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Commentaires de livres faits par petitspock

Extraits de livres par petitspock

Commentaires de livres appréciés par petitspock

Extraits de livres appréciés par petitspock

Suite et fin du premier volume de la trilogie, ce volume nous permet de découvrir, aux côtés de nos trois héros, ce qu'est le monde dans lequel ils ont atteri, d'explorer plus en détail les rouages de la politique, de la religion et de la vie quotidienne de ses habitants, descendants des contemporains de Rhapsody, Grunthor et Achmed.
Bien entendu, nos trois personnages font la rencontre de plusieurs personnes qui vont intégrer leur vie, voire leur quotidien : notamment la jeune orpheline des rues Jo, et le mystérieux Ashe toujours encapuchonné et discret.
Mais surtout, ils vont être confrontés à la violence de ce monde, aux inexplicables massacres et à la magie funeste qui imprègne certtains lieux, une magie qui n'est pas sans rappeler les ennemis qu'ils croyaient avoir laissés derrière eux lors de leur traversée du monde.
Ainsi, les trois compères vont prendre part au devenir de ce monde en combattant l'ennemi du passé, mais aussi en prenant la tête d'une arme, d'un peuple entier, qui n'attendait qu'une chose, des personnages dignes de les réunir et les diriger, des êtres capables de voir derrière leur apparence grotesque qu'ils sont humains et non des monstres. Ils deviennent seigneurs du peuple des bolgs ("les monstres").
Mais ce livre ne fait que conclure la première partie de cette trilogie.
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Quoique le changement abrupt de personnage après l'Ouverture soit une frustration, et qu'on ne comprenne pas le rapport entre l'Ouverture et la suite, Rhapsody est un roman très prenant et marquant. Plus que les descriptions un peu longues des tunnels qui traversent la Terre, c'est le jeu des relations interpersonnelles qu'on garde en mémoire, l'évolution des opinions, des sentiments, l'abandon des préjugés. C'est somme toute la transposition de toute évolution humaine, même si les personnages ne sont pas tout à fait humains.
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« Le roman d'Harris est un chef-d'oeuvre... Thomas Harris a bâti une intrigue terrifiante, une histoire où la démence n'est plus un vague décor romanesque mais un univers envoûtant où l'implacable logique du plus fou entraîne la raison des autres, et celle du lecteur, vers des sommets d'horreur et de subtilité perverse. Puissant, rigoureusement construit, servi par la sécheresse d'une écriture épurée jusqu'à l'essentiel, Le Silence des agneaux est un inoubliable moment de lecture hallucinée. »
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En mettant en scène les découvertes des égyptologues, l'auteur rend parfaitement vivant et crédible le contexte temporellement lointain de son histoire et parvient à donner autant de chair aux protagonistes de son roman qu'à des personnages contemporains évoluant dans l'univers qui nous est familier. La leçon d'histoire passe comme un film et les lecteurs de La Main droite d'Amon, première enquête de Bak imaginée par Lauren Haney, retourneront avec plaisir sur les bords du Nil pour suivre leur héros au cœur noble dans une nouvelle intrigue à suspense.
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À petites touches, grâce à un fourmillement de détails de la vie quotidienne, l'auteur plante le décor de façon réaliste et parvient à donner vie à une Égypte ancienne fort éloignée de l'image fascinante mais statique que laissent les évocations contemporaines des pyramides et autres sphinx. Les bords du Nil au temps des pharaons sont ici pleins de vie, de sentiments, d'émotions. Le détective courageux et intègre, au service de Maât, déesse de l'ordre et de la justice, est un héros attachant dont l'enquête à suspense constitue en premier lieu un excellent prétexte à un voyage spatio-temporel parfaitement dépaysant.
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Le royaume des feys est sorti de l'ombre et coexiste avec le monde des humains. La Reine de l'air et des ténèbres, qui règne en véritable despote, a, malgré son immortalité, une liste d'héritiers conséquente, au deuxième rang de laquelle une certaine Meredith NicEssus. Pauvre Meredith, dont le sang mi-humain mi-elfe fait d'elle une mortelle ne possédant même pas la moitié des pouvoirs surnaturels qui font le quotidien des autres membres, tous immortels, de la cour. Alors, pour éviter les complots et autres tentatives d'assassinat que lui confère le douteux privilège d'être placée si près du trône, Meredith s'enfuit. Une fuite que la Reine, folle de rage, ne lui pardonne pas : elle lui promet, si elle la retrouve, une mort lente et douloureuse.

Meredith, devenu Merry Gentry, utilise le peu de pouvoir qu'elle possède pour masquer son apparence de fey, et c'est sous les traits d'une humaine banale qu'elle vit le plus tranquillement du monde. Une tranquillité qui, hélas, va tourner court. Merry travaille comme détective privée au sein d'une agence spécialisée dans les affaires surnaturelles. Et ce qui lui tombe sous le nez sent mauvais. Passant outre les accords signés entre la Reine et les humains, un membre de la cour distribue des produits magiques qui déchaînent la folie sexuelle chez les humains et entraînent la mort. L'enquête tourne mal, et Merry se voit obligée de brûler sa couverture. Rapatriée de force à la cour, la princesse Meredith va devoir faire preuve d'une volonté farouche si elle veut ne serait-ce que survivre aux épreuves qui l'attendent...

Loin des gentilles fables que l'on raconte le soir aux enfants, où les fées portent de jolis chapeaux pointus et exaucent les vœux le sourire aux lèvres, nous sommes là en présence d'un roman des plus sulfureux. Qu'on se le dise, les mœurs des feys sont plutôt du genre sanglantes et extrêmes : à la cour, la magie est surtout utilisée pour provoquer la perte de son prochain, et le sexe et la douleur sont intimement liés. Ce qui nous donne un récit avec des scènes de cul toutes les dix pages. Car il faut bien dire ce qui est : Hamilton s'intéresse plus aux fesses de sa fée qu'à une intrigue éventuelle. Malgré la légèreté et la linéarité de l'histoire, fort convenue, on se surprend à lire ce livre d'une seule traite. Les protagonistes, aux personnalités variées, ont tous un caractère bien trempé, et l'action possède un rythme qui ne laisse guère le temps de souffler. Les descriptions physiques, aussi bien des personnages que des paysages, sont autant des réussites visuelles que narratives. Le Baiser des ombres est à mettre sur la même étagère que le Faërie hackers de Johan Héliot, le sexe en plus et la diversité créative des personnages féeriques en moins.

Au final, malgré quelques longueurs dues à la gratuité de certaines scènes de sexe — ce dont on ne se plaindra pas trop, à la réflexion — , on se surprend à suivre avec délice les pérégrinations de cette princesse pas bégueule dans le choix de ses amants, au point qu'une suite serait la bienvenue. Une lecture détente doigts de pied en éventail assez jouissive, qui apporte une bouffée d'oxygène. Il serait dommage de passer à côté !
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date : 24-10-2011
Un empire galactique. Des étoiles à perte de vue, chacune accompagnée de mondes peuplés d’étranges créatures. Des vaisseaux naviguant par milliers sur les marées stellaires, s’affrontant en d’improbables armadas au milieu d’explosions cataclysmiques et de faisceaux multicolores. De nobles héros, élancés, vaillants, séduisants, un peu téméraires, à l’œil vif et à l’intelligence pratique. Des femmes fatales, au caractère solide et à la beauté sidérale. Des ennemis implacables. Des armes absolues, capables d’anéantir un système solaire, voire une galaxie entière.
Du suspense ! De la romance ! De l’action !
La garantie d’un dépaysement total. [...]
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date : 24-10-2011
Nous sommes en 1997. William Mandella, membre d'un contingent d'élite de l'armée des Nations Unies, nous relate son expérience de soldat dans la guerre totale qui oppose la Terre à la première civilisation extraterrestre qu'elle rencontre : les Taurans. Ecartelé entre son incompréhension du conflit et son instinct belliqueux formaté par les autorités militaires, Mandella évolue de bataille en bataille, dans une guerre dont on n'entrevoit pas la fin, et dont on a presque oublié le commencement.
La Guerre éternelle passe pour un plaidoyer pacifiste, et à dire vrai, il en possède tous les ingrédients. Ecrit par un vétéran du Vietnam au moment où le conflit peinait à trouver une conclusion, ce roman, dont on imagine volontiers l'auteur abondamment barbu et chevelu, pourrait aisément être une dénonciation de l'absurdité de toutes les guerres à rallonge sans cause bien définie.
Le problème, c'est qu'à y bien regarder, il existe finalement assez peu de différences formelles entre La Guerre éternelle et un roman comme Etoiles, garde à vous ! , qui contribua (à tort ?) à forger l'image d'un Robert Heinlein va-t-en-guerre et tant soit peu fascisant. Attention, il n'est pas ici question de faire un procès d'intention à Joe Haldeman, mais de relativiser le message véhiculé par ce roman qui s'est tout de même vu attribuer le prestigieux doublé Hugo-Nebula.
Que nous raconte l'auteur, en fin de compte ? Une guerre entre la Terre et une race extraterrestre. Rien de bien nouveau : depuis des décennies, il s'extermine sur pellicule et sur papier des cohortes d'aliens tous plus laids et effrayants les uns que les autres. On s'apercevra vite que le récit d'Haldeman ne renouvelle pas spécialement le traitement de ce cliché de la science-fiction. Et ce ne sont pas les deux dernières pages du livre, où l'auteur assène l'évidence première que ce conflit vieux de plusieurs siècles (mais de quelques années seulement pour le narrateur, par l'effet de la relativité) était finalement absurde, qui nous convaincront de la portée contestataire de son message.
En extrapolant un tantinet, on pourrait à la rigueur distinguer quelques esquisses de critiques, dirigées non pas contre la guerre en tant que tragédie, mais contre l'armée en tant qu'entité. Malgré tout, là encore, la caricature n'est pas très novatrice ; elle est même un peu grossière : les officiers sont obtus, les massacres des combats répugnants, le conditionnement des soldats monstrueux, et suffocante la discipline à laquelle ils sont astreints... D'accord, mais malheureusement, l'écrivain ne réussit pas avec des mots ce que Kubrick accomplit à l'écran (dans des films célébrissimes comme Les Sentiers de la gloire, Dr Folamour, Orange mécanique, tous antérieurs à La Guerre éternelle, ou encore Full metal jacket). Haldeman aurait pu se servir de l'évocation de la guerre pour ériger un monument à la paix et à la non-violence. Au lieu de ça, il nous livre un énième récit de boucherie interstellaire ponctué par un dénouement simplet qu'on croirait destiné à nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Cependant, la lecture de ce livre peut se révéler très agréable au premier degré : l'argument scientifique est intéressant (avant d'avoir été militaire, l'auteur est tout de même physicien) ; un réel travail a été entrepris pour donner un peu d'épaisseur aux personnages et à l'arrière-plan social, et les parties d'action sont plutôt réussies. Mais ne faites surtout pas la même erreur que le chroniqueur en entamant La Guerre éternelle : n'espérez pas y trouver un message pacifiste subtil, et encore moins une dénonciation subversive. La déception me rend peut-être injuste, mais je ne peux m'empêcher de penser que si Haldeman avait été voyageur de commerce plutôt que vétéran des rizières, on lui aurait sans doute prêté beaucoup moins d'intentions et on aurait moins exigé de son roman.
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Le lecteur connaîtra l'odyssée de nos explorateurs à travers les dangers, les joies, les splendeurs et les atrocités de cette cruelle et envoûtante Afrique.
A côté des scènes de sorcellerie et de guerre dont le réalisme donne des frissons, l'humour et la tendresse du créateur de She font de ce livre à la fois un grand roman d'aventures et un grand roman d'amour.
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Jamais réédité en France depuis sa première parution chez Crès en 1926, La fille de la Sagesse constitue le troisième volume du célèbre cycle de « She » qui est probablement le chef-d'œuvre de H. Rider Haggard surtout connu chez nous par Les mines du roi Salomon dont tous les cinéphiles connaissent le film qui en a été tiré.
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Si le génie de Jules Verne se définit par la logique, Rider Haggard trouve le sien dans le délire. Chérissant l'invraisemblable et cultivant la stupeur, il avait pressenti quelque quarante ans avant André Breton que le surréel est vérité et la réalité, impos­ture. Le merveilleux magique qu'il prône, défiant la pauvreté des explications, plonge ses racines dans le surnaturel, l'ésotérisme, le mystère de la survie, le mysticisme des croyances, et dans les légendes les plus fabuleuses dont les civilisations enfouies ont rêvé dans le sommeil qui a précédé leur mort. »
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« Seize ans après la tragédie inachevée du Thibet, l'auteur eut l'idée de génie de mettre face à face ses deux personnages de prédilection. Aussi pénétré de la doctrine spirite que celui dont il reflète l'image, Quatermain à l'approche de la vieillesse, s'efforce de communiquer, grâce à un médium, avec de chères mortes, Marie et Stella ses épouses. L'étude des »phénomènes psychiques« lui fait prendre au sérieux une légende souvent entendue en Afrique et selon laquelle il existe quelque part dans le continent une Reine Blanche qui détient le secret de la vie et de la mort. » (F. Lacassin, postface à l'édition de She publiée par Jean-Jacques Pauvert.) Ainsi, quelques années avant l'entrée en scène de Léo Vincey dans La fille de la Sagesse, Aycha rencontrera-t-elle Allan, dans les cavernes de Kôr.
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Ce roman magique organise la rencontre de Aycha (She-Elle) et de Allan (Allan Quatermain, le héros d'un autre cycle qui comprend Les mines du roi Salomon).
« Seize ans après la tragédie inachevée du Thibet, l'auteur eut l'idée de génie de mettre face à face ses deux personnages de prédilection. Aussi pénétré de la doctrine spirite que celui dont il reflète l'image, Quatermain à l'approche de la vieillesse, s'efforce de communiquer, grâce à un médium, avec de chères mortes, Marie et Stella ses épouses. L'étude des »phénomènes psychiques« lui fait prendre au sérieux une légende souvent entendue en Afrique et selon laquelle il existe quelque part dans le continent une Reine Blanche qui détient le secret de la vie et de la mort. » (F. Lacassin, postface à l'édition de She publiée par Jean-Jacques Pauvert.) Ainsi, quelques années avant l'entrée en scène de Léo Vincey dans La fille de la Sagesse, Aycha rencontrera-t-elle Allan, dans les cavernes de Kôr.
Avez vous apprécié ce commentaire ? +2
Tout l'ouvrage est constitué par le journal qu'Allan Quatermain a laissé à sa mort. Car il s'agit du livre où Rider Haggard faisait mourir son héros. Toutefois, rassurez-vous, le succès des Mines du roi Salomon et du présent récit le contraignit à le faire renaître pour de nombreuses aventures qui restent à traduire.
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date : 24-10-2011
Livre superbe sur la grandeur oubliée et la décadence des brillantes civilisations du passé, Cœur du Monde est aussi un chant magnifique à la gloire de l'Amour éternel et de l'Aventure, deux grands thèmes qui ont inspiré ses plus beaux livres à l'auteur des Mines du roi Salomon.
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Dragon rouge est le premier thriller d'une série de quatre dont le personnage récurrent est Hannibal Lecter. Dans ce livre, le célèbre docteur n'apparait que brièvement mais l'auteur tient déjà son fil conducteur !
Cette série a commencée d'être écrite dans les années 80 et on est loin des techniques actuelles vues et revues dans les séries télévisées actuelles : on ne parle pas d'ADN, juste d'empreintes et de groupes sanguins.
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Roman riche et dense où se mêlent toutes les composantes de la vie : l'amour, la foi, la jalousie, le pardon, le mépris et la culpabilité.
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date : 23-10-2011
Un livre sur la mère de Jésus. Une approche "iconoclaste" mais qui demeure intéressante car Marek Halter décrit bien le contexte historique de l'époque.
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Dans le fracas des batailles, au milieu des cérémonies étranges et grandioses d'une civilisation aujourd'hui disparue, ces deux héros, frère et sœur d'Allan Quatermain et de Aycha (She), conduisent, sous la plume magique du grand romancier anglais, une œuvre qui est à la fois une vaste épopée et un radieux roman d'amour.
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date : 23-10-2011
Empruntant les accents de la tragédie et les péripéties périlleuses du roman d'aventures, il constitue un roman d'amour comme on n'en écrit plus guère depuis que les hommes blasés ont perdu le sens de la passion et le goût des contes de fées.
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Outre cette merveilleuse et haletante histoire d'amour et de vengeance, cette vaste fresque romanesque, fondée sur des données historiques rigoureuses, met en scène la fin terrible des Aztèques et de leur civilisation face à l'envahisseur espagnol Cortez, constituant un des plus parfaits romans d'aventures historiques de la littérature anglo-saxonne et l'un des plus passionnants.
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Il s'agit là d'un des derniers grands romans de Rider Haggard. Il l'acheva en mars 1917, soutenu par l'enthousiasme de Kipling, car lui-même commence à subir des périodes de dépressions qui alternent avec des vagues de bonheur.
Auteur à succès de quelque 50 romans, il sent que l'étau se resserre (son fils unique vient de mourir, la première guerre mondiale, qu'il redoutait, fait rage, sa santé se dégrade), Le Jour où la terre trembla reflète son oscillation entre des extrêmes ; parfois plein d'une espérance sincère, ce livre est en même temps très pessimiste.
Et si l'homme avait détenu ou détenait un jour le pouvoir de changer l'axe de la terre, qu'adviendrait-il ?
Après nous avoir enchanté avec ses romans sur les mondes perdus (le cycle de She, Les Mines du Roi Salomon) Rider Haggard réinvente le mythe de l'Atlantide.
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date : 23-10-2011
l'Epouse d'Allan, ce roman date du début de la carrière de l'auteur (1889) et raconte un passage tragique de l'existence d'Allan Quatermain au cours duquel il va perdre sa femme bien-aimée. Le Fantastique est absent de cette aventure bien menée mais on notera la présence d'une femme-singe qui pourrait bien avoir donné quelques idées à Edgar Rice Burroughs, un quart de siècle plus tard...
Du Rider Haggard de bonne cuvée.
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Avec L’Île au trésor de Stevenson, Les Mines du roi Salomon est sans conteste le roman d’aventures le plus célèbre de la littérature anglaise. Il est le premier d’un genre qui s’est constitué à une époque où le continent noir recélait encore de nombreux mystères. Adapté plusieurs fois au cinéma, ce roman ouvre la voie à plusieurs récits mettant en scène Allan Quatermain, véritable archétype de l’aventurier anglais de la période coloniale, dont la célèbre « Ligue des Gentlemen extraordinaires » n’a pas manqué de faire son leader.
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Contient les nouvelles suivantes :
Les Amours d'Ismaël de Robert SILVERBERG
Ne sous-estimez jamais... de Theodore STURGEON
La Petite sacoche noire de Cyril M. KORNBLUTH
La Réunion de Cyril M. KORNBLUTH Frederik POHL
Greffe de vie de Sonya DORMAN
Aucune femme au monde... de C. L. MOORE
Les Boîtes chinoises de Graham CHARNOCK
En épargnant la douleur de James Jr. TIPTREE
Masques de Damon KNIGHT
La Substance des songes de John BRUNNER
Le Dévoleur de Alan NELSON
Des filles à pleins tiroirs de Fritz LEIBER
La Ferme à bouffe de Kit REED
La Vie au bout de Sonya DORMAN
Lavez pas les carats ! de Philip Jose FARMER
Vieux pied oublié de R. A. LAFFERTY
Ile du docteur mort et autres histoires de Gene WOLFE
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Cette fresque romanesque, appuyée sur une documentation puisée aux meilleures sources de l'archéologie et de l'histoire, ouvre une trilogie où revit de façon saisissante la splendeur de la civilisation punique.
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