Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
761 486
Membres
1 199 538

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

I am a guy of limited talents. If I can’t kill it with water, a sword, or sarcasm, I am basically defenseless. I come preloaded with sarcasm.

Afficher en entier

Annabeth « aidait » (guillemets en l’air fortement sarcastiques) en gazouillant les paroles une demi-mesure après moi. C’est comme ça que tu sais que tu as trouvé le grand amour : quand ta partenaire chante aussi mal que toi.

Afficher en entier

Allez trouver quelqu'un qui vous aime de la même façon que ma copine quand elle me pousse du haut d'une falaise.

Afficher en entier

- Percy, a-t-il dit.

- Salut.

Nous avons ce genre de conservations profondes.

Afficher en entier

Cet après-midi-là, j'ai fait un truc qui ne me ressemble pas. Je suis allé à la bibliothèque.

Oui, je sais. Je pourrais presque entendre le diamant du tourne-disque gratter sur votre cerveau dans vos efforts pour traiter le concept. Si je vous disais que j'étais tombé à nouveau dans le Tartare, que j'avais dû faire du saut à l'élastique dans un volcan ou que je m'étais fait avaler par un géant, vous seriez là : Ouais, d'accord. Mais Percy à la bibliothèque ? Ça ne cadrait vraiment pas.

En fait, je n'ai rien contre les bibliothèques. Ce sont des endroits calmes et agréables et les bibliothécaires que j'ai rencontrés sont en général des gens assez cool. C'est juste que les bibliothèques sont pleines de livres. Étant dyslexique, j'ai tendance à penser que livre est synonyme de migraine. Et pourtant, parfois, les livres sont les seuls à pouvoir vous offrir des informations, et il vous faut donc risquer le mal de tête. Telle est la conclusion de ma conférence sur l'importance de la lecture.

Afficher en entier

Tu sais, m'a-t-il dit, ce sont parfois les petites vagues qui te renversent. Les tsunamis, tout le monde sait qu'ils sont puissants. Les raz-de-marée, énormes et impressionnants. Mais ces petites vagues ? Elles ont en elles beaucoup de pouvoir. Elles montrent ce dont l'océan est capable, même lorsque personne n'y fait attention.

Afficher en entier

« Allez trouver quelqu’un qui vous aime de la même façon que ma copine quand elle me pousse du haut d’une falaise.

Sans hésitation. Avec une entière confiance en vos capacités, une inébranlable conviction que votre relation tiendra le choc, et une foi à toute épreuve qu’en sortant de l’eau, à supposer que vous surviviez, vous lui pardonnerez totalement de vous avoir poussé. Lui pardonnerez presque sûrement. Probablement.

Points de bonus si ce faisant, iel a le cran de vous lancer « Buena viaggio ». »

Chapitre 17, page 140

Afficher en entier

Quand on est demi-dieu, on s’inquiète beaucoup de rester en vie. On ne pense quasiment jamais à la vieillesse. J’avais toujours été tellement focalisé sur mon désir de finir le lycée, de devenir adulte… mais ce n’était peut-être pas le but ultime. Vieillir était sans doute difficile et effrayant. Ça comportait des choses auxquelles je n’avais pas envie de penser, comme l’arthrose, les petits vaisseaux éclatés et les appareils auditifs. Mais vieillir avec les gens qu’on aime, n’était-ce pas mieux que n’importe quelle autre option ?

J’ai jeté un coup d’œil à Annabeth et à Grover. Nous avions traversé tellement d’épreuves ensemble. J’ai imaginé Annabeth avec des rides et des cheveux argentés, riant de m’appeler Cervelle d’Algues pour la quatre millionième fois de notre vie. J’ai imaginé Grover avec des touffes de poils dans les oreilles, le dos voûté, appuyé sur une canne, se plaignant d’une voix chevrotante de ses sabots qui lui faisaient mal puis, peut-être, s’accordant une sieste sur un banc, dans notre jardin au bord de la mer, et moi assis à côté de lui, face aux vagues, reposant mes os douloureux en respirant l’air iodé. Je n’avais pas de mal à imaginer des os douloureux. En fait, rien de tout ça n’était difficile à imaginer.

Gary s’attendait à ce que je lui résiste. Or à moins de mourir jeune, je ne pouvais pas battre Grand Âge. Mais si je l’acceptais, si je l’embrassais ?

C’était une idée ridicule. Cesser de me battre et faire le gros câlin de la paix avec Gary ?

Mes genoux ont recommencé à trembler. Il me restait peut-être une seconde avant qu’il ne m’écrase contre le poteau.

J’ai lâché les biceps du dieu et l’ai pris dans mes bras.

Et là, j’ai prononcé les mots qui allaient – j’en étais quasi sûr – entrer dans l’histoire comme les ultimes paroles les plus stupides :

— Je t’aime, frérot.

Afficher en entier

J’ai repensé aux projets que nous avions faits, Annabeth et moi, pour la fac et pour plus tard. J’ai repensé à toutes les choses que j’aurais voulu lui dire… si seulement j’avais le moyen de lui faire savoir à quel point je l’aimais.

Afficher en entier

— Garantie sans cruauté, a grommelé Annabeth. Et la cruauté envers les demi-dieux, ça ne compte pas ?

— On trouvera une solution, a dit Grover, qui avait étrangement retrouvé son allant. J’ai toujours eu envie de voir l’Élisson. Il y a un seul problème.

— En plus des monstres qu’on ne peut pas tuer ? ai-je demandé.

Afficher en entier