Je t'ai offert une porte de sortie. Je t'ai offert tes désirs sur un plateau d'argent serti de foutues pierres précieuses. Et ce n'était qu'une mascarade ? Est-ce que j'ai l'air d'un putain de clown ?
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« Vous semblez apaisé, Marylinn.
— J’ai compris, vous savez. J’ai enfin compris que le sexe de la personne n’a aucune importance et que l’on m’a menti.
— Qu’est-ce qui compte pour vous désormais ?
— L’amour, l’intensité des sentiments et la passion. La mienne, la nôtre, celle que l’on s’est créée. Rien n’est plus profond que la vérité qui se dégage de nos yeux. Pas même l’océan. »
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« — Qu’est-ce qui t’a fait changer d’avis ? demandé-je. Hier, je pouvais voir le doute marquer ton regard.
— Toi, ta bouche, tes yeux, toi et inlassablement toi. Je ne peux pas respirer, si tu n’es pas là. Tu es ma famille, mon meilleur ami, mon confident, mon tout. Je crois que le fait que tu sois un garçon ne suffit plus à me détourner. À mes dix-huit ans, je serai libre, mon père ne pourra plus rien faire pour m’empêcher de t’aimer. Il n’a pas réussi jusqu’à maintenant. Plus que trois mois. Je n’ai jamais douté de toi, Ziggy, c’est avec moi que j’ai un souci. J’ai beau retourner le problème, le fait est que sans toi, je suis orphelin. Je t’aime et je ne parviens pas à changer ça. »
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Avec beaucoup de précautions, Angie a fait passer le bol de sauce tomate à Mary Alice. Celle-ci eu beaucoup de peine à saisir le bol entre ses sabots, le bol a tangué dans les airs et s'est écrasé sur la table en projetant une vague déferlante, de couleur écarlate. Mamie a voulu se pencher pour saisir le bol, elle a renversé une bougie et la nappe s'est enflammée sur le coup. Ce n'était pas la première fois que ça se produisait.
-Catastrophe ! Au feu, a hurlé Kloughn. Au feu. Au feu ! On va tous mourir.
Mon père a levé les yeux un instant, secoué la tête comme s'il n'arrivait pas à croire que c'était vraiment sa vie à laquelle il assistait et s'est remis à enfourner ses lasagnes. Ma mère a fait un signe de croix pendant que je jetais une cruche d'eau glacée au centre de la table. L'incendie s'est éteint aussitôt.
Diesel avait le sourire jusqu'aux oreilles.
-J'adore cette famille. Vraiment j'adore cette famille.
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(Discussion entre Sander et Ty)

- J’espère que tu m’as rapporté du rhum, sinon ça va chier...

Ty se surprit à rire. Plus que l’alignement tranquille des maisons de Red Oak ou l’odeur de la terre rouge du Wyoming, c’était la présence de ce foutu humain qui lui donnait le plus l’impression d’être rentré à bon port. Il rendit son salut à Sander.

- T’es qu’un soiffard. J’t’ai ramené un porte-bonheur. Un truc avec des plumes de poulet.

- Tu sais où tu peux te les carrer, les plumes ?

- C’que t’es vulgaire ! Et le plaisir d’offrir ?
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- Demain soir. Dîner. Chez moi. Tu viendras ?
- C'est proposé si gentiment.
- J'ai toujours un paquet de noisettes qui traîne sur mon bar...
- C'est un argument déloyal et tu le sais !
- Peut-être. Mais est-ce qu'il marche ?
- Ça se pourrait bien...
- Et donc qu'est-ce que tu attends exactement pour dire oui ?
- Ça...

Will se pencha pour l'embrasser.
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Si beau… Solo dans son uniforme blanc ne manquerait jamais de me couper le souffle. Même si j’avais envie de le déshabiller maintenant que je l’avais enfin pour moi seul, je voulais aussi prendre le temps de simplement l’admirer.
Il m’adressa un petit sourire satisfait.
- Tu aimes ce que tu vois ?
- Oh oui.
Je glissai mes mains sur son torse et me rapprochai pour fourrer mon nez dans son cou.
- Pourquoi faut-il que tu sois aussi beau ?
Je le respirai et soupirai.
- Et que tu sentes aussi bon.
Le rire de Solo fit vibrer sa cage thoracique tandis qu’il enroulait ses bras autour de moi.
- OK, la tequila fait son effet.
- Pas besoin de tequila pour voir à quel point tu es sexy.
- Les deux moi ?
Les lèvres de Solo se retroussèrent quand je me reculai pour le regarder.
- Humm. Lequel embrasser en premier…
Son sourire s’agrandit, puis il s’approcha de moi et leva les mains pour se saisir de mon visage. Je fermai les yeux au moment où ses lèvres effleurèrent les miennes.
J’étais foutu.
Il approfondit le baiser lentement, passant sa langue sur ma lèvre inférieure avant de plonger dans ma bouche pour me goûter. Je ne pus m’empêcher de gémir alors que je retrouvais enfin la connexion dont j’avais rêvé toute la soirée. Même si nous étions arrivés ensemble au bal de la Navy et que nous avions rendu notre statut public pour tous ceux présents dans la salle, nous nous étions abstenus de tout contact physique, surtout avec nos supérieurs qui nous observaient.
Solo rompit notre baiser. Ses lèvres étaient gonflées et avaient l’air plus délicieuses que jamais. Je me penchai à nouveau, ne voulant pas briser notre lien, mais il posa son doigt sur ma bouche.
- Où est-ce que tu vas ?
Il se dirigea vers la table de nuit et sortit son téléphone de sa poche. Il fit défiler l’écran pendant un moment avant de lever les yeux vers moi.
- J’ai eu envie de faire ça toute la soirée.
Il posa le portable, et alors que la musique voluptueuse de Stormy Weather d’Etta James emplissait la pièce, Solo demanda:
- Tu danses avec moi ?
Mes genoux manquèrent de se dérober sous moi à la lueur sensuelle dans ses yeux et l’intonation rauque de sa voix. Quand il tendit la main vers moi, il était hors de question que je refuse. Je glissai ma main dans la sienne, et lorsque ses doigts enveloppèrent les miens et qu’il m’attira dans son étreinte, je posai ma paume sur son torse pour me stabiliser.
Bon sang, qui aurait cru que Solo était un tel romantique ?
Alors que nous commencions à nous balancer d’avant en arrière, il déposa un baiser sur ma tempe et me chuchota à l’oreille :
- Cette chanson est exactement ce que j’ai ressenti quand tu t’es éloigné de moi dans la limousine ce soir. Comme si je ne pouvais pas respirer, comme si je ne pouvais pas continuer d’avancer, sachant que tu allais être si proche, mais que je ne pourrais pas te toucher.
Mon cœur battait la chamade tandis qu’il continuait à m’entraîner lentement dans cette danse séduisante qui me donnait l’impression de flotter.
- Mais ensuite, poursuivit-il en embrassant le contour de mon oreille. Ensuite, je suis arrivé au bal et tu étais là, à m’attendre comme dans un rêve…
Mes yeux se fermèrent tandis qu’il resserrait ses doigts autour des miens.
- Mais tu n’es pas un rêve.
Je pris une profonde bouffée de sa délicieuse odeur, puis relevai la tête et ouvris les paupières. L’émotion brute tourbillonnant dans ces magnifiques yeux bruns était à couper le souffle. Ils étaient emplis de confiance, d’honnêteté et d’une dévotion absolue. Solo avait débarqué dans ma vie comme un ouragan et m’avait fait tomber éperdument amoureux de lui. À chaque minute passée ensemble, mes sentiments étaient de plus en plus forts.
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« Putain, je n’étais tellement pas équipé pour gérer quelqu’un comme lui dans ma vie de tous les jours. En dehors du travail, putain, ouais. Il serait sans aucun doute le coup le plus torride de ma vie. Mais ici, au travail, il était une tentation qui m’attirerait des tas d’ennuis. »
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Gucci hocha la tête et déposa ensuite son bras imposant sur mon épaule. Juste au moment où j’allais lui demander quel était son problème, il nous fit pivoter en direction de l’endroit où les autres gars étaient en train de discuter et de ranger leur équipement.
Un frisson d’anticipation courut le long de ma colonne vertébrale alors que je contemplais les longues jambes, le cul ferme et les larges épaules qui se tenaient à quelques mètres de moi. Mes yeux continuèrent leur chemin affamé jusqu’aux cheveux sombres de la couleur d’une… panthère. Au même moment, Gucci se pencha et chuchota à mon oreille.
— S’il te plaît, dis-moi que ce n’est pas le Grant sur lequel tu rêvassais ?
J’aurais payé cher pour que la réponse à cette question soit non, mais quand le regard bleu perçant de Grant trouva le mien, mon estomac se retourna.
— Putain. 
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– C’est vrai, admit Ingrid, mais le chef de la sécurité Clovis pense que, puisque les chiens ont repéré Van Syoc, ça vaut la peine d’essayer. Et ensuite, trois hommes vont vous lécher.
– Me lécher ? s’exclama Myfanwy, horrifiée.
– Oui. D’ailleurs nous avons beaucoup de chance : nous n’avions que deux hommes qui étaient aptes à lécher, mais nous avons pu faire venir l’un des étudiants du Domaine. Les pauvres, ce sont les trois seuls lécheurs que nous ayons, et ils vont devoir lécher tous les membres de la Checquy.
– Mais il a quel âge, cet étudiant ? demanda Myfanwy.
– 17 ans. »
Elle sentit son estomac se retourner.
« Et où est-ce qu’il va me lécher ?
– Dans la salle d’examen.
– Quoi ? Non, quelle partie de mon corps vont-ils lécher ?
– Le bout de l’index de votre main droite, répondit Ingrid comme si c’était évident.
– Dieu soit loué, soupira Myfanwy, soulagée.
– Franchement, Tour Thomas, qu’aviez-vous imaginé ? plaisanta Ingrid. Qu’ils allaient vous lécher tout le corps ?
– C’est bête, je sais, pouffa Myfanwy.
– Très bête », renchérit Ingrid.
Elle revint à sa liste.
« Ça nous prendrait beaucoup trop de temps. »
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« Je suis contente qu’ils aient réussi à vous remettre sur pied suffisamment vite et que vous ayez pu assister à la réunion de la Cour ! dit Myfanwy.
– L’un des médecins a rebouché la plaie avec une résine extraite de ses glandes, maugréa Ingrid. Extraite directement de ses glandes.
– Beurk. Quelles glandes ?
– Je n’ai pas envie d’en parler. Mais la réunion était intéressante.
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"Et pourquoi pas lui ?" Elle fit un signe du menton discret en direction d'un beau jeune homme qui ressemblait beaucoup à Alrich, sans les magnifiques cheveux longs et avec un budget shopping beaucoup plus restreint.
"Ah, oui, il a l'air de convenir, répondit-il doucement.
- Lancez-vous. Il faut que je rejoigne mes amies de toute façon, elles vont commencer à s'inquiéter." Alrich reposa son verre, qu'il n'avait pas touché, se tourna vers elle et s'inclina avec élégance.
"Tout à fait charmant, mais je serais plus touchée si cette révérence n'était pas subtilement calculée pour montrer votre cul à toute la boîte."
Alrich lui fit un clin d’œil et s'approcha du blond avec grâce.
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date : 07-07-2022 par lavienlivre
Je battis en retraite dans la cuisine et ouvris les placards où j’avais placé les mugs. Je les avais achetés chez IKEA, à Truro. À l’époque, je me fichais totalement de pour qui je les achetais, mais ça comptait tellement maintenant.
Ils étaient rouges.
Cole n’était pas un rouge. Il était dans les bleus et verts, il était la lueur chaude des bougies qu’il allumait quand il voulait que je me sente à l’aise en enlevant mes vêtements.
Ces tasses n’allaient pas du tout.
Je préparai le thé malgré tout et l’emportai au salon. Ella était toujours dans son parc, roucoulant à la vue de son propre poing. Je m’attendais presque à trouver Cole toujours en train de fusiller du regard l’espace que j’avais libéré, mais ce n’était pas le cas. Il s’était affalé sur le canapé, et malgré tout ce qu’il venait de raconter, s’était endormi.
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— Pourquoi passes-tu ton temps à te disputer avec moi ?
— Parce que j’aime ça.
Jared ricana et s’installa dans le canapé pour mieux savourer le spectacle – il ne lui manquait plus que du pop-corn !
Erin paraissait très en colère.
— Tu aimes te disputer avec moi ? Pourquoi ?
— Parce que tu me tiens tête. Parce que tu es le seul à le faire. Tu n’as pas remarqué ? Tout le monde me fuit ! Et ceux qui n’y parviennent pas prennent l’air implorant ou me présentent de plates excuses en espérant apaiser la bête. Jack et Jared sont des adversaires de valeur, je te l’accorde, mais ils n’ont pas ton niveau. Après une journée difficile, je passe te titiller jusqu’à ce que tu mordes à l’appât, c’est un moment de pure jouissance pour moi.
Bouche bée, Erin le fusilla du regard.
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Alors que Panther bâillait de nouveau, déjà sous ses couvertures et semblant sur le point de sombrer à tout instant, je retirai mon tee-shirt et me débarrassai de mon jean.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je me prépare pour me coucher.
— Arrête d’enlever tes fringues.
— Euh, je ne peux pas dormir en jean. Ou en tee-shirt. Tu devrais être content que je garde ça.
Je fis un signe en direction de mon boxer et Panther se couvrit le visage avec un oreiller.
— Éteins juste cette putain de lumière.
— Ce que tu es autoritaire !
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— Je ne comprends pas pourquoi tu arrives encore à parler aujourd’hui, remarqua Whiplash. J’aurais pensé que Panther t’aurait définitivement démis la mâchoire hier.
— J’ai donné autant que j’ai reçu. La mienne me fait un peu mal, mais demande peut-être à Panther comment il se sent aujourd’hui.
Je faillis m’étouffer avec ma frite. Après avoir avalé et pris une gorgée d’eau, je déclarai :
— Ma mâchoire va très bien.
— Tu es sûr ? Ce n’est pas un peu tendu ? J’y suis allé assez fort.
Bordel de merde.
— Apparemment, je peux encaisser.
— Oh, s’exclama-t-il, son sourire coquin faisant battre mon cœur plus fort. On en revient à cette histoire de douleur et de plaisir, hein ? 
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date : 26-07-2016 par Mine1205
Nouvel extrait Prière de l'esclave
Ô mon maître !
Choisissez-moi comme esclave,
Et je serai, de tous, le plus fidèle.
Donnez-moi un foyer,
Et j'en serai le vigilant gardien.
Donnez-moi une loi,
Et je vous obéirai.
Donnez-moi une caresse,
Etje serai heureux.
Donnez-moi votre amour,
Et je vous offrirai ma vie
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