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A peine avait-elle dit ces mots mots que la porte de la salle de classe a volé en éclats, laissant déferler une bande de jeunes telchines. Ils se sont bousculés en cherchant par où charger, et plusieurs sont tombés.

-Remets ta casquette, ai-je dit. Sors d'ici !

-Quoi? a crié Annabeth. Pas question ! Je ne te laisse pas seul.

- J'ai un plan. je vais les distraire. Tu peux te servir de l'araignée en métal, peut-être qu'elle te reconduira chez héphaÏstos.-Mais tu vas te faire tuer!

- Mais non, ça ira. De toute façon on n'a pas le choix.

Annabeth m'a fusillé du regard, comme si elle allait me donner un coup de poing. et elle a fait une chose qui m'a sidéré encore davantage : elle m'a embrassé.

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" -OU ÉTAIS-TU ? a crié Annabeth en se frayant un chemin entre les autres pensionnaires.

J'ai bien cru qu'elle allait me donner un coup de poing, mais elle m'a serré dans ses bras, si fort qu'elle m'a presque cassé les côtes. Tout le monde s'est tu. Annabeth a semblé se rendre compte qu'elle se donnait en spectacle et elle m'a repoussé.

Je....On a cru que tu étais mort, Cervelle d'Algues !

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Avant de l'atteindre, j'ai entendu la voix de Chiron qui faisait une annonce.Quand j'ai compris ce qu'il disait, j'ai pilé net.

-...considérer qu'il est mort, disait Chiron. Après un si long silence, il est peu probable que nos prières soient exaucées. J'ai demandé à sa mailleure amie de lui rendre les derniers honneurs.

Je suis entré par l'arrière de l'hamphithéâtre et personne ne m'a remarqué. Tous regardaient devant eux :annabeth s'est approchée des flammes, portant une longue pièce de soie verte brodée d'un trident, qu'elle a déposé sur le feu. Ils brûlaient mon linceul.

Annabeth s'est tournée vers le public. elle avait une mine épouvantable. elle avait les yeux gonflés à force d'avoir pleuré, mais elle est parvenue à dire :

-C'était sans doute l'ami le plus courageux que j'aie jamais eu. Il...

C'est alors qu'elle m'a vue . Elle est devenue toute rouge.

-Il est là ! a-t-elle crié

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Alors, Annabeth a fait une chose qui m'a stupéfié. Elle a chassé ses larmes d'un battement de paupières et m'a tendu les bras.Je me suis avancé et je l'ai serrée dans les miens. ça m'a fait chabada bada au creux du ventre.

-Hé, t'inquiète...ça va aller, ai-je murmuré en lui tapotant le dos.

J'avais conscience de chaque détail de la pièce.J'étais sûr que j'aurais pu lire les plus petits caractères de n'importe quel livre de la bibliothèque. les cheveux d'Annabeth sentaient le citron.Elle tremblait.

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-Quintus..., a fait Géryon d'un ton pensif. Des cheveux gris en brosse, musclé, épéiste ?

-Ouais.

-Jamais entendu parler de lui.

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- Il faut que je parle à Clarisse, m'a dit Annabeth.

Je l'ai dévisagée comme si elle venait de déclarer : "Il faut que je mange une grosse godasse qui pue."

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"-Est ce que tu veux venir?

Je n'ai pas hésité une seconde.

-Je suis de la partie.

Elle a souri pour la première fois depuis des jours, et rien que pour ce sourire, ça valait la peine d'avoir dit oui."

(p93)

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- Tu as envoyé une brosse en plastique bleue dans l'œil du seigneur des Titans.

- C'est tout ce que j'avais sous la main, a répondu Rachel, l'air gêné.

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"-Annabeth a glissé sa main dans la mienne. En d'autre circonstance, j'aurais été gêné, mais là, dans le noir, j'étais content de savoir où elle était. C'était quasiment mon unique certitude."

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-Tu m'as demandé quelle était ma malédiction, percy. Je ne voulais pas te le dire. La vérité, c'est que les dieux m'envoient de la compagnie, de temps en temps. tous les mille ans, environ, ils laissent un héros s'échouer sur mon rivage, quelqu'un qui a besoin de mon aide. Je m'en occupe et je me lie d'amitié avec lui mais ce n'est jamais au hasard. Les Parques veillent à ce que le genre de héros qu'elles m'envoient...

Sa voix tremblait et elle a été obligé de s'interrompre.

J'ai serré sa main plus fort.

-Qu'est ce qu'il y a ? Qu'est ce que j'ai fait qui te rende aussi triste?

-Elles envoient toujours quelqu'un qui ne peut pas rester, a murmuré Calypso. Quelqu'un qui ne peut pas accepter ma compagnie au-delà d'une courte période. Elles m'envoient un héros dont je ne peut pas... le genre de héros dont je ne peux pas m'empêcher de tomber amoureuse.

La nuit était silencieuse, hormis le chant des fontianes et le clapotis des vague sur les galets. Il m'a fallu un long moment pour comprendre ce que me disait Calypso.

-Moi ? ai-je fini par demander.

-Si tu voyais ta tête ! (Elle a réprimé un sourire, mais ses yeux étaient encore embués.)Toi, bien sur.

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