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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Kiki1744 2023-07-16T21:13:24+02:00
Argent

Un "Play boy" c'est un homme jeune, riche, séduisant, désinvolte, recherchant les plaisirs de la vie et en particulier les conquêtes féminines. Réuni,c'est aussi le nom d'un magazine érotique masculin.

Déjà le titre interpelle surtout quand on en lit les premières pages racontées par une femme,en mal de soi dans un couple conventionnel,mère d'un enfant d'une dizaine d'années. La part belle n'est pas faite aux hommes mais bien aux femmes et surtout celles qui assument être ce qu'elles sont.

La narratrice raconte son couple en rupture et sa première fois de sa nouvelle vie d'homosexuelle.L' amour y est décrit violemment, crûment car pour Constance DEBRE,l'amour c'est ça,c'est violent,c'est chaotique.

La narratrice fait quelques rappels de son enfance bercée par des parents,pas bien et pas vraiment à leur place. Elle rappelle qu'elle a toujours aimé être comme les garçons,jouer avec eux mais a dû s'afubler d'attributs féminins pour séduire les hommes, surtout son mari : Laurent.Enfin,elle se détourne de ses origines sociales : celles de la haute bourgeoisie qui existe aussi riche qu'il y a des pauvres,aussi puissante qu'il y a des victimes de ce système compresseur.Mais,les nécessités matérielles de la vie la rattrapent et l'empêchent.C'est Annie Ernaux à l'envers.

La narratrice est aussi avocate,défend les démunis et cache ce qu'elle est,sous sa robe d'avocat(e) mais qu'on appelle maître quel que soit son genre.

Par des phrases courtes, elliptiques, crues,Constance DEBRE se dépeint comme ce "play boy" qui voudrait tant ravager le coeur et le corps des femmes,tout en refusant cette domination du genre masculin,mais en le travestissant.

Dur,d'être soi-même,de prétendre au bonheur absolu et comme l'avocat qui plaide en mettant du recul nécessaire, l'écrivain(e),en prenant appui sur sa vie,ce qu'il (elle) est, permet d'expliquer cette violence que sont la vie,plus particulièrement l'amour encore plus l'homosexualité que l'héritage de l'enfance et de ses propres racines tendent encore à complexifier.

En conclusion, personne n'est jamais bien.Alors pourquoi ne pas essayer d'être soi et tant pis pour les conventions.

De la folie dira le plus commun des mortels,du courage dis-je.

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Commentaire ajouté par francesca21 2022-05-02T10:57:40+02:00
Bronze

Constance Debré se dépouille de tout : son travail d'avocat, son couple, son enfant pour suivre ses pulsions qui la pousse à draguer les filles. Le style est cru, les phrases courtes et hachées. C'est un livre radical qui m'a laissée perplexe.

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Commentaire ajouté par YumeGekkou 2021-11-05T13:16:37+01:00
Or

J’ai adoré ce roman : sa thématique était très intéressante et j’ai beaucoup apprécié l’écriture. Je l’ai lu avec facilité et intérêt.

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Commentaire ajouté par dimitridefontaine 2020-09-18T20:38:35+02:00
Argent

Bien, pas mal, assez intéressant dans le propos. C’est déjà ce que je retiens du roman de Constance Debré. C’est court, vif, ça marque bien sans trop donner. L’auteure nous relate une partie de sa vie à travers la pleine découverte de son attirance pour les filles, sa vie de famille un peu maladroite voire chaotique, faite de faux-semblants, d’histoire et de passés dont elle se sent détachée. C’est principalement avec cette force que Constance Debré écrit son histoire : avec un détachement certain. C’est le parti pris qui déjà, de prime abord, ne plaît pas toujours. Moi, c’est ce que j’aime, ces espèces d’histoires froides un peu provocantes ou l’indifférence est de mise. On lit comme on observe avec l’auteur.e. Hyper intéressant, ça change. J’ai un peu, aussi, en tant que lecteur, cette position de voyeur qui aime ce genre de roman semi-fictif où l’auteur.e parle de lui.elle.

Bon, ma note reflète juste un peu le manque de profondeur que j’ai pu ressentir pendant ma lecture. Ca m’a cruellement manqué de quelque chose, sans doute de développement, de passages plus accrocheurs, moins courts, car il est difficile de se faire une place, de toute suivre. Même si le style cru, simple et bref m’a plu, j’ai dû me reprendre à plusieurs fois pour lire certains passages histoire de comprendre si j’étais vraiment dedans ou non, parce que souvent, voilà, je me retrouvais un peu en dehors du récit, sans vraiment savoir où aller. Mais je pense que ce roman, en réalité, il faut le lire d’une traite, sans s’arrêter, sans réfléchir, sans aucune prise de tête. Laisser faire le récit et les mots de l’auteur, les appréhender et les lire comme ils viennent. Mais bon, j’ai quand même manqué d’un peu « d’histoire » là-dedans. Il n’y a que des fragments de vie, tirés un peu à l’assaut, à demi-figés dans des mots et des situations. Dommage, tout ça aurait mérité d’un peu plus de tiraillement. Là, le roman est trop clinique pour moi.

Les curseurs et l’intention du bouquin sont donc, pour moi, bons. Ils m’ont plu : j’ai aimé ce qui se décrivait, cette manière de relater les faits, le vécu, et toute cette insolence justifiée. La position prise est juste mais selon moi trop glaciale, elle ne nous permet pas de rentrer totalement dedans, on se sent toujours un peu à l’écart, comme si on avait pas le droit d’être là.

Un roman plutôt bon qui convoque bien le portrait de soi et cette espèce de non-désir qui fige les relations amicales, amoureuses et familiales.

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Commentaire ajouté par ChezVolodia 2020-02-27T18:07:55+01:00
Pas apprécié

Ce qui m'a attiré en premier lieu, c'est la photo : une femme garçonne puis, le nom de l'auteur. Malgré la quatrième de couverture qui se veut accrocheuse et provocatrice à l‘envie, j‘ai décidé de passer outre et d’assumer mon côté voyeur histoire de pouvoir me faire mon propre jugement. C’est donc l’esprit libre et ouvert à toutes émotions que je l’ai lu.

Ma curiosité a été quelque peu déçue par le style. Phrases courtes, volontairement crues, le ton est donné. Ce livre n’a pas d’histoire ou plutôt si, celle d’un changement de vie, celui de l’auteur, avocate, descendante d’une famille de grands bourgeois, comptant dans ses rangs d’anciens membres de la 5ème République et avec qui elle semble vouloir régler ses comptes.

Constance Debré, se livre avec un détachement peu commun, sur sa vie de femme, et surtout sur sa décision d’assumer ce qu’elle a toujours su : être une lesbienne, qui par convention s’est mariée, a fait carrière, a eu un enfant, et qui fait tout voler en éclats par ennui ? Ras-le-bol ?

Consciente d’être née dans une famille riche, elle reste lucide sur les failles de celle-ci : père drogué, mère évanescente, mais également sur les privilèges et arrogance que procurent l’argent.

Mais abordons l’autre sujet du livre : les conquêtes féminines de l’auteur, qu‘elle nous relate froidement, sans réelle émotion, pour ces femmes qui attendent qu’elle se conduise en don juan, et qu’elle m'éprise, ne voyant que leurs défauts qu’ils soient morales ou physiques. Constance Debré se conduit en « goujat », et non en play boy, et adopte tous les codes du « faux mec » en cumulant vulgarité, langage obscène, tatouages à profusion, attitudes et vestiaire masculin.

Je n’ai pas apprécié ce livre. En fait, je n’aime pas les femmes qui se croient obligées d'avoir des comportements masculins, surtout les mauvais, pour exister...!

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Commentaire ajouté par Constancedufort 2020-01-31T19:18:13+01:00
Diamant

Une marguerite Duras moderne, lesbienne, attachante. Une super lecture.

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Commentaire ajouté par Bouboule 2018-08-20T10:53:12+02:00
Lu aussi

Ce texte est écrit de manière brute, crue, les phrases se veulent courtes et, j'imagine, percutantes. Cependant ce livre n'a rien provoqué chez moi.

La narratrice est avocate, ce pour quoi elle est douée, mais n'a d'intérêt pour rien. Elle se laisse vivre en se demandant un peu quel est le sens de tout ça, en essayant de comprendre les femmes suite à son homosexualité naissante, de comprendre l'amour.

Bref je reste de marbre face à ce style d'écriture, et regrette le manque de ce petit quelque chose qui aurait constitué la véritable accroche du livre.

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Commentaire ajouté par BibHLM 2018-04-23T16:37:25+02:00
Lu aussi

L'auteur nous propose un récit de vie en trois parties où il sera question d'amours, de ruptures le tout saupoudré de nihilisme absolument délectable. Trois parties, trois étapes de sa vie : dans la première elle découvre qu'elle préfère les femmes, dans la seconde elle apprivoise de nouveaux désirs et découvre de nouveaux plaisirs, dans la troisième c'est l'heure du désenchantement.

Constance transpire la confiance, elle ne doute d'aucun de ses choix. Elle prend des décisions, des positions et assume le tout. Elle se libère de l'opinion et du regard des autres avec l'aisance de l'égoïsme, c'est inspirant. C'est pince-sans-rire, c'est provocant et c'est cru. C'est ordinaire et au-delà de la norme.

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Commentaire ajouté par serialreadeuz 2018-02-12T16:06:43+01:00
Lu aussi

Une fois passés la curiosité de l’accroche, et le défi de vouloir comprendre qui se cache derrière ce selfie-cliché, j’ai vite compris que ce serait quitte ou double avec ce « roman » entre autobiographie, fantasme et catharsis.

Dans un style récurent et de plus en plus commun qui veut qu’un texte soit écrit de manière brute, saccadée, en langage parfois cru, parfois banal, Constance Debré tente de nous emmener dans le quotidien d’une avocate quadra en découverte de son homosexualité. Et c’est là que le bas blesse … Tout est tellement cliché dans cette narration! Sincèrement, j’ai souhaité à plusieurs reprises que cela ne soit pas sa vie réelle, parce que c’est vraiment pénible !

Pénible pour sa considération du genre féminin, pour l’image des lesbiennes qu’elle va véhiculer auprès de la société alors que ce qu’elle décrit, ce n’est pas de l’homosexualité, c’est de la perversion pure et simple.

Il n’y a pas d’amour dans ce texte, tout n’est que haine, dégoût et provocation. Pour son être propre, mais aussi pour son héritage familial ou encore son métier d’avocate. Il n’est nul besoin d’épiloguer sur le fait que Madame Debré est issue d’une longue lignée aristocratique française… Une haine des pauvres aussi, de la société, de la vie.

Alors OK ce n’est pas toujours facile d’être la fille ou petite fille de X, mais de là à cracher sur le reste de la société (dite les pauvres) c’est quand même un peu difficile à plaindre !

Bien que Stock vende le titre comme étant le premier roman de l’auteure, il n’en est rien. J’avoue que je ne suis pas allée lire les autres livres pour conforter mon désintérêt pour ce style tranchant qu’elle maîtrise tellement mal …

Mais attendez … Et si en fait, le but ultime de Constance Debré était de susciter le dégoût?

Pour en savoir plus, rdv ici :

https://serialreadeuz.wordpress.com/2018/02/12/play-boy-de-constance-debre/

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