Planète de mort
Auteur
- Richard Bessière (Écrivain)
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extrait
Depuis déjà quelques heures, la fusée expérimentale de la Sideral Corporation Limited fonçait dans le vide. Le décollage s’était effectué sans heurt, et l’appareil avait pris la direction de la Constellation du Centaure à l’heure prévue.
La Terre n’était déjà plus qu’un point minuscule perdu dans l’immensité. Partout c’était le vide, étrange, oppressant. Le sifflement des thermo-réacteurs avait cessé dès que l’appareil avait quitté la zone d’attraction terrestre et, depuis, c’était le silence complet, un silence lourd, presque inquiétant.
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La paix est revenue après un conflit mondial. Les hommes décident alors de se lancer dans la conquête spatiale et bingo une planète est découverte. Deux entreprises spatiales sont sur le coup et en concurrence...
Bon là, clairement j'ai eu plus que l'impression de lire la conquête de l'espace au temps de la Guerre Froide sous couvert de science-fiction. Richard Bessière m'avait habituée à mieux, beaucoup mieux.
N.B ce livre a été écrit en 1959.
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Titres alternatifs
- FNA 93 : Planète de mort - Français
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Résumé
N° 93 - Planète de Mort
François RICHARD-BESSIERE
– Oui, je le pense.
Mais ce qui m’intrigue, ce sont les étranges pouvoirs dont disposent ces créatures.
Il est indéniable qu’elles possèdent au plus haut degré des dons télépathiques.
Elles captent toutes nos pensées et savent à l’avance toutes nos intentions.
Aussitôt qu’une idée germe dans notre esprit, elle est automatiquement interceptée et comprise.
C’est ce qui nous a empêchés de les combattre efficacement.
D’ailleurs ce que vous me racontez, Monsieur Laffont, ne fait que renforcer mon hypothèse.
Stones alluma une cigarette et poursuivit : – Elles ont également le pouvoir de se rendre invisibles en cas de danger, mais j’ai remarqué que cette faculté n’est que momentanée.
Cependant cela leur permet de se mettre à l’abri lorsque leur radar psychique leur signale un danger quelconque. – Comment peuvent-ils réaliser une chose pareille ? s’étonna Patricia. – Je n’en sais rien. Ce que je sais, c’est que nous sommes perdus.
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