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Résumé
La science économique, qui a vraiment commencé au XVIIIe siècle, fut d'abord française, même si au travers d'Adam Smith, l'Angleterre pointait déjà son nez. Chaque époque de crise a suscité l'émergence d'une nouvelle école enracinée dans le pays dominant. On peut alors considérer que quatre écoles se sont succédé, les territoires majeurs d'influence se déplaçant au gré de l'évolution des idées économiques. Alors qu'à la fin du XVIIIe siècle, les physiocrates voient dans la croissance par l'agriculture la réponse au problème de la dette publique, les penseurs de l'école " classique " espèrent, au début du XIXe siècle, le salut dans le libre-échange ; commence alors la domination intellectuelle anglaise. À la fin du XIXe siècle, l'école néoclassique formalise le rôle de la concurrence ; le keynésianisme théorise au milieu du XXe siècle un équilibre de sous-emploi et propose l'investissement public financé par l'emprunt. Ce courant accompagne l'émergence des États-Unis et leur prise de pouvoir intellectuel sur les idées économiques. C'est cet enchaînement que raconte cet ouvrage de façon originale et accessible.
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