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Toute petite, Marjane voulait être prophète. Elle se disait qu'elle pourrait ainsi soigner le mal de genoux de sa grand-mère. En 1979, l'année de ses dix ans et de la révolution iranienne, elle a un peu oublié Dieu. Elle s'est mise à manifester dans le jardin de ses parents en criant "à bas le roi !". Là, elle s'imaginait plutôt en Che Guevara. Il faut dire qu'à l'époque, son livre préféré s'appelait Le Matérialisme dialectique. Marjane trouvait d'ailleurs que Marx et Dieu se ressemblaient. Marx était juste un peu plus frisé, voilà tout. Après, la vie a continué, mais en beaucoup moins drôle. La révolution s'est un peu emballée. Et la guerre contre l'Irak est arrivée…
Dans Persepolis, Marjane Satrapi raconte son enfance sur fond d'histoire de son pays, l'Iran. C'est un récit drôle et triste à la fois, parfois cocasse, souvent touchant. Mais toujours passionnant. C'est aussi un petit événement : il s'agit de la toute première bande dessinée iranienne de l'Histoire…
" Écoute, je n'aime pas te faire la morale mais je vais te donner un conseil qui te servira à jamais : dans la vie, tu rencontreras beaucoup de cons. S'ils te blessent, dis toi que c'est la bêtise qui les poussent à te faire du mal. Ça t'évitera de répondre à leurs méchancetés .
Car il n'y a rien de pire au monde que l'amertume et la vengeance.
Une histoire contée avec humour, qui narre pourtant la vie pendant la guerre Iran-Irak puis sous une théocratie à la main de fer. Les dessins sont par ailleurs vraiment agréables !
Persepolis est un classique de la bande dessinée française, ce qui est ironique puisque pendant toutes mes années au collège, une immense affiche de cette jeune fille était affichée et je n'y ai jamais vraiment prêté attention. Je n'avais même pas cherché à savoir ce que c'était : un film, une série ou un livre ? Pourtant, aujourd'hui, j'ai enfin pris le temps de découvrir son histoire, et wow. J'ai littéralement dévoré l'intégrale en une soirée. Il était impossible de lâcher Marjane ; on la suit de son enfance jusqu'à sa vie d'adulte. C'est une histoire d'une réalité poignante et d'une certaine manière, j'avais l'impression d'être intime avec elle, comme si une amie racontait son histoire à d'autres amies.
Je savais déjà que cette bande dessinée allait résonner en moi, mais j'avais quelques doutes concernant les dessins. Ce n'est pas mon style de prédilection en matière de lecture ; j'aime les couleurs, les belles planches. Ici, c'est cru et en noir et blanc. On ne cherche pas à tromper le lecteur ; les dessins servent simplement à illustrer brièvement le récit. Cela m'a permis de me concentrer davantage sur les paroles, et au fil du temps, j'ai fini par apprécier ces dessins qui ne cherchent pas à embellir le tout.
Persepolis est un ouvrage divertissant, mais également beaucoup plus instructif que certains cours que j'ai pu suivre. J'ai découvert cette triste réalité sous un jour nouveau, une réalité qui, encore aujourd'hui, n'a pas évolué. Cela soulève des millions de questions, un sentiment d'impuissance et donne une véritable claque. Je considère donc cette bande dessinée comme légitime dans son statut de classique ; elle mérite d'être lue et relue.
Persepolis fait partie de mes coups de cœur de l'année. Malgré sa publication datée, je la recommanderais les yeux fermés, surtout dans la période actuelle.
Persépolis est une bande dessinée que je souhaitais lire depuis quelques années. Je suis contente d'avoir pris le temps de la découvrir.
A travers son histoire, l'autrice nous raconte celle de toutes les jeunes filles d'Iran lorsque la Révolution Islamique a pris fin. Thème qui résonne particulièrement depuis ces derniers mois dans l'actualité.
Nous découvrons Marjane, une fille puis une femme forte, indépendante et ayant un désir important de liberté. Cette bande dessinée nous permet d'apprendre l'histoire de l'Iran.
Le personnage principal, plein d'humour, permet de donner un ton léger à ce récit.
Un parcours de vie intéressant et une histoire qui donne envie d'en découvrir davantage sur l'Iran et sa situation politique. On suit l'évolution de ce personnage caractériel qui évolue dans un monde dans lequel les femmes n'ont pas d'existence et où le fanatisme religieux règne. On assiste à l'horreur, la peur, l'indignation, la colère puis la peine. Le texte est touchant et le dessin assez simpliste et enfantin. Coup de coeur pour cette BD autobiographique qui m'a captivée et éclairée.
Une BD très intéressante sur la vie d'une petite fille qui dot devenir adulte dans un pays en guerre, dont la propagande change avec le gouvernement, et qui essaye de trouver sa place au sein d'un monde assez absurde, ballotée dans les années 80 et 90, entre Iran et Autriche, entre ce qu'elle apprends à l'école et sa famille.
Personnellement, je n'aime pas particulièrement les autobiographies. Cependant, j'ai pu prendre goût à cette très belle bande dessinée. Les dessins en noir et blanc, plutôt "simples", avec toutes ces formes arrondies, permettent au lecteur de s'intéresser pleinement à l'histoire. Un récit très touchant dont j'ai apprécié la lecture.
Que dire encore ? Avec toutes les critiques déjà présentes, tout a sans doute été dit. Une œuvre majeure pour moi avant tout sur la résistance : Marjane a failli y rester en Autriche, lycéenne, ou en Iran. Sensation étrange, elle est passée aux arts décos à Strasbourg, à l'époque où j'habitais également cette ville. Pour le reste, une autofiction en bande dessinée souvent très émouvante, révoltée, souvent aussi, mais très drôle à de nombreuses reprises. Et bien sûr l'Iran : qui d'autre pouvait dessiner tout cela ?
Cela fait un moment que Persepolis me trottait dans la tête déjà pour son titre fard mais aussi pour son sujet qui m'intriguait. Quand une amie reçut l'intégrale à Noël, je n'ai pas hésité à le lui emprunter. C'est donc avec curiosité que je me suis lancée dans cette lecture. Je n'avais pas d'attentes particulières. Je me suis laissée porter par cette histoire.
Nous suivons l'enfance, l'adolescence et le passage à la vie adulte de Marjane qui est issue d'une famille irannienne. Marquée la guerre et la dictature de son pays, la jeune fille tente de faire valoir les valeurs de sa famille. Ses parents lui ont inculqué la liberté d'expression et de la femme : des sujets tabous dans la culture irannienne. Son émancipation est un cri du coeur qui se fait ressentir à travers les pages. Nous sentons et ressentons cette révolte et cette incompréhension. Plusieurs fois, j'avais envie de manifester avec elle et de clouer le bec aux langues de vipères.
Marjanne erre dans cette crise d'identité qui se renforce lors de son adolescence. Difficile de concilier traditions et construction de soi ! Bien que le contexte soit ciblé, tout lecteur peut se reconnaître à travers ce personnage. Je pense que c'est là la force de cette BD et le pourquoi elle est à mettre entre toutes les mains. Ses fragments de vie peuvent faire écho à la notre. Pour ma part, je m'y suis reconnue dans ses questionnements et ses fragilités. Cela m'a fait beaucoup réfléchir.
Les messages véhiculées ne laissent pas indifférent le lecteur. L'autrice lève le voile sur son vécu en n'hésitant pas à nous brutaliser et en même temps, être porteuse d'espoir. C'est là que la patte graphique apporte vraiment un charme en plus à l'intrgue. Les dessins minimalistes et les touches de couleur noires et blanches renforcent cette atmosphère dramatique et mélancolique. Une certaine poésie se dégage au fil des planches. Cela rend la lecture totalement immersive. J'en ai été transportée.
L'entourage de Marjane m'a touché. J'ai surtout aimé la relation qu'elle entretient avec son père. L'évolution de ce lien est terriblement belle et émouvante. Je suis ressortie de ma lecture toute remuée. C'est un torrent d'émotions qui m'a envahit.
Vous le devinez. Cette BD a été un incroyable coup de coeur, mon premier de l'année. Je vous recommande vivement cette lecture.
Un très beau récit de vie ! Un classique que j'ai mis du temps à lire mais que j'ai beaucoup apprécié ! L'auteure raconte son parcours de vie avec une neutralité emprunte d'humour et de nostalgie. Le récit est très touchant.
Excellente BD autobiographique, les graphiques en noir et blanc apportent vraiment un plus à l'histoire, à l'image des heures sombres décrites ici, sans pour autant enlever la joie et l'amour présentes dans la vie de l'autrice.
Résumé
Toute petite, Marjane voulait être prophète. Elle se disait qu'elle pourrait ainsi soigner le mal de genoux de sa grand-mère. En 1979, l'année de ses dix ans et de la révolution iranienne, elle a un peu oublié Dieu. Elle s'est mise à manifester dans le jardin de ses parents en criant "à bas le roi !". Là, elle s'imaginait plutôt en Che Guevara. Il faut dire qu'à l'époque, son livre préféré s'appelait Le Matérialisme dialectique. Marjane trouvait d'ailleurs que Marx et Dieu se ressemblaient. Marx était juste un peu plus frisé, voilà tout. Après, la vie a continué, mais en beaucoup moins drôle. La révolution s'est un peu emballée. Et la guerre contre l'Irak est arrivée…
Dans Persepolis, Marjane Satrapi raconte son enfance sur fond d'histoire de son pays, l'Iran. C'est un récit drôle et triste à la fois, parfois cocasse, souvent touchant. Mais toujours passionnant. C'est aussi un petit événement : il s'agit de la toute première bande dessinée iranienne de l'Histoire…
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