Commentaires de livres faits par Percabeth13_01
Extraits de livres par Percabeth13_01
Commentaires de livres appréciés par Percabeth13_01
Extraits de livres appréciés par Percabeth13_01
Hitting Diet Bottom
“I just can’t go on another diet, you’re my last resort.” Sandra had been dieting all her life and knew she could no longer endure a single diet. She’d been on them all, Atkins, Dukan, The Zone, South Beach, grapefruit diet … diets too numerous to itemize. Sandra was a dieting pro. At first dieting was fun, even exhilarating. “I always thought, this diet would be different, this time.” And so the cycle would recharge with each new diet, each and every summer. But the weight lost would eventually rebound like an unwanted tax bill.
Sandra had hit diet bottom. By now, however, she was more obsessed about food and her body than ever. She felt silly. “I should have had this dealt with and controlled long ago.” What she didn’t realize was that it was the process of dieting that had done this to her. Dieting had made her more preoccupied with food. Dieting had made food the enemy. Dieting had made her feel guilty when she wasn’t eating diet-types of foods (even when she wasn’t officially dieting). Dieting had slowed her metabolism.
It took years for Sandra to truly know dieting doesn’t work (yes, she was familiar with the emerging concept that dieting doesn’t work, but she always thought she would be different). While most experts and consumers accept the premise that fad diets don’t work—it’s tough for a nation of people obsessed with their bodies to believe that even “sensible dieting” is futile. Sandra had been hooked into modern-age social mythology, the “big diet hope,” for most of her life since her first diet at the age of fourteen.
By the age of thirty, Sandra felt stuck—she still wanted to lose weight and was uncomfortable in her body. While Sandra couldn’t bear the thought of another diet, she didn’t realize that most of her food issues were actually caused by her dieting. Sandra was also frustrated and angry—“I know everything about diets.” Indeed, she could recite calories and fat grams like a walking nutritional database. That’s the big caveat—losing weight and keeping it off is not usually a knowledge issue. If all we needed to be normal weight was knowledge about food and nutrition, most Americans wouldn’t have weight problems. The information is readily available. (Pick up any women’s magazine, and you’ll find diets and food comparisons galore.)
Also, the harder you try to diet, the harder you fall (it really hurts not to succeed if you did everything right). The best description for this effect is given by John Foreyt, Ph.D., a noted expert in dieting psychology. He likened it to a Chinese finger puzzle (the hollow cylindrical straw puzzle, into which you insert an index finger on each end). The harder you try to get out, the more pressure you exert, the more difficult it is to get out of the puzzle. Instead you find yourself locked in tighter … trapped … frustrated.
Ça n’avait rien à voir avec le quartier dans lequel il avait grandi, avec ses immenses vitres impénétrables et son absence d’eau.
Je n’aime pas mes pieds.
Lou
Livaï et moi, c’est une très longue histoire, enfin, oui et non, elle n’a pas duré un siècle non plus. Mais un premier amour, c’est toujours particulier, même s’il ne dure que le temps d’un battement d’ailes de papillon, on en garde des souvenirs à vie.
Je serre les poings, pour retrouver un minimum de contenance afin de tenter de repousser la migraine qui me fracasse le cerveau. Mon attention fixée sur mon cher mari, je répète :
— Qu’est-ce que tu fais là ?
"J’habite un pays sombre plein de rêves profonds. Les récits de grand-mère et les signes de croix ont rempli les bois de chimères charmantes."
J’étais tout excitée à la perspective de cette soirée. Je devais retrouver l’amour de ma vie, Ian Pendrake, dans un restaurant gastronomique d’Aviemore. Cette petite ville au cœur des montagnes des Cairngorms se garantissait « destination reconnue à travers l’Europe », en particulier pour ses pistes de ski.
Par bonheur, la station n’ouvrait qu’à partir de décembre. Aussi l’atmosphère automnale de cette fin octobre promettait un cadre assez intimiste pour nourrir mes rêveries les plus fleur bleue. Perdue dans mes pensées, je laissais courir mon imagination, fantasmant sans retenue sur le trésor qu’il nous avait déniché pour cette sortie exceptionnelle. Je connaissais son goût sûr et le charriais assez sur son palais délicat pour saliver d’avance.
Élevé dans une famille richissime, il se targuait d’une exigence en matière de service parfois exagérée, mais toujours prodigieuse. Chassé de la demeure familiale depuis l’annonce des fiançailles de son frère aîné plusieurs semaines auparavant par son père, il partageait son temps entre mon appartement et le cabinet où il exerçait en tant qu’avocat. Le choix de notre point de chute concordait donc avec ces deux adresses : à mi-chemin entre Forthill et Inverness. Mais pas que ! Ian m’avait promis une surprise.
Aussi, pour l’occasion, j’avais décidé de me pomponner : j’avais chiné une très jolie robe rose poudré recouverte de tulle transparent. Les manches trois-quarts s’ornaient de motifs en forme de cœurs baroques. Un coup de lisseur sur mes boucles attachées en chignon lâche, des pendants d’oreilles sertis d’ambre… J’avais conclu le tout en chaussant les escarpins noirs offerts par Cat, ma sœur d’adoption. Cette dernière avait en outre accepté de s’occuper de mon maquillage. Et me voilà digne d’une princesse en route pour le bal !
Plantée face à mon dernier tableau, un colibri chatoyant aux ailes largement déployées, je serrai les poings pour résister à l'en vie de massacrer la toile. Je gardais toujours un couteau à portée de main - c'était toujours pratique pour une raison ou une autre mais cette fois, j'avais juste envie de décapiter ce foutu oiseau de malheur.
J'avais adoré le peindre, et plus encore l'imaginer virevolter autour d'une fleur colorée. Désormais, il m'inspirait une tristesse atroce, si poignante qu'elle me serrait la gorge et me donnait envie de vomir. Même ses couleurs éclatantes ne parvenaient pas à me débarrasser de cette sale sensation d'échec.
Les larmes me brûlaient les yeux, attisant ma rage, et je me surpris à tendre la main en direction du manche du couteau. Un mouvement du poignet et ce serait fini. Je pouvais balayer des heures de travail en un instant.
Nerveusement, je me passai les mains dans les cheveux, laissant probablement des traînées de peinture dans mes mèches épaisses.
Peu importait; je me foutais pas mal de ressembler à quelque chose.
La seule chose qui comptait, c'était de calmer cette foutue angoisse qui me faisait sangloter et me donnait envie de tout arrêter. Tout.
À la toute dernière seconde, il se détourne et s’enfuit. Mais deux de ses amis prennent sa place. Ils nagent droit vers nous, de droite à gauche. Se déplaçant en donnant de légers coups de queue paresseux, alors que des bancs d’autres poissons multicolores les suivent.
– Tu me passes le sel, s’il te plaît ?
La porte d’entrée de la maison du voisin s’ouvrit et mon père descendit les marches au pas de course.
— Ils sont là ! Tout le monde est là ! dit-il par-dessus son épaule en traversant l’allée pour me prendre dans ses bras.
Cela faisait maintenant cinq ans que nous étions une famille d'accueil. J'avais appris une chose : la plupart des cas étaient très similaires à celui-ci. Des parents qui entraient et sortaient de la vie des enfants, parfois en raison de circonstances hors de leur contrôle, et d'autres fois simplement parce qu'ils étaient des bons à rien. Certains s'en souciaient à peine, mais d'autres essayaient désespérément de reprendre leur vie en main pour pouvoir garder la garde de leurs enfants.
— Envoyé ! déclare-t-elle, solennelle. On a fini !
Tous les employés d’Ingram and Holloway lâchent un soupir de soulagement, apprenant que le travail est enfin achevé. J’enlace Julie tandis que nos collègues se mettent à servir le champagne et préparer les tables pour notre petite fête.
Nous entrons tous dans le magasin le sourire aux lèvres. Le bâtiment est énorme. Deux étages présentant toutes les variétés de jouets, de jeux vidéo et de livres qu’un enfant peut imaginer. Tout est parfaitement rangé et empilé sur les étagères et dans les allées. La cannelle embaume la pièce grâce aux biscuits qui viennent de sortir du four à l’arrière.
« Maman, il y a un petit train ! » s’écrie un jeune garçon à côté de moi. Il montre du doigt le plafond, où des rails sont suspendus aux chevrons. La locomotive vrombit en parcourant le circuit tout autour du magasin.
Ça a été le plus amusant à installer.
« Ça n’aide pas de travailler ici, où on se le prend en pleine face », je réponds. « C’est comme les livreurs de pizzas qui ne peuvent plus voir une seule pizza en peinture. »
Lili pouffe de rire. « Noël, l’équivalent de la pizza en format vacances ? Je suis bien d’accord. »
Merde, je n’avais aucune envie d’être là ! Encore moins pour quelque chose d’amplement mérité !
Encore.
Toute cette histoire de relation longue distance, avec ces rencontres dans le royaume des humains, ne fonctionnait pas pour moi. Ce maudit Faë Aquatique fonctionnait pas pour moi. Ce maudit Faë Aquatique ne se pointait jamais à l’heure.
Mais l’autre partie de moi, celle qui animait mes motivations, était tout simplement brisée.
Parce que mon Esprit a disparu.
Mon âme.
Mon autre moitié.
Peu importe ce qu’il me réserve.
You are eternal. You have a fire burning inside you, and it comes from your mama's side. Protect your fire, protect that flame.