Commentaires de livres faits par petitspock
Extraits de livres par petitspock
Commentaires de livres appréciés par petitspock
Extraits de livres appréciés par petitspock
Outre le plaisir de retrouver un univers familier et attachant, ce nouvel épisode est l'occasion de voir les personnages évoluer et mûrir : ici, Harry et ses condisciples commenceront timidement à s'intéresser au sexe opposé. De même, l'arrière-plan du cycle se dévoilera un peu plus : un nouveau professeur de défense contre la magie noire fait son apparition (haut en couleurs, comme ses prédécesseurs), et Lord Voldemort, le sorcier maléfique, gagnera encore en puissance, ce qui n'augure rien de bon hormis le plaisir du lecteur).
Ce second volume est toujours aussi malin, aussi bien écrit et aussi drôle que l'était le premier.
Sa lecture est un régal à n'importe quel âge, et on aurait bien tort de s'en priver.
Très bon roman.
Plus on pense approcher la solution et plus elle s'éloigne.
Un véritable roman policier où j'ai eu beau chercher je n'ai découvert le meurtrier qu'à la toute dernière page.
En effet ce roman est un chef d'œuvre de très haut niveau, novateur et incomparable.
*Locus, roman de fantasy, 1984*
L'imaginaire médiéval, le merveilleux propre à la littérature celtique et l'heroic-fantasy se conjuguent parfaitement dans ce livre, le tout servi par une écriture fluide et imprégnée de poésie.
Le roman de Kurt Vonnegut est profondément amer, acerbe, et comme tel prodigieusement drôle aussi, d'une drôlerie fatiguée et morne.
Il faut lire cette satire féroce de l'armée, de la publicité, de l'argent.
Un chef-d'œuvre de la littérature actuelle, toutes barrières de genre abattues.
Drôle, tragique et effroyablement cynique à l'égard des petites fourmis que nous sommes, Le Canal Ophite est un excellent ticket d'entrée dans l'univers très personnel de John Varley.
Neuf nouvelles d'une qualité littéraire exceptionnelle, neuf joyaux étincelants d'une science-fiction qui refuse les horizons étriqués de notre morne quotidien.
*Cafard Cosmique, [sans catégorie], 2004*
Le roman se déroule sur plusieurs planètes, et sur une durée de vingt ans.
L'ombre de Shakespeare s'étend sur tout le livre ; mais pouvait-il en être autrement pour un roman sur le théâtre ?
Avec ce roman, qui fait partie du cycle « Huit Mondes » mais peut se lire indépendamment, John Varley nous gratifie d'un somptueux récit, qui prend pour cadre le système solaire et le théâtre, œuvre de maturité d'un solide écrivain. Un roman shakespearien, bourré de références, de clins d'œil, d'humour, d'amour et de haine.
Une simple histoire extraordinaire centrée sur la très ordinaire folie humaine.
La compagnie des glaces n'est pas sans rappeler certains romans anglais, comme Les enfants de l'hiver (Michael G. Coney), L'hiver étemel (John Christopher) ou ce splendide roman de Christopher Priest qu'est Le monde inverti.
La compagnie des glaces est un des grands romans de la SF française, après L'autoroute sauvage (Gilles Thomas) ou Le viaduc perdu (J.L Le May).
Feu sur l'abîme est présenté et perçu comme un chef-d'œuvre.