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- J'ai un vœu, cependant, ai-je repris. Promettez-vous d'exaucer mon vœu ?

Zeus a réfléchi, avant de répondre :

- S'il est en notre pouvoir, oui.

- Oui, il l'est. Et ce n'est même pas difficile. Mais j'ai besoin de votre serment sur le Styx.

- Quoi ? s'est écrié Dionysos. Tu ne nous fais pas confiance ?

- Quelqu'un m'a dit un jour, ai-je répondu en regardant Hadès, qu'il faut toujours obtenir un serment solennel.

- Je plaide coupable, a dit Hadès en haussant les épaules.

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"L'un d'eux [les tritons] est passé à côté de nous en nageant trés vite. Il avait les yeux vert fluo et des dents de requin. On ne vous montre pas ce genre de choses dans La Petite Sirène."

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LA BAIGNADE DE PERCY DANS LE STYX.

Imaginez que vous sautiez dans une fosse d'acide bouillonant.Maintenant multipliez cette douleur par cinquante.Vous serez enore loin de comprendre ce qu'on peut sentir en nageant dans le Styx.J'avais prévus d'entrer dans l'eau à pas lents,tel un vrai héros.Or,dés que l'eau est entré en contact avec mes jambes,mes muscles m'ont laché et je suis tombé tête le première dans le courant.

J'étais entièrement immergé.Pour la première fois de ma vie,je ne pouvais pas respirer sous l'eau.J'ai enfin compris la panique qu'on a quand on se noie.Tous les nerfs de mon corps étaient embrasés.Je me dissolvait dans l'eau.Je voyais des visages-Rachel,Grover,Tyson,ma mère-mais ils se dissipaient à peine formés.

"Percy,disait me mère,je te donne ma bénédiction."

"Fais gaffe à toi frérot!"disait Tyson.

"Des enchiladas!"disait Grover.

Je ne savait pas d'où venaient ses apparitions,mais elles ne m'aidaient pas beaucoup.

Je perdais la bataille.La douleur était trop forte.Mes mains et mes pieds fondaient dans l'eau,mon âme se détachait de mon corps.Je n'arrivait déjà plus à me rappeler qui j'étais.La douleur infligé par la faux de Cronos n'était rien,comparée à celle-ci.

Le cordon,m'a dit alors une voix familière.N'oublie pas la corde d'ammarage andouille.Soudain,je me suis sentie tiré par le bas du dos.Le courant me happait toujours,mais il ne m'emportait plus.J'ai imaginé la corde du creux de mes reins qui me rattachait au rivage.

"Tiens bon,Cervelle d'Algues."C'étais la voie d'Annabeth,bien plus clair à présent."Tu ne vas pas m'échapper si facilement."

La corde s'est tendue.

A présent,je voyais Annabeth:debout peds nus sur la jetée du lac de canoë-kayac,au dessus de moi.J'étais tombé de mon canoë.Aussi simple que ça.Elle tendait les mains pour me hisser hors de l'eau,en se retenant de rire.Elle portait son tee-shirt orange de la colonie et un blue-jean.Ses cheveux étaient rentrés dans sa casquette des Yankees,ce qui étaient bizarre car ça aurait dû la rendre invisible.Elle m'a souri.

"Ce que tu peut être bête,des fois.Allez,prends ma main.

Un flot de souvenirs m'a assailli,plus colorés et plus précis.J'ai céssé de me dissoudre.Je m'appelais Percy Jackson.J'ai tendu le bras et attrapé la main d'Annabeth.

Brusquement,j'ai jailli hors du fleuve.Je me suis écroulé sur le sable de la berge et Nico a poussé un cri de surprise.

-Ca va?a t-il bafouillé.Ta peau...par les dieux,tu es bléssé!

Mes bras étaient rouge vif.Le corps entier me brulait comme si on m'avait fait rôtir à la boche.

J'ai cherché Annabeth du regard,tout en sachant pertinnament qu'elle n'était pas là.Là vision m'a paru si réelle pourtant.

-Ca va...je crois.

Ma peau a repris sa couleur normale.La douleur s'est calciné.Kitty O'Leary s'est approchée et m'a reniflé avec inquiétude.Apparament,je dégageais des effluves des plus intéressants.

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Silena a appliqué une serviette humide sur le front d'Annabeth.

-Tout ça, c'est de ma faute,a-t-elle dit.

-Non, a répondu Annabeth d'une voix faible.Silena , pourquoi ce serait de ta faute?

-J'ai jamais été bonne dans aucune matière,à la colonie.Pas comme toi ou Percy.Si j'était meilleur au combat....

Ses lèvre tremblaient.Depuis la mort de Beckendorf , son état n'avait qu'empirer et chaque fois que je la regardais , je santais se raviver la colère que m'avait causée la mort de notre camarade.Silena me faisait penser a du verre : si fragile qu'elle pouvait se briser d'un instant a l'autre.Je me suis juré que si je trouvais l'espion qui avait coûté la vie à son petit ami , je le donnerais en pâture a Kitty O'Leary.

-T'es une pensionnaire en or , Silena , lui ai-je dit.Tu es notre meilleure cavalière de pégase et tu a un don pour t'entendre avec tout le monde.Crois-moi, pour devenir l'ami de Clarisse, il faut un sacré talent.

Elle m'a regardé comme si je venais de lui donner un idée.

-C'est ça! On a besoin des Arès.Je peux parler à Clarisse.Je pourrai la convaincre de nous aider, je le sais.

-Hou là ! Du calme, Silena ! Même si tu parvenais à quitter Manhattan,Clarisse est du genre buté.Une fois quelle est fâchée....

-S'il te plait, a insisté Silena.Je pourrai prendre un pégase.Je sais que je pourrai rentrer à la colonie.Laisse-moi essayer.

J'ai échangé un regard avec Annabeth.Elle a hoché la tête doucement.

L'idée ne me plaisait pas.A mon avis, Silena n'avait aucune chance de convaincre Clarisse de se battre.D'un autre côté,là, elle était dans une telle détresse mental que si elle devait se battre elle se ferais certainement blesser.Peut-être que de retourner la la colonie lui permettrait de concentrer ses pensées sur autre chose.

-D'accord ai-je dit.Je pense que tu est la mieux placée pour essayer.

Silena m'a sauter au cou.

-Merci,Percy. Je ne te décevrai pas!

Après son départ, je me suis agenouillé au chevet d'Annabeth et j'ai mis la main sur son front.Il était encore brûlant.

-T'es mignon quand tu t'inquiètes, a-t-elle marmonné.Avec t'es sourcils tout froncés.

-je t'interdis de mourir quand je te dois un service.Pourquoi as-tu intercepté se coup de couteau?

-T'en aurais fait autant.

C’était vrai. Je crois qu'on le savait tous les deux.

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- Des centaures ! a crié Annabeth.

L'armée des Poneys Fêtards a déboulé dans nos rangs en une explosion de couleurs : tee-shirts chamarrés, perruques afro arc-en-ciel, lunettes de soleil géantes et peinture de guerre sur les visages. Certains centaures avaient tracé des slogans sur leurs flancs, du genre : CRONOS PUE DE LA GUEULE ou TROP FORTS LES CHEVAUX.

Par centaines, ils ont envahi le pâté de maisons. Mon cerveau n'arrivait pas à traiter tout ce que je voyais, mais je sais qu'à la place de l'ennemi, j'aurais pris la fuite.

- Percy ! a crié Chiron, de l'autre côté de la mer de centaures déchaînés. (Il était en armure de combat à partir de la taille, son arc à la main, et affichait un sourire rayonnant.) Désolé pour le retard.

- MEC ! a hurlé un autre centaure. Tu causeras plus tard. ON VA ECLATER LES MONSTRES !

Sur ce, il a chargé un pistolet à peinture à deux coups et vaporisé un chien des Enfers de rose fuchsia. Il devait y avoir de la poussière de bronze céleste ou une substance du même ordre dans la peinture, car le monstre, à peine touché, a glapi et s'est réduit en flaque noir et rose.

- PONEYS FÊTARDS ! a crié un centaure. DIVISION DE FLORIDE DU SUD !

Quelque part sur le champ de bataille, une voix nasillarde a rétoqué :

- DIVISION DU TEXAS !

- HAWAÏ VOUS DECHIRE LA TRONCHE ! a hurlé une troisième.

Je n'avais jamais rien vu d'aussi beau. L'armée du Titan atourné les talons comme un seul homme et fui sous les billes de paint-ball et les flèches, les estocades à l'épée et les coups de batte de base-ball. Les centaures piétinaient tout sur leur passage.

- Arrêtez de fuir, imbéciles ! a hurlé Cronos. Arrêtez-vous et ... AARGH !

Un Hyperboréen, titubant sous l'effet de la panique, venait de tomber à la renverse sur Cronos. Le seigneur du Temps a disparu sous un gigantesque postérieur bleu.

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Hestia a ouvert la main et le feu s'est enflé en crépitant furieusement, levant des flammes de près de dix mètres de haut. Une vague de chaleur m'a frappée de plein fouet. Puis le feu est retombé à sa taille précédente. La déesse m'a regardé.

-Les pouvoirs ne sont pas tous spectaculaires, a-t-elle fit. Parfois, le pouvoir le plus dur à maîtriser est celui qui consiste à savoir céder. Me crois-tu ?

-Oui,oui, ai-je dit, prêt à convenir de n'importe quoi pour qu'elle ne se remette pas à jouer avec les flammes.

Hestia a souri.

-Tu est un bon héros, Percy Jackson. Pas trop fier. Ça me plaît. Mais il t'en reste long à apprendre. Lorsque Dionysos a été changé en Dieu, je lui est cédé mon trône. C'était le seul moyen d'éviter une guerre civile entre les dieux.

-Ça a déséquilibré le Conseil, me suis-je souvenu. D'un coup, ils se sont retrouvés sept hommes et cinq femmes.

La déesse a haussé les épaules.

-C'était la meilleure solution, même si elle n'était pas parfaite. Maintenant je m'occupe du feu. Je passe lentement à l'arrière plan. Personne n'écrit jamais de poèmes épiques sur les faits et gestes d'Hestia. La plupart des demi-dieux ne passent même pas me dire bonjour. Mais ce n'est pas grave. Je maintiens la paix. Je cède quand c'est nécessaire. En es-tu capable, toi ?

-Je ne sais pas ce que vous voulez dire.

Elle m'a scrupté.

-Pas encore, peut-être. Mais bientôt. Comptes-tu poursuivre ta quête ?

-Est-ce la raison de votre présence ? Me déconseiller de poursuivre ?

Hestia a secoué négativement la tête.

-Je suis là parce que lorsque tout le reste échoue, lorsque tous les autres dieux puissants sont partis à la guerre, je suis celle qui reste. La maison. Le foyer. Je suis le dernier des Olympiens. Il faudra que tu te souviennes de moi quand tu feras face à ton ultime décisions.

P. 117/118 :).

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Pendant que Zeus dégoisait - un long discours sur le courage des dieux et tout le toutim -, Annabeth est revenue dans la salle et m'a rejoint. Elle avait bonne mine pour quelqu'un qui s'était évanoui peu avant.

- J'ai beaucoup raté ? m'a-t-elle chuchoté à l'oreille.

- Jusqu'à présent, personne ne compte nous tuer, ai-je répondu dans un murmure.

- C'est la nouveauté du jour.

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Avant de me dégonfler, j'ai dit :

- J'ai pas le droit a un baiser pour me porter chance ? C'est une tradition, non ?

J'ai cru qu'elle allait me donner un coup de poing. Au lieu de quoi, elle a dégainé son poignard et rivé les yeux sur l'armée qui avançait vers nous.

- Reviens vivant, Cervelle d'Algues. On verra à ce moment-là.

Sachant que je ne pourrais sans doute pas en obtenir davantage, j'ai quitté notre abri, derrière le bus scolaire.

Et je me suis avancé sur le pont, bien visible, à la rencontre de l'ennemi.

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On s'est tenu par la main jusqu'à l'instant où ils nous ont jetés à l'eau.

Et là, c'est moi qui ai eu le dernier mot. J'ai créé une bulle d'air au fond du lac. Nos copains attendaient qu'on remonte, mais, hé… quand on est le fils de Poséidon, pas besoin de se dépêcher.

Sans exagérer , ce fut le meilleur baiser sous-marin de tous les temps

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- Je vous donne ceci en offrande.

- Je suis le plus humble des dieux. Pourquoi me confierais-tu ceci ?

- Vous êtes le dernier des Olympiens. Et le plus important.

- Et pourquoi cela, Percy Jackson ?

- Parce que c'est au foyer que l'Espoir survit le mieux. Gardez-le pour moi et je ne serais plus tenté de l'ouvrir.

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