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En fin de chemin, je suis aussitôt rentré dans un arbre et je me suis fait une belle bosse sur le front.

A ajouter à la liste des talents que je n'avais pas : la vision infrarouge.

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-Tu n'avais pas besoin de me protéger, Percy. Je m'en serais très bien sortie toute seule.

-En rondelles, a glissé Grover, mais très bien.

-Tais-toi, biquet.

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-Eh bien Percy,a murmuré Grover, qu'avons nous appris aujourd'hui?

-Que les chiens tricéphales préferent les balles en caoutchouc au baton?

-Non,m'a dit Gover. Nous avons appris que tes plans ne manquent pas de mordant!

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-Et tu n'as pas oublié ta flûte de Pan ?

-Bon sang, Annabeth, a grommelé Grover, on dirait une vielle maman chèvre.

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Les seules choses auxquelles j'ai pu penser, c'était que les professeurs avaient dû découvrir le stock de bonbons que je vendais illégalement dans ma chambre. Ou bien qu'ils s'étaient rendu compte que j'avais pompé ma rédaction sur Tom Sawyer sur Internet sans avoir lu le livre et qu'ils allaient annuler ma note. Ou, pire encore, me forcer à lire le livre

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- Tu es sans foi, Percy Jackson, m'a dit Echidna. Tu ne fait pas confiance aux dieux. Je ne peux pas te le reprocher, petit lâche. Il vaut mieux que tu meures maintenant. Les dieux sont déloyaux. Le poison à atteint ton coeur.

Elle avait raison : j'étais en train de mourir. Je sentais ma respiration ralentir. Personne ne pouvait me sauver, pas même les dieux.

J'ai reculé et j'ai regardé l'eau. Je me suis souvenu de la chaleur du sourire de mon père quand j'étais bébé. Il avait dû me voir. Il avait dû me rendre visite quand j'étais dans mon berceau.

Je me suis souvenu du trident vert qui avait apparu en tourbillonnant dans le ciel, la nuit de Capture-l'étandard, quand Poséidon m'avait reconnu comme son fils.

Mais là, ce n'était pas la mer. C'était le mississippi, en plein centre des États-Unis.

- Meurs, héros sans foi ! m'a craché Echidna d'une voix rauque, et la chimère a projeté une colonne de flammes vers moi.

- Père, aide-moi, ai-je prié.

Je me suis retourné et j'ai sauté. Mes vêtements étaient en flammes, le poison courait dans mes veines et je tombais comme une pierre vers le fleuve.

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Les copines de clarisse riaient et j'essayais de retrouver la force dont je m'étais servi pour combattre le minotaure, mais je n'y arrivais pas.

- Ce tocard, de l'étoffe des « trois grands » ? a dit clarisse en me poussant vers un des WC. J'y crois pas une seconde. Le minotaure à dû s'écrouler de rire en le voyant tellement il a l'air bête.

Ses amies ont ricané.

Debout dans un coin, Annabeth regardait entre ses doigts. Clarisse m'a forcé à m'agenouiller et s'est mise à me pousser la tête vers la cuvette. Celle-ci dégageait une puanteur de tuyaux rouilléss et de, comment dire... de ce qui va dans des WC.. Je luttais pour garder la tête levée. Tout en regardant l'eau crasseuse, je me disais : “ je ne plongera pas la tête dedant. Pas question.”

Alors il s'est passé quelque chose. J'ai senti une tension au creux de mon ventre, j'ai entendu la plomberie gronder, les tuyau trembler. Clarisse a desserré sa poigne. Un jet d'eau a fusé de la cuvette en traçant un arc juste au-dessus de ma tête et, brusquement, j'ignore comment, je me suis retrouvé affablé par terre sur le carrelage, tandis que Clarisse, debout derrière moi, hurlait.

À l'instant où j'ai tourné la tête, une nouvelle gerbe d'eau a jailli de la cuvette des WC, et touché Clarisse en pleine figure, avec une telle force qu'elle est tombée sur le derrière. Le jet d'eau a continué de l'arroser comme une lance d'incendie, la poussant violement vers une des douches.

Elle se débattait, hoquetait, et ses amies se sont précipitées à sa rescousse. Mais alors les autres WC ont éxplosé, eux aussi, et six nouveaux jets d'eau ont refoulé les arrivantes. Puis les douches se sont mêlées à la partie, et à eux tous, les jets d'eau ont balayé toutes les filles en veste de camouflage hors des toilettes, ballottant comme des détritus emportés par un courant.

(p.108-109)

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-Ils devaient vraiment aimer les olives.

-Oh, laisse tomber.

- Evidemment, si elle avait inventé la pizza, là je comprendrais.

-Laisse tomber, je te dis.

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Peut-être que si je t'envoyais un bon coup de pied dans tes parties sensibles, ai-je pensé. Histoire de te rendre soprano pour la semaine...

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Après le départ de Luke, je lui ai dit :

-Respire, t'es en apnée.

-N'importe quoi.

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