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Commentaires de livres faits par PhiFolle

Extraits de livres par PhiFolle

Commentaires de livres appréciés par PhiFolle

Extraits de livres appréciés par PhiFolle

date : 29-10-2021
J’ai vraiment bien aimé ce livre. C’est, je pense, ce que l’on peut appeler un classique dans la littérature anglaise. Ces derniers temps, j’ai décidé de leur faire la part belle dans ma bibliothèque, dans mes lectures et il s’avère que ceux sur lesquels je tombe me font dire que je prends un réel plaisir à lire des classiques, ou tout du moins, des livres qui me font sortir de mes sagas YA habituelles. Je me doute bien que je n’aimerais sûrement pas tous les classiques que je prévois de lire, mais Agnes Grey est tout de même ma dernière belle découverte en date.
Je n’avais encore jamais lu de livres d’aucune des sœurs Brontë, mais j’ai vraiment adoré l’écriture de celui-ci. Je dois admettre que je suis maintenant curieuse de lire certaines des productions des autres sœurs, pour voir s’il y a des similitudes dans l’écriture ou non, certes elles sont sœurs mais cela ne veut pas forcément dire quoi que ce soit. L’écriture est assez intéressante, l’héroïne rédige une sorte de compte-rendu de ce qu’elle a pu vivre lorsqu’elle était au service de ces deux familles, et à plusieurs reprises, elle s’adresse directement à nous ou nous prend à partie, en disant des choses comme « le lecteur n’aura pas besoin que je développe ici » ou bien « cela n’intéressera pas le lecteur », etc. Cela se doit sûrement au fait que, d’après mes recherches, le livre se base sur la propre expérience de l’écrivaine, Anne Brontë comme gouvernante.

Je ne suis pas gouvernante ou instructrice, pas comme le pratique Agnes, je ne suis même pas éducatrice diplômée, mais je suis cheftaine chez les Scouts et Guides de France (SGDF) depuis un peu plus de 5 ans. Je sais que ce n’est pas comparable : le travail quotidien et continu d’une gouvernante/tutrice du style qu’est Agnes et le bénévolat d’un chef chez les SGDF mais plusieurs parties du livre, ou plusieurs expériences, ont trouvé un certain écho en moi et m’ont particulièrement touchée ou parlée.
J’ai beaucoup apprécié le personnage d’Agnes, me retrouvant en plusieurs points en elle, mais par moment, j’avais presque envie de la secouer. Toutefois, il faut avoir en tête que le livre ne se déroule pas en 2021 mais quasiment deux siècles auparavant et que les possibilités de se « rebeller » ou ne serait-ce que d’expliquer à son patron que ses enfants sont des monstres mal-éduqués n’était pas vraiment faisable.

Les différents enfants dont Agnes a la charge sont pour la plupart affreux, chacun à leur façon. Le comportement des garçons est ignoble, mais l’on ne peut rien dire, ils sont les « héritiers » et ne sont pas à punir, ni même à être éduqué par Agnes, ce qui s’avère être un réel soulagement pour elle : ils sont envoyés à l’école. Les jeunes filles, quant à elles, remplissent un certain nombre de clichés alloués aux jeunes filles de bonne famille et au comportement que l’on peut leur prêter. L’aînée de la seconde famille a un comportement qui serait facilement qualifiable de scandaleux auprès des jeunes hommes qu’elle « convoite ». Elle les charme, joue passablement avec eux, puis après les avoir bercés de belles illusions, les rejette purement et simplement, ravie du tour qu’elle leur a joué. Puis, plus tard, lorsqu’elle est finalement mariée, un peu contre son grès, elle déplore la vie misérable qui semble l’attendre. Je ne dis pas que les jeunes hommes étaient meilleurs à cette époque-ci (ou à n’importe quelle époque pour ce que ça vaut) et bien que le comportement de cette jeune fille m’a énervée, j’ai aussi apprécié que l’on montre que ce genre d’attitude n’était pas réservé à la gente masculine.
Et, sous toute cette couche d’étude (et de critique) de la bonne société et de ses mœurs, notre chère Agnes découvre quant à elle les prémices de l’amour. La relation qu’elle entretient avec un certain jeune homme m’a souvent fait sourire de par la légèreté qu’elle revêt. Il ne s’agirait pas de flirter trop ouvertement ni de faire des déclarations trop enflammées. Cette relation est douce et a été un réel plaisir à voir germer.
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date : 29-10-2021
Mon ressenti sur ce livre est mitigé. Si l’on prend ce livre comme unité indépendante du reste de la littérature, il est vraiment bien. Très agréable à lire, on s’attache aux personnages, l’histoire est relativement bien menée, etc. J’ai beaucoup aimé l’histoire qui nous est contée, je la trouve délicate, jolie. Pour une férue de lecture comme moi, un univers dans lequel l’héroïne principale peut donner la vie à ses livres est un univers formidable, magique et dans lequel on a forcément envie de plonger. Les personnages ont de multiples facettes et j’ai bien aimé comment, au fur et à mesure du livre, on découvre leur caractère (bien trempé), leurs secrets… Le côté négatif que je pointerais est que la fin est un peu bâclée à mon goût. Plusieurs intrigues sont lancées dans le deuxième tiers de l’ouvrage, voire le dernier tiers, et elles sont résolues brièvement, trop rapidement pour moi, c’est comme si Judith Bouilloc s’était précipitée sur la fin. Et cela me laisse un goût d’inachevé que je regrette un peu.

Et ce qui rend mon avis d’autant plus mitigé est que je trouve à ce titre énormément de ressemblance avec la série de Christelle Dabos La Passe-Miroir. Dans les deux ouvrages nous retrouvons une jeune fille un peu particulière, un peu mal dans sa peau ou pas tout à fait à sa place dans la situation dans laquelle elle vit qui reçoit une demande en mariage très mystérieuse. Que ce soit Ophélie (dans La Passe-Miroir) ou bien Iliade ici, elles ne connaissent rien de leur futur époux et lorsqu’elles en apprennent finalement un peu plus sur lui, c’est un (quasi) paria, sombre, balafré tant physiquement qu’émotionnellement, mal-aimé de la société. Tous deux occupent des positions importantes dans leur travail et sont accaparés par celle-ci. Les deux univers font intervenir la magie pour une certaine franche de la population et notre héroïne est douée de pouvoirs qui sont convoités par d’autres. Je trouve ça dommage. J’ai vraiment essayé, durant ma lecture, de me détacher de l’œuvre de Christelle Dabos, pour pouvoir apprécier pleinement celle que j’avais entre les mains mais je n’ai pas entièrement réussi…

Et peut-on parler, ne serait-ce qu’un instant, de la couverture de cet ouvrage ? Elle est juste magnifique ! Je sais que des gens ont bûché dessus, y ont réfléchi, etc. etc. mais je le dis quand même : elle est superbe et en parfaite adéquation avec l’histoire ! On retrouve dans cette couverture toute la poésie de notre arrache-mots ! Et les décorations internes des pages est tout aussi délicate et sublime !
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J’ai adoré le premier. J’ai dévoré le second.
Je suis, à mes heures perdues, une écrevisse. Pour vous expliquer un peu et que vous ne me preniez pas pour plus folle que ce que je ne suis réellement, Marie Adam est une femme française qui écrit des livres, et un jour où elle était interrogée sur le nom qu’il fallait employer pour désigner son métier (écrivain ou écrivaine ou auteur ou auteure ou autrice…), elle a répondu « écrevisse ». Et ma mère m’appelle comme ça quand elle fait référence à mon amour de la littérature et de l’écriture. Bref tout ça pour dire que j’écris. Ma tête fourmille toujours d’un million d’idées différentes, d’histoires, de sujets dont j’aimerais parler, d’évènements, de révélations, de retournements de situation pour mes personnages mais je me creuse toujours l’esprit pour trouver une trame générale, imposer une structure à mon récit, telle une colonne vertébrale venant unir et faire tenir tous les mots que je couche sur papier. C’est, je crois, ce qui me fait le plus défaut et ce qui, pour un certain nombre d’écrivains accomplis, relève du défi aussi. Et puis, je rencontre la plume de personnes comme Leigh Bardugo et je suis tout simplement ébahie. Je ne sais pas combien de temps il lui a fallu pour faire naître le Grishaverse et la dualogie Six of Crows mais bon sang ! C’est assez incroyable !

Le récit se base toujours sur la même trame : un chapitre par personnages et une histoire hallucinante. J’ai aimé le fait d’obtenir des réponses à mes questions et regrets du premier tome : les personnages pour lesquels je déplorais un manque d’attention, une présence plus effacée, trouvent toute leur place ici, ils s’épanouissent pleinement, nous livrant leur histoire, se livrant eux-même, pour le plus grand plaisir du lecteur. Ou en tout cas pour mon plus grand plaisir.
Chacun des six personnages principaux a une histoire difficile, qui lui est propre mais qui trouve un certain écho chez d’autres membres du groupe, et l’on peut lier un à un tous les maillons de cette bande qui apparaît pourtant si disparate. J’admire l’évolution que Leigh Bardugo impose à ses personnages, c’est fou ce qu’ils grandissent, évoluent, deviennent plus matures, plus conscients d’eux-mêmes, de leurs sentiments et ceux des autres, plus conscients de leurs proches aussi.

L’imagination de Leigh Bardugo pour l’histoire en elle-même est tout aussi impressionnante. Elle ne manque pas d’idées tordues je dois l’admettre. Les intrigues mises en place sont très bien ficelées, sensées et même si certaines, bon ok, la plupart des plans imaginés par notre bande finissent pas tomber à l’eau, les idées qui suivent pour le prochain plan sont plus grandioses, plus folles, plus insensées, plus dangereuses, plus attirantes. J’ai aimé l’histoire pour ce qu’elle raconte mais aussi pour ce qu’elle représente de travail, de réflexion et de beauté d’imaginations des péripéties et évènements en tout genre.
Arrivée à un certain point de l’histoire, je me suis quand même surprise à un regret : il manquait ce côté « sombre » qu’apporte la mort d’un personnage important. Je suis peut-être désabusée, trop torturée moi-même mais j’ai l’impression que dans toutes les histoires, il y a forcément un mort important, un personnage qui disparaît et fait basculer le cours du récit ou la vie d’un autre personnage. Je me suis dit « on est dans le Barrel, au milieu des pires criminels que Kerch a pondu et… pas un mort ? Ce n’est pas possible, ce n’est pas crédible. » Bon… bien sûr, mes souhaits ont été exaucés, je suis vraiment désolée de vous l’apprendre. Le personnage meurt et à cet instant j’ai bien entendu pensé « non mais c’était une blague, il ne fallait pas vraiment m’écouter, j’aurais beaucoup aimé que TOUT LE MONDE SURVIVE ». Un conseil chers lecteurs : faites attention à ce que vous souhaitez.

Pour conclure sur une note un peu plus positive, j’admire toujours autant la couverture, petite beauté, et les cartes : on retrouve le plan du monde et dans ce second tome, l’on trouve par contre une carte légendée de Kerch, pour suivre les pérégrinations de nos adorables (pas du tout) petits voyous.
En gros mon avis pourrait tenir en la phrase suivante : « j’ai décidément beaucoup aimé cet univers et cette histoire, j’ai hâte de voir ce que me réservent les autres livres du Grishaverse. » Oui. Tous ces mots pour ça.
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date : 29-10-2021
Ohlalalaaaa ! J’ai adoré ce livre ! Il était dans ma liste de livres à acheter depuis… eh bien depuis à peu près toujours en fait. Je me souviens l’avoir vu passer au moment de sa sortie, il y a quatre ans, et m’être dit qu’il me tentait vraiment beaucoup. Et je dois avouer que je ne sais pas pourquoi je ne l’ai jamais lu avant maintenant. En attendant : je suis totalement fan !
L’histoire est tellement bien réfléchie je trouve, et bien montée aussi. Les revirements de situations, les révélations qui parsèment l’œuvre sont autant originaux qu’inattendus. La trame est complexe, l’histoire l’est aussi, mais ne part pas dans tous les sens, ne m’a pas perdue en route ou découragée, bien au contraire. Le dernier tiers du livre (à partir de la quatrième partie) est juste WOUAH. C’est un enchaînement haletant d’actions plus décisives les unes que les autres, j’avais un peu l’impression que les personnages jouaient leur vie, leur survie, à chaque page, ce qui était probablement le cas, et dans les moments les plus prenants, j’ai ressenti l’exacte urgence de la situation. De manière générale, j’ai toujours eu tendance à (trop) vivre mes livres : je suis à fond dedans, je ris, je pleure, j’enrage, je me réjouis… et cette lecture n’a pas échappé à la règle. Vous pouvez demander à mes collègues à côté de qui j’étais, ils ont assez ri de me voir dans tous mes états.

Bon revenons à nos moutons. Six of Crows. Je n’ai toujours pas réussi à décider s’il fallait lire cette duologie avant la trilogie Grisha (chaque personne qui m’en parle me dit quelque chose de différent), mais voilà un peu quelle était ma problématique : j’avais Six of Crows sous la main, donc la possibilité de les lire, et je n’avais pas Grisha. De plus, je veux acheter Grisha en version originale parce que je suis absolument fan de la couverture en VO alors que je trouve la couverture VF très enfantine. MAIS (oui il faut savoir me suivre quand je me lance dans mes explications… désolée!) je ne voulais pas me lancer dans le Grishaverse directement en VO, je préférais l’aborder une première fois en français, histoire de bien m’imprégner du vocabulaire, des personnages, du récit, de l’écriture… et pouvoir amplement profiter une lecture de l’univers en VO. Bref tout ça pour dire que je sais que j’aurais peut-être dû lire Grisha avant celui-ci mais… ça ne s’est pas fait.
J’en profite pour glisser ici un petit point sur la traduction de ce livre : je n’ai pas bien compris pourquoi certains toponymes (noms de lieux) ont été traduits sur la carte mais pas dans le récit, par exemple dans le récit on nous parle de la « True Sea » et sur la carte elle est mentionnée comme « Vraie mer »…

Pour ce qui est du récit, je l’ai trouvé particulièrement bien structuré (pas comme cet article qui, à mon sens, n’a ni queue ni tête, je vous présente toutes mes excuses mais j’essaie de tout coucher sur papier avant de perdre mon ressenti) en un enchaînement de chapitre dédié à chaque fois à un personnage différent. Enfin… non pas dédié mais plutôt du point de vue d’un des six personnages principaux. Il nous est donc offert la possibilité de passer dans la tête de nos six protagonistes, de voir certaines actions de points de vue différents, de découvrir le passé de chacun et ce qui se trame dans leur tête, de voir les liens qui les unissent aux autres et aussi de pouvoir avoir tous les morceaux de l’histoire lorsqu’ils ne sont pas tous ensemble.
J’ai beaucoup aimé nos six compagnons, ils ont des caractères et des histoires très différents mais qui sont vraiment très intéressants une fois mis dans la même équipe. Kaz est cupide comme je n’ai jamais rencontré de personnage avant, mais il en découvre les limites, il est sarcastique à souhait (un trait de caractère que j’apprécie beaucoup, l’étant moi-même régulièrement). Matthias est vertueux, il suit la morale (ou SA morale) quoi qu’il arrive et cela rend ses actions partiellement prévisibles, sauf quand il s’arrange avec sa morale ou qu’il fait changer de caps ses vertus. Jesper est une véritable pile électrique et je trouve que nous n’avons pas assez vu de son caractère, de qui il est. J’ai ce regret pour lui et pour Wylan que l’on connaît le moins. Puis viennent les deux filles du groupe Inej et Nina. Toutes deux indépendantes, fortes, torturées, explosives. J’ai beaucoup aimé les découvrir au fil des pages.

L’histoire se déroule dans un monde imaginé par Leigh Bardugo mais, tant par les langues employées que par les descriptions des pays, des coutumes, je l’ai rapproché de pays bien à nous. Je trouve que l’effort produit par l’écrivaine pour développer des langues est très impressionnant, j’ai beaucoup aimé l’ambiance dans laquelle ce genre de détails me plonge. Le seul regret que j’aurais sur l’écriture est que les paroles des personnages issus du Barrel sont retranscrites comme elles seraient prononcées. Je sais que cela participe à l’ambiance et je m’y suis vite habituée mais j’ai toujours lu des livres dans lesquels l’écriture même de passages oraux subissait une sorte de lissage, lissage que l’on ne retrouve pas ici (par exemple sur les négations, on avait la plupart du temps « je sais pas » au lieu de « je ne sais pas »).
Et bien sûr pour finir, parlons de la couverture, que j’ai trouvé très jolie, mais surtout, SURTOUT parlons des cartes qui sont juste sublimes (et vont être impossible à reproduire pour mon joli mur) et des dessins des personnages ! C’est la première fois que je vois cela au début d’un livre mais j’ai vraiment trouvé l’idée originale et géniale !
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Ce tome deux commence directement là où s’est terminé le premier, il n’y a aucune ellipse narrative entre les deux tomes. Conclusion : ce tome 2 commence sur les chapeaux de roue ! Pour être tout à fait honnête avec vous, à la fin du premier chapitre j’ai pensé « non mais vraiment ? Mais… c’est le premier chapitre les gars ! Comment vous pouvez vivre tout ça ??? », ce qui laissait présager un deuxième tome des plus prenants.
Ce deuxième tome est plein de rebondissements et intègre de nouveaux personnages, plein de nouveaux personnages, dont l’un est rapidement devenu mon préféré. Sa façon d’aborder les choses, la vie, les gens, m’a totalement séduite et j’ai adoré chacune des scènes qui l’impliquait.

Alina doit faire face à un certain nombre de problèmes et ne sait plus vraiment à qui faire confiance, elle prend énormément de responsabilités et désire vraiment sauver sa nation, seulement la jeune fille doit aussi comprendre que sauver tout le monde n’est pas possible et qu’il y aura forcément des pertes, qu’elles soient matérielles ou humaines.

J’ai vraiment bien aimé l’histoire de ce tome, il s’y passe beaucoup de choses, oui, dans un certain nombre de lieux différents mais les avancées dans l’histoire, l’évolution des personnages m’ont beaucoup plu. Je dirais bien que la fin est grandiose, mais en vérité, ce n’est pas juste la fin (bien que si, elle soit magnifique), ce sont les deux tiers du livre. Au cas où vous ne l’auriez pas encore compris, je suis une grande fan de scènes d’action, de scènes de combats, j’y porte beaucoup d’intérêt et je les lis avec attention que les combats impliquent des armes à feu, des épées ou bien, comme ici, des pouvoirs Grisha. J’ai été largement servie avec ce tome, d’autant plus qu’une partie du récit se passe sur un navire avec notre fameux corsaire, ce qui veut donc dire des pirates (ou quelque chose qui s’en rapproche) et tout ce qui va avec (les abordages, les attitudes et tout le tralala).

Ce tome un peu plus tous les différents pouvoirs Grisha, notamment celui de David, un Durast (en gros : un ingénieur) et nous avons droit à plusieurs de ses inventions, que je trouve tout bonnement géniale. J’aime beaucoup la manière dont semble fonctionner le cerveau de David et je suis très curieuse de toutes ses inventions.
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J’attendais cette lecture depuis un temps qui me semble infini. Les éditions françaises de la trilogie ne me plaisaient pas du tout, à l’exception de celle de l’intégrale et je préférais largement les éditions originales. Des amis m’ont donc offert un coffret contenant les trois tomes pour mon anniversaire et j’ai ENFIN pu me plonger dans cet univers. Univers pas totalement inconnu puisque j’avais déjà lu Six of Crows auparavant. Oui je sais, je n’ai pas respecté l’ordre de lecture, mais si vous avez lu les autres chroniques, vous savez que j’ai longuement hésité sur l’ordre réel et que mon souhait d’avoir Shadow and Bone en VO en ayant déjà un pied dans le Grishaverse en français ont rendu l’entreprise quelque peu compliquée !

J’ai beaucoup aimé ce premier tome ! Déjà la couverture est somptueuse, mais surtout l’histoire est top ! Quelques choses sont bien entendu prévisibles, mais soyons honnêtes, sans cela, il n’y aurait pas d’histoire à raconter.
En lisant ce livre, je n’ai pas du tout eu l’impression d’évoluer dans le même univers que celui dans lequel se déroule de Six of Crows. Dans Six of Crows, bien que les Grisha soient présents, l’univers est très concret, terre à terre et réaliste. Tout est quasi envisageable, j’ai eu l’impression, de par les descriptions de paysages ou les langues employées, de reconnaître l’empreinte de certains pays bien réels, je pouvais me rattacher à un certain nombre d’événements qui quoique hautement improbables sont possibles. Dans Shadow and Bone, tout est plus… éthéré, irréel et abstrait. L’on évolue dans un monde où la magie a un ancrage très puissant et fait partie de la vie du gros des personnages de l’histoire. Comme l’on suit Alina qui intègre ce monde magique et commence son éducation à ce propos, nous n’avons que peu de contact avec le monde réel et aussi concret que celui dans lequel évoluent Kaz et sa bande ou même Mal, dans ce tome-ci.

Sans avoir lu de grandes révélations, sur l’histoire ou les personnages, j’avais vu passer quelques grandes lignes narratives sur les réseaux. Notamment, par exemple, qu’un personnage était du côté des méchants et je dois admettre que j’ai mis un long moment à comprendre pourquoi, ou comment il pouvait basculer de l’autre côté, ou bien quels secrets il pouvait nous cacher. C’est un personnage très bien construit qui ne dévoile ses cartes et ses véritables intentions que très tardivement dans le roman. Maintenant, je peux en effet dire qu’il ne fait définitivement pas partie du camp des gentils et bien que je condamne certaines de ces actions ou intentions, je ne peux le détester complètement, parce que, comme je l’ai déjà dit, c’est un personnage vraiment bien construit.
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J’ai beaucoup apprécié ce troisième tome que j’attendais avec impatience depuis un petit moment. Avant de m’attaquer au tome trois, j’ai préféré relire les deux premiers histoire de me remettre dans l’ambiance et de me remémorer tous les aspects et détails ! Rien n’avait changé : j’aimais toujours autant les personnages et les intrigues, détestais toujours autant ceux qu’il fallait détester !

Pour ce troisième volet (ça se dit un volet pour un livre ? Je ne sais pas… on va dire que oui pour aujourd’hui!), on prend les mêmes et on recommence ! On retrouve donc Mare dans une position plus que délicate. L’histoire reprend là où l’on s’était arrêté dans le tome précédent : Mare est maintenant la chose de Maven, devenu roi de Norta. L’on suit son quotidien de prisonnière au statut si particulier qui essaie de survivre, de glaner des informations sur la Garde Ecarlate et la rébellion, qui côtoie chaque jour ou presque l’homme qui a fait d’elle sa chose, son animal, son esclave au service de sa propagande. C’est un tome que j’ai trouvé très dur de par ces aspects là. La captivité de Mare n’a rien de réjouissant et même s’il semble qu’elle ait droit à un certain traitement de faveur dans les modalités techniques, cela reste un emprisonnement pur et dur, dans le camp ennemi avec de temps à autres de bonnes petites séances de torture tant physique que psychologique.

L’on suit aussi Cameron, que l’on a rencontré dans le tome précédent. Jeune fille d’une quinzaine d’année au caractère bien trempée, je trouve qu’il est vraiment très intéressant d’avoir son point de vue à elle. Je m’explique : sang-neuf, elle fait partie des personnes recrutées/sauvées par Mare et Cal, elle a grandi à Ville-Neuve, dans les usines et a la sensation d’être passée d’une prison à une autre. Elle a un point de vue bien à elle, qu’elle n’hésite pas à faire connaître, elle ne souhaite pas faire partie de la rébellion, elle veut surtout retrouver son frère jumeau, qui lui, a été envoyé au Goulot pour se battre, suite aux Mesures. Son histoire est triste mais c’est une battante qui se démène pour sa famille. Elle fait un peu « tache » dans ce milieu de rouges prêts à tout pour renverser la monarchie et faire valser le système établi par et pour les argents. Et bien que Cameron me soit vraiment très antipathique, j’ai beaucoup aimé voir les choses par son angle de vue à elle, c’était inattendu et utile à l’avancée de l’histoire.

Et que dire de la fin… hé bien mes chers lecteurs, mes chères lectrices un conseil : ayez le tome quatre sous la main ! Quelque part, je me dis que ce n’est pas plus mal que j’aie dû attendre jusqu’à cet été pour lire ce tome-ci, vu que le quatrième sort en novembre, je n’ai pas trop longtemps à attendre pour avoir la suite, alors que si je l’avais lu au moment de sa sortie, croyez-moi, ça n’aurait pas été la même chanson ! La fin est juste époustouflante ! De tout ce que vous pourriez imaginer, vous n’atteindrez jamais ce qu’il se passe (ou alors vous êtes vraiment super doués) ! Je ne m’attendais tellement pas à ce dernier chapitre, je suis passée par à peu près toutes les émotions je pense… et pour être honnête… si l’on se détache des sentiments que l’on peut éprouver, cette fin est parfaite pour lancer le tome suivant !
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J’ai relu ce livre sur un coup de tête. Quelque chose m’y a fait penser et la minute d’après, j’attrapais mon ordinateur et je me replongeais dans ce roman. Ce n’est même pas que je l’aime particulièrement, c’est juste que c’est une lecture sympathique et que j’en avais envie, et 4h plus tard, j’avais terminé.
C’est un livre que j’apprécie mais ce n’est pas mon préféré du genre et il n’a rien de très original. Peut-être qu’à sa parution, l’histoire était encore jamais vue, mais avant et depuis, j’en ai lu un certain nombre, qui finissent toutes par se ressembler.

Le synopsis reste très simple : une nouvelle première année fraîchement débarquée d’un autre Etat rencontre le coureur de jupons de sa fac et ce dernier jette son dévolu sur elle. Elle résiste un moment mais finit par céder, et puis à un moment X ou Y, quelque chose lié à son passé ressurgit et met en péril sa relation.
Je vous l’ai dit : du déjà-vu, du vu et re-vu, mais je n’en demandais pas plus à ce livre, et il a parfaitement rempli son office.
Quelque chose que j’admire dans ces romances qui se déroulent dans une université américaine, c’est qu’il y a toujours un bad-boy du campus, ou bien un coureur de jupons, que tout le monde, je dis bien tout le monde connaît. Je ne sais pas dans quel genre d’universités ils sont, mais personnellement dans la mienne, ça ne fonctionne pas comme ça. Il n’y a pas ce gars ou cette nana populaire, connu(e) de tous, qui organise des soirées d’enfer en invitant la moitié de la fac. Cette vision des choses m’a toujours fait sourire quand je regardais des séries ou des films se déroulant dans des lycées américains, me moquant de ces jeunes et de cette conception totalement erronée dans mon quotidien.

Dans Jeu de patience, on n’y coupe pas, Cameron Hamilton est connu comme le loup blanc et les amis d’Avery peuvent lui sortir tout le pedigree du dit jeune homme. Mais contrairement à beaucoup de romans, il n’est pas un bad-boy à proprement parler. On ne sait même pas s’il a eu beaucoup de conquêtes ou pas, on sait simplement qu’il est le beau-gosse du campus. Et on découvre un jeune homme très sympathique, à l’écoute, sensible et amical. A part une relation « plan cul », il n’est fait état d’aucune autre relation avec une autre jeune femme. Il n’a pas cette part sombre, ce côté « jeune homme perdu à sauver de lui-même » que peuvent avoir un certain nombre d’autres personnages masculins dans ce genre d’histoire, et je pense que c’est ce qui me fait l’apprécier autant. La relation qu’il entretient avec Avery, peu importe l’aspect dont elle se pare, me plaît parce qu’il la respecte toujours. Il ne fait rien, pas à un seul moment, pour la brusquer, la forcer à passer à l’étape supérieure, il n’est pas lourd, ni grossier ni rien, et il ne couche pas avec tout ce qui bouge pour la rendre jalouse (ou bien alors, il n’en est pas fait mention dans le roman). Alors quAvery a un passé compliqué, avec ses larges parts d’ombre et bien qu’elle ait décidé de changer d’état pour ses études parce qu’elle veut mettre une certaine distance entre son passé et son présent, ça ne fonctionne pas. Ça ne fonctionne pas parce qu’il y a certaines mises au point qu’il faut qu’elle fasse dans sa propre tête pour pouvoir aller correctement de l’avant. Le personnage à sauver dans ce couple, c’est elle, ça n’a jamais été lui. Et j’aime cette version là des choses.
Ce roman est le premier d’une série, où chaque tome se concentre sur un personnage différent. J’ai lu le deuxième (qui est sur la petite sœur de Cameron), mais je n’ai pas encore lu la suite, parce que j’ai fait une petite overdose de ces histoires et qu’en en commençant une nouvelle, je sais toujours tout de suite où cela va mener… en tout cas avec cette série là.
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date : 29-10-2021
J’ai pas mal entendu parler de ce livre avant de passer le cap moi-même et de le lire. Pour être tout à fait exacte, la décision de l’acheter et de le lire a été prise quand j’ai vu passer un concours des éditions Pocket : il faut lire un livre d’une sélection établie par la maison d’édition, puis écrire une lettre à l’auteur en expliquant pourquoi on a aimé son œuvre. En parcourant la liste des ouvrages, je suis tombée sur celui-ci que j’avais déjà envisagé de lire et hop… vous connaissez la suite : je l’ai croisé dans une librairie et suis repartie avec, faible femme que je suis !

Ce livre est absolument… Wow. Ce n’est pas très conventionnel ni très clair mais je pense que c’est le terme pour le décrire. En lisant la quatrième de couverture, l’on sait qu’on ne va pas plonger dans un récit tout beau tout rose mais plutôt dans quelque chose de complexe, possiblement sombre. Une disparition n’est jamais anodine et l’on arrive ici au cœur de cette famille qui ne sait plus bien comment fonctionner ensemble depuis que l’aînée des enfants a disparu.
Ce n’est pas un gros livre, aussi l’ai-je dévoré en un rien de temps. Sa lecture a été, pour moi, très intense, pleine d’émotions. Olivier Adam nous entraîne dans cette famille dysfonctionnelle juste avant que l’on retrouve Léa, la fille aînée. C’est son frère qui nous raconte leur histoire, comment lui vit cette absence, puis leurs retrouvailles et, comme lui-même le dit si bien, comment la réapparition de Léa n’est pas la fin de l’histoire mais le point de départ d’une autre. Les faits relatés sont d’un réel prenant, ce qu’a vécu Léa et plus largement ce qu’a vécu sa famille, est absolument atroce mais l’écriture rend le récit addictif.

La construction du roman est très intéressante. Olivier Adam a fait s’alterner les chapitres dans lesquels nous suivons Antoine et sa famille, sa vie d’adolescent, de lycéen et des lettres rédigées par Léa avant sa disparition, puis après sa réapparition. Ces lettres sont pleines de choses ignorées du reste des personnages et nous amènent à l’élaboration de toutes sortes de théories comme ont certainement dû le faire les parents et l’entourage de Léa (bien que n’ayant jamais lu ces lettres) : Léa a-t-elle été enlevée ou bien a-t-elle fuguée ? Qui est cette mystérieuse personne à qui elle écrit ? Est-elle innocente dans la disparition de Léa ? Et Léa, elle, que sait-elle vraiment ?
Certaines choses sont, non pas attendues, mais peuvent être devinées.
Les personnages sont complexes et très intéressants, mystérieux pour certains, ils détiennent tous une part de vérité de l’histoire.
La fin est tout simplement époustouflante ! J’ai pour habitude d’essayer de deviner ce vers quoi tend un livre, comment va-t-il se finir, bien ? Mal ? Ouvre-t-il sur une suite ? Mais avec La tête sous l’eau, ça a été mission impossible. Arrivée à un ou deux chapitres de la fin, j’ai été incapable de prédire ce qui se passerait et, honnêtement ? c’est ce que je préfère : être happée par une lecture, ne pas savoir où ça va finir et donc profiter pleinement, en prendre plein la tête, plein les yeux…
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J’ai découvert cette saga au collège, il y a maintenant une dizaine d’années. J’ai découvert cette saga lorsqu’elle s’appelait encore uniquement La cité des ténèbres, lorsque le film n’était qu’un doux rêve des lecteurs et lorsque la série n’était même pas envisagée. Je me souviens que mes copines l’avaient lu avant moi et attendaient avec impatience que j’arrive à tel ou tel passage pour voir mes réactions ou simplement que je l’aie terminé pour que l’on puisse en discuter pendant des heures. Je me souviens avoir dévoré ce tome en un rien de temps. Et à chacune de mes relectures c’est la même chose : je replonge, je redécouvre le monde des Créatures Obscures, je suis Clary lorsqu’elle-même redécouvre son monde et doit réapprendre à y évoluer, à la lueur de ce qu’elle sait, de ce qu’elle voit désormais. C’est l’une de mes premières vraies sagas, et me voilà, dix ans plus tard, à la relire et à retomber amoureuse.

Mais parlons peu, parlons bien ! Qu’est-ce qui fait que j’aime autant cette saga ?
Les personnages tout d’abord : Clary, bien que parfois un peu gamine, simplette ou juste pénible, est une ado de 15 ans qui voit son quotidien s’écrouler quand sa mère disparaît, visiblement enlevée par quelqu’un du passé qu’elle s’efforçait de cacher à sa fille. Suite à ce rapt, Clary découvre que son monde ne se limite plus au Manhattan qu’elle croyait connaître mais qu’évoluent à ses côtés, et ce depuis toujours, toute une population de Créatures Obscures : loup-garous, vampires, fées, démons, sorciers, et à peu près tout ce que vous pouvez imaginer. Sauf les zombies. Parce que, voyons, qui croient aux zombies ? N’importe quelle gamine de 15 ans confrontée à ce genre de situations deviendrait sûrement folle à lier, enfermée dans une jolie pièce avec quatre murs très blanc et matelassés, mais Clary fait de son mieux et ne finit pas folle. A peu près. Elle est très ignorante de tout ça et c’est à cause de ça et de son manque de compétences dans certains domaines que plusieurs fois elle passe un peu pour l’idiote de service ou bien celle qui ne sert à rien. Mais plus elle passe de temps au contact de ceux qui savent (qui savent se battre, qui savent voir, qui savent l’aider), les Chasseurs d’Ombres, plus elle développe de capacités et bientôt la voilà fin prête à se battre contre le monde entier, le visible et l’invisible pour retrouver sa mère.
Ensuite, nous avons Simon. Simon, c’est le meilleur ami, tout ce qu’il y a de plus humain de Clary. Pour être honnête, c’est un personnage que je ne porte pas vraiment dans mon cœur, pas vraiment dans les premiers tomes en tout cas. Il ne fait rien de mal, voire même il aide dans certains moments clés mais je ne sais pas pourquoi, je n’ai vraiment que très peu d’intérêt pour lui.
Et après, nous avons, *roulement de tambours s’il-vous-plaît* mon personnage favori : Jace Wayland. Jace, grand, blond, bien bâti, arrogant, détestable, sensible, prétentieux, intelligent, doué au combat (entre autres choses), légèrement imbu de lui-même… dois-je vraiment continuer la liste ? Je ne suis absolument pas objective, désolée. J’ai totalement craqué pour ce personnage, il y a dix ans, et aujourd’hui encore, c’est toujours le cas. Vous vous ne doutez, c’est vers lui que se tournera l’intrigue amoureuse. Oui, parce qu’il y a forcément une intrigue amoureuse, entre deux chasses aux monstres et scènes de dispute et de combat.

Autre point que j’affectionne : l’histoire. C’est un tome 1 donc l’histoire commence et est loin d’être posée ou bien terminée, mais honnêtement, elle est plutôt pas mal et bien ficelée. Je n’ai pas encore lu de livres avec une trame similaire (ou alors ma mémoire me fait défaut), mise à part la trilogie des Origines qui suit un parcours relativement proche.
La fin est totalement inattendue et clairement une porte ouverte pour la suite (il y a 6 tomes dans cette saga au total). Il y a tout ce qu’on peut attendre : des révélations, un grand méchant qu’on déteste mais qui tient la route, des personnages au passé torturé, au passé trouble, ou au passé inconnu, une histoire d’amour naissante, non pas un mais deux petits triangles amoureux ou prémisse de triangle amoureux, une fin haletante, des alliés-ennemis dont on a hâte de savoir plus… Bref, pour moi c’est une réussite !

Petit point sur les adaptations qui ont découlées de la saga
Le film : pour moi le film est une réussite. Bien sûr, il y a un certain nombre de choses à redire, mais c’est un film que j’ai vraiment bien aimé et que je continue de regarder de temps à autre (oui, je le connais par cœur, non vous ne voulez pas le regarder avec moi). Il a été écrit/réalisé avec Cassandra Clare dans les parages et cela se ressent. Le choix des acteurs principaux est réussi pour moi, Lily Collins prête ses traits à Clary et Jamie Campbell Bower à Jace (et l’on retrouve Robert Sheehan pour le personnage de Simon). Cassandra Clare elle-même dit qu’elle n’aurait pas pu trouver meilleurs Clary et Jace. Globalemement, le film suit plutôt bien le livre, même si, bien entendu des choix ont dû être fait. Les scènes qui divergent le plus sont toutes celles de la fin, avec la grosse révélation et la clôture du tome 1, le décor n’est pas du tout le même et j’aurais largement préféré voir une mise en scène de ce qui nous est montré dans le livre, mais je me satisfais du film.
La série : c’est un gros non pour moi. J’ai essayé de lui donner sa chance, plusieurs fois même, mais c’est toujours un gros gros gros non. Je n’ai toujours pas réussi à regarder le premier épisode en entier. Comment puis-je juger la série dans ce cas, allez-vous me dire ? Eh bien, je me suis renseignée sur le casting, sur les scènes que je juge les plus importantes, les moments clés de l’histoire pour les regarder et voir ce qui en avait été fait. Et malgré tout ça, je n’aime toujours pas. Je trouve que le casting n’est pas ouf, que c’est mal joué, les dialogues sont légers ou sonnent faux pour moi. Ils ont inventé un nombre improbable de scènes ou d’intrigues. La scène de fin du livre a été tournée en ridicule, je trouve, dans cette série… Je ne vais pas plus m’épancher parce que personne n’en a besoin ou envie et que, je pense, vous avez compris l’idée.
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WOAH !!!!!

J'ai attendu désespérément ce livre pendant je ne sais combien de temps, avant de me lancer dans sa lecture en anglais.

Comme les 2 premiers tomes, je l'ai dévoré, et j'ai adoré ! Ce tome vient parfaitement conclure l'histoire, tout en apportant de nouvelles aventures, de nouveaux personnages et de nouveaux aspects de ceux qui étaient déjà présents !

Bref un livre formidable à lire sans modération !!!! :D
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Bon. Fini...
Le moins que l'on puisse dire c'est que je suis perplexe.
J'ai dévoré ce livre aussi vite que possible, comme les tomes précédents d'ailleurs, mais je n'ai pas du tout le même ressenti en tournant la dernière page.

A la fin du tome 1, j'ai longtemps analysé toutes les possibilités de ce que je pourrais trouver dans ce dernier opus, et j'avais partiellement raison.
je ne sais pas ce qu'il en est pour les autres lectrices/lecteurs, mais je n'ai jamais apprécié Eadlyn autant que j'apprécie le couple que forment ses parents, Maxon et America. Cependant, je me rends compte que vouloir les comparer n'est pas chose possible, Eadlyn ne vit pas une Sélection comme celle que sa mère a vécu, 20 ans auparavant.

J'ai trouvé Eadlyn chiante, hautaine, et pourrie gâtée, ce qui m'a surpris, quand on connaît ses parents et leurs histoires. Mais ce tome 2 nous donne un nouvel aperçu de ce qu'elle est, de qui elle est.
On découvre une Eadlyn paniquée et perdue devant faire face à de tous nouveaux problèmes, mais les gérant avec maturité et beaucoup de...courage.

Quant à ce qui concerne son choix...je l'avais deviné, Kiera Cass nous y amène. Mais, j'ai quand même longtemps espéré une fin différente... J'avais un autre favori, et j'ai hurlé et détesté de tout mon être Eadlyn pour ses choix, sa façon d'agir. Et puis...un chapitre passe, une page, puis une autre et...mon sentiment bien que vraiment hyper fort (les messages envoyés à ma meilleure amie lors de la lecture le prouvent) s'est...dissipé ! Il a juste..disparu ! Et je n'irais pas jusqu'à dire que j'aime Eadlyn, mais je comprends son choix, et si j'avais été dans la même situation j'aurais fait le même, j'en suis sûre et certaine. Et je l'admire d'avoir fait ce qu'elle a fait. Je n'arrive pas à mettre un mot sur le sentiment que je ressens à la fin..je dirais que je suis apaisée, mais je ne sais pas si c'est vraiment ça. Disons que je trouve ça beau.


Quelque chose que je trouve beau aussi dans ce livre, est le merveilleux épilogue ! Kiera Cass nous offre là une petite merveille et je l'en remercie. Ses mots sont d'une beauté à vous couper le souffle, et finir sur ceux-ci sont un bonheur.

Donc pour conclure, même si Eadlyn ne comble pas mon coeur de la manière que l'avait fait sa mère dès les premières lignes, notre chère Héritière a su me rallier à sa cause et son bonheur.

j'aurais été heureuse de vivre au château, que ce soit à l'époque de nos fantastiques America et Maxon, ou que ce soit aux côtés de Eadlyn (et Ahren), et quelque part, Kiera Cass nous y fait entrer. alors MERCI ! <3
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date : 21-10-2015
Premier livre que je lisais d'Amy Harmon, et on peut dire que je n'ai pas été déçue !!
J'ai littéralement dévoré ce livre ! Et pourtant j'ai plus que l'habitude de lire mes livres d'une traite sans possibilité de les lâcher tellement je suis captivée par les histoires, et que je suis une lectrice invétérée.

Mais ce livre là...Wouah !
(J'ai l'impression de dire ça pour chacun de mes livres en fait...)
Bouleversant, immensément drôle, captivant, magique...

L'histoire de Bonnie et Clyde (ou Finn, ou Infini comme vous voulez) est sublime, et elle commence d'une façon plutôt particulière quand même
Spoiler(cliquez pour révéler)
Finn sauve Bonnie lors de sa tentative de suicide[/spoiler]
Leurs histoires respectives sont similaires, ils ont tous les deux subit les aléas de la vie, iiiils sont tous lse deux cassés par la vie...mais d'après Finn, il ne veut pas chercher à réparer Bonnie, il ne peut pas la sauver et elle ne peut pas le sauver [spoiler](tout comme ils n'ont pas pu sauver leurs jumeaux respectifs).


j'ai immédiatement accroché aux personnages, et le fait d'avoir le point de vue de Finn était astucieux et franchement c'est un concept que j'adore !
et les rencontres qu'ils font sur leurs trip, sont juste trop...cool (faute d'un meilleur mot)... William (GOD) ? Enormissime !! Et ses dernières paroles dans le livre...BOULEVERSANTE !!!!! MAGIQUE ! elles semblent impossible et pourtant...
Le côté de Finn, psychopathe des mathématiques...j'adoooore, j'ai ce côté aussi, et j'ai vachement pu m'identifier à lui. Ce livre est quand même assez axé sur les maths, et pour une littéraire telle que moi ç'aurait pu être rebutant, mais Amy Harmon au travers de Finn, nous fait AIMER les maths... Aimer (l')Infini...
Amy Harmon nous entraîne dans une "fuite" dans tous les Etats-Unis, à la Bonnie & Clyde, nous faisant adopter un rythme de lecture effraîné tout comme l'est leur rythme de voyage.
Elle nous tient en haleine jusqu'au dernier mot, nous faisons croire à des...fausses fins, nous faisant espérer, craindre, rire, pleurer, hurler... Bravo !!

Ce livre est à consommer sans modération !! mais prenez le temps d'apprécier chaque moment de l'histoire !!
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J'ai fini ce livre il y a à peine quelques heures, et je ne cesse d'en ressasser les moindres détails depuis...

J'ai lu les 3 tomes de La Sélection, et les mini-histoires aussi, et c'est vrai que j'ai été surprise du caractère d'Eadlyn... Connaissant celui de ses parents, elle m'est apparue au premier abord comme quelqu'un de relativement superficielle, et qui ne comprend pas vraiment les "choses de la vie"... Mais à y réfléchir, je me suis dit que ce n'était pas qu'elle avait reçu une mauvaise éducation, mais plutôt qu'elle a grandit dans un système politique différent de celui de ses parents, et que cela change beaucoup de choses pour tout le monde.

J'adore sa relation avec son frère jumeau, Ahren, ils sont trop chou tous les deux, mais ce qu'il fait à la fin m'a laissé pour ainsi dire, sur le cul... J'aurais pas imaginé ça venant de lui, mais d'un autre côté, ses raisons sont tout à fait normales ! Ses autres frères sont juste, tellement attachants !!

Ce qui est intéressant aussi dans ce livre, c'est que la Sélection est inversée ! Ce sont des garçons qui envahissent le palais royal et tentent de ravir le coeur de notre héroïne. ça donne un tout autre aspect à la "compétition".
La manière dont l'histoire est racontée, et le fait que le récit soit concentré sur les Sélectionnés qui "plaisent" à Eadlyn, fait que ce sont aussi nos préférés... Quoi que je n'approuve pas tous ses choix pour autant.

J'ai du mal à cerner sa relation avec Kyle... Elle change du tout au tout à partir des nominations...
Sa relation avec Henry est trop mignoooonne, même si j'ai aussi du mal à définir comment cela va tourner... Surtout que ça reste ambigüe avec Erik... Mais ce n'est pas un Sélectionné, donc peut-il vraiment y avoir quelque chose ?
Les autres choix de Eadlyn ne me passionnent pas tellement, et Ean est un drôle de personnage !

La fin...que dire de la fin... Tout va tellement si vite, on ne s'attend pas du tout à ce que ces événements-là se déroulent !! Je n'ai pas pleuré, mais j'avoue que je suis restée pas mal "choquée" et que j'ai un peu péter les plombs ^^
J'ai teeeellement hâte de lire le tome suivant !!
Je conseille vivement ce tome 4 à tous ceux et celles qui ont lu les 3 premiers (même si ceux-ci restent mes préférés).
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date : 09-02-2015
Woah...
ce livre est tout juste génial !!
Ce que j'aime chez Bottero, c'est que dans tous ses livres on retrouve des morceaux des autres et ça ajoute de la beauté à chacun d'eux.
J'avoue que j'ai été surprise par l'Armure, je l'imaginais pas comme ça, surtout la connexion qu'elle entretient avec l'héroïne...
Et la fin... quelle fin !! ça laisse imaginer toute une suite à créer, mais malheureusement, ce n'est pas ce cher Bottero qui nous la fournira... Mais cela laisse un boulevard à notre imagination, et qui sait... peut-être pour le mieux ?
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date : 29-05-2014
Ce livre m'a tout simplement bouleversée !! J'ai été émue pratiquement tout le livre... C'est ma meilleure amie qui m'en avait parlé et m'avait déjà raconté l'histoire. Mais ça n'a rien enlevé du tout à tous ces moments magiques !!

Les dessins sont très bien faits, et représentent étonnement bien ce que j'imaginais au fil de ma lecture.

Bouleversant, ce livre est le récit magnifique d'une petite fille, à peine une dizaine d'années, de ses parents, de sa vie et de ce drôle d'ami que j'avais déjà beaucoup apprécié dans les autres romans de Pierre Bottero.
A lire, sans hésitation !
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J'ai beaucoup aimé l'histoire, qui en fin de compte ne tourne pas seulement autour du couple principal, puisque même après la formation du couple, l'intrigue se poursuit.
Forcément, j'ai adoré Finnula et Hugo !! Mais j'ai aussi beaucoup aimé les autres personnages. Surtout sa famille, un garçon pour 6 filles ! Mais je trouve qu'ils s'en sortent plutôt bien tous ensemble.
Je le recommande vivement !
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date : 09-04-2014
Je viens de terminer Nos étoiles contraires...(et pas mes devoirs ^^)
Ce livre est totalement...bouleversant !!
J'en avais énormément entendu parler par ma meilleure amie, mais jamais je n'avais eu envie de le lire. Et puis hier, je suis retombée dessus dans ma bibliothèque booknode, et je me suis dit : allons voir de quoi ça parle.
Et paf !! Je suis tombée dedans !! Totalement absorbée par l'histoire, je l'ai lâché avec de grands regrets pour aller en cours, mais dès que je suis rentrée j'ai poursuivie ma lecture.
John Green nous raconte l'histoire d'ados atteint de cancers... Sujet pas facile à aborder mais tellement bien traité !!
Hazel et Augustus sont tellement touchants !! Et Isaac qui reste toujours dans le coin aussi !!
J'avoue que quand j'ai lu le résumé je m'attendais à plein de choses, mais pas à ça. L'histoire en gros oui, mais la fin...non !!
Ce livre est absolument merveilleux, il m'a fait rire, m'a transporté en Amérique, puis à Amsterdam, et m'a fait pleurer.
D'habitude les livres me touchent, mais rare sont ceux qui me font réellement pleurer.
Nos étoiles contraires est... profond, vrai ! Franchement j'adore !!!
Un conseil : lisez-le !!
Allez en souvenir : OK <3
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date : 02-04-2014
J'ai trouvé ce livre juste...incroyable !!

Déjà, l'histoire qu'il raconte, n'est pas forcément banale et le fait qu'elle soit racontée du point de vue d'un garçon je trouve que ça apporte un autre regard sur la situation. parce que, comme c'est dit dans le livre, malheureusement dans ce genre de situation les gars ont plutôt tendance à fuir...

Ensuite, la façon doit c'est raconté c'est magnifique.
Dante incarne presque toute les facettes de l'homme dans sa vie : fils, frère, père. On traverse tout avec lui, et aussi avec son frère, Adam. Comment il galère comme un fou au début, et puis, petit à petit, comment il arrive à s'adapter à sa nouvelle vie, comment il s'améliore de jour en jour, mais aussi tous les doutes qui s'installent...
Le fait qu'Adam raconte aussi l'histoire, nous permet de voir la situation de "l'extérieur" mais aussi de découvrir ce qu'il cache; qui n'est pas non plus un sujet dont on parle ouvertement chez certains.

C'est le premier livre de Malorie Blackman que je lis, et franchement si tous les autres sont écrits comme ça je crois que je vais prendre un réel plaisir à les lire !!
j'ai vraiment adoré ce livre, il est émouvant, beau, réel, et juste...waouh !!! Donc : merci à Malorie de m'avoir procuré autant de plaisir dans la lecture, et merci à ma meilleure amie, qui me l'a fait découvrir!!!
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