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14 février 1900, Australie. L’été touche à sa fin. Les jeunes pensionnaires de Mrs Appleyard attendent depuis des mois ce pique-nique annuel, non loin de Hanging Rock. Revêtues de leurs mousselines légères, elles partent dans une voiture tirée par cinq chevaux bais magnifiques. Après le déjeuner, les demoiselles s’assoupissent à l’ombre des arbres. Mais quatre d’entre elles, plus âgées, obtiennent la permission de faire une promenade. Enivrées par cet avant-goût de liberté, elles franchissent un premier ruisseau... puis disparaissent dans les hauteurs. Quand, tard dans la nuit, la voiture regagne le pensionnat, trois jeunes filles manquent à l’appel.
Publié en 1967, magnifiquement adapté au cinéma par Peter Weir en 1975, Pique-nique à Hanging Rock est un récit envoûtant, mystérieux et inoubliable, considéré comme l’un des plus grands romans de la littérature australienne.
Elle restait là, à contempler les lourds rideaux qui masquaient le jardin et ses lueurs crépusculaires, en songeant qu'il y a bien peu de choses dans la vie qui sont ordonnées et fermement délimitées comme elles auraient certainement dû l'être. On pouvait organiser, diriger, prévoir chaque heure à l'avance, et pourtant le désordre persistait. Rien n'était vraiment sans faille, secret, sûr." (p 291)
Je comprends qu'on puisse être déçu(e) du fait que la fin n'apporte pas de réelles réponses à nos interrogations. Personnellement, c'est le fait qu'on ne sache pas qui m'a charmé. Je ne pense pas qu'on ait besoin de tout dire au lecteur, parfois c'est mieux de le laisser libre de son interprétation...
En tout cas : un livre superbement écrit, très très original, poétique et angoissant à la fois. Une ambiance à l'apparence idyllique (qui rappelle un peu le film Midsommar, on est dans de l'horreur fleurie...). Histoire pleine de symbolisme. Un retournement de situation m'a particulièrement touché, très tragique.
C'est vrai que c'est un livre particulier, il faut vraiment s'imaginer cette ambiance à la fois pesante mais esthétique pour être pris dans l'histoire.
J'en avais entendu parler depuis un moment j'avais hâte de m'y mettre et finalement je m'y suis ennuyée. Pendant les 1oo premières pages je pensais abandonner, au milieu je me suis prise un peu à l'histoire pour finalement retomber comme un soufflet à la fin. Grosse déception.
Alors, j'avais vraiment été envoutée par la série et j'avais extrêmement hâte de lire le roman. Au final, j'admets que ce fut une grosse déception... Le roman est certes bien écrit et on retrouve la légèreté aérienne qui transparaissait dans la série mais le roman est beaucoup plus "fouillis" , on peine à comprendre les mobiles des différents personnages et la série a ajouté pas mal d'arcs narratifs (et malheureusement, ce sont ceux que j'apprécie le plus).
Cependant, j'ai apprécié la description quasi lyrique de Miranda et des paysages sauvages de l'Australie. A la fin, le roman nous laisse sur notre faim malheureusement
Ce que j'aime : les descriptions magnifiques, en particulier celle de Miranda. La plume de l'auteure est magnifique
Ce que j'aime moins : trop second degré et fantastique à mon gout
En bref : Un roman lyrique mais peut-être un peu trop pour moi
Ce livre est considéré comme un des plus grands romans de la littérature australienne ? Eh beh...
Très franchement je suis sceptique. S'il m'a fallu un peu moins de 100 pages pour m'intriguer fortement avec cette mystérieuse disparition de jeunes filles et me faire poursuivre ma lecture, le reste de l'histoire m'est finalement apparue sans intérêt et pour la plupart des personnages d'ailleurs, leur sort reste totalement inaboutie ce qui a créé une véritable frustration pour moi lorsque j'ai refermé le livre.
Je ne dirais pas que j'ai détesté, parce que mine de rien j'ai continué ma lecture dans l'espoir d'avoir ce que je voulais - en vain - et que malgré tout, la plume de l'auteur est très belle mais... enfin je suis déçue en tous les cas.
Ce livre raconte l'histoire d'un pensionnat pour jeune fille en Australie, le jour de la Saint Valentin trois d'entre elles et une de leur professeur disparaissent pendant un pique-nique. De là tout va aller de mal en pis pour le collège, incendie, meurtre, folie. J'ai lu ce livre car ma professeur d'anglais me l'avait conseillé. Au final j'en ai un avis assez mitigé. Certains passages étaient très intéressant mais une grande majorité sont ennuyant et lent. Il ne se passe pas grand chose ou tout du moins les passages intéressants sont trop courts et épars.
Résumé
14 février 1900, Australie. L’été touche à sa fin. Les jeunes pensionnaires de Mrs Appleyard attendent depuis des mois ce pique-nique annuel, non loin de Hanging Rock. Revêtues de leurs mousselines légères, elles partent dans une voiture tirée par cinq chevaux bais magnifiques. Après le déjeuner, les demoiselles s’assoupissent à l’ombre des arbres. Mais quatre d’entre elles, plus âgées, obtiennent la permission de faire une promenade. Enivrées par cet avant-goût de liberté, elles franchissent un premier ruisseau... puis disparaissent dans les hauteurs. Quand, tard dans la nuit, la voiture regagne le pensionnat, trois jeunes filles manquent à l’appel.
Publié en 1967, magnifiquement adapté au cinéma par Peter Weir en 1975, Pique-nique à Hanging Rock est un récit envoûtant, mystérieux et inoubliable, considéré comme l’un des plus grands romans de la littérature australienne.
(Source : Lgf - Le livre de poche)
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