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« -Je ne peux pas oublier les sensations, les rires, tout ce qui s’est passé entre nous… Je ne peux pas ne plus t’aimer, Grace Shaw. Tu es gravée dans mon putain d’ADN, au point que je ne peux plus réfléchir correctement… »
Afficher en entier« -Écoute-moi attentivement, Grace Shaw. Tu es la plus jolie fille que j’aie vue de toute ma vie. Quand je te regarde, je vois une battante. Je vois la résilience, la force et le courage. Tu me coupes le souffle et personne ne pourra y changer quoi que ce soit. »
Afficher en entier- Y a manifestement que des conneries qui sortent de ta bouche, rétorqua West d'une voix devenue glaciale et mordante.
J'avais visiblement touché un point sensible.
- Elle sortiraient de mon cul qu'elles seraient toujours plus sensées que ce qui sort de ta bouche, grognai-je.
Et, avec la même facilité, il se remit à rire de ma riposte. Du fait que j'avais répliqué.
- Ça je n'en sais rien, chérie, mais c'est un super cul, alors ça me plairait d'écouter.
Afficher en entierWest passa son bras musclé par-dessus mon dossier. Son langage corporel transpirait l’indifférence et l’assurance ; il sortit quelque chose de sa poche – un petit calendrier – et le déposa sur mes genoux.
— Entoure la date. Je l’ignorai, les yeux rivés sur la scène. — Où tu arrêteras de me faire la gueule, précisa-t-il.
Afficher en entierWest St Claire avait de l’humour. Malheureusement, j’avais la sensation que j’allais devenir son sujet de plaisanterie préféré.
Afficher en entier— Je suis heureux que ce mardi se soit déroulé de cette façon. (Il avait une voix éraillée, grave.) Parce que le pire jour de ta vie m’a donné la meilleure version de toi.
Afficher en entier✏ « Quand on est plus souple, on peut davantage se contenir. Et quand on se contient davantage, le monde ne peut pas nous briser. »
✏ « Une partie de moi avait toujours envie de mourir. De cesser d’exister. »
✏ « J’avais l’impression de redevenir moi même et, allez savoir pourquoi, j’avais la sensation que c’était pareil pour lui. La sensation que, pour une raison étrange, nous faisions ressortir l’un chez l’autre les personnes que nous étions avant et qui nous manquaient terriblement. »
✏ « - On n’est pas rien. Tu es mon amie et je t’ai dit que je ne voulais pas que tu t’approches de cet endroit pourri. - Cet endroit pourri est ton domaine. - Je suis pourri. Pas toi. On ne joue pas dans la même catégorie. »
✏ « Tout ce que l’on éprouvait l’un pour l’autre le bon comme le mauvais, tourbillonnait pour créer quelque chose qui nous dépassait. »
✏ « - J’ai déjà traversé les flammes, alors je sais à quoi m’attendre, répondis-je d’une voix tremblante, mais chaque mot me faisait l’effet d’une rédemption, d’une transformation. Comme une renaissance. - Je suis prête à en payer le prix. »
✏ « - Tu me rappelles celui que j’étais avant. [...] - Avant quoi ? - Avant tout. »
✏ « - Tu me diras un jour ce qui t’est arrivé ? Et non, je ne pose pas la question parce que j’ai vu tes cicatrices aujourd’hui. Je te pose la question parce que tu fais comme si ça ne s’était jamais produit, alors que tu laisses ce truc te définir. Absolument. Chaque. Jour. »
✏ « - Je suis heureux que ce mardi se soit déroulé de cette façon. (Il avait une voix éraillée, grave.) Parce que le pire jour de ta vie m’a donné la meilleure version de toi. »
✏ « - La survie ne suffira plus. J’ai survécu pendant cinq ans avant de te rencontrer. Ce n’était pas suffisant. »
✏ « Je traverserai les flammes pour toi. Je t’aime. Ton ancienne flamme. »
Afficher en entier- Mets-toi ça dans le crâne, Texas : je ne suis pas un type bien.
Je ne suis pas là pour te sauver. Je ne suis pas dans une espèce de quête pour te faire sortir de ta coquille et ressortir de cette expérience plus forte ou je ne sais quelle connerie de psy. Ce n'est pas parce que je ne te mets pas des coups quand tu es déjà à terre que je suis quelqu'un de fiable sui qui on peut compter, et tu ferais bien de t'en souvenir. C'est assez horrible pour toi ?
Afficher en entierCar Quand on était amoureux et que l’être aimé vous blessait, c’était comme si notre âme se déchiquetait en minuscules lambeaux.
Afficher en entierEn l'observant, a ce moment-la, je ne voyais pas le mec le plus populaire de la fac. Le sex-symbol. Le champion de combat illégaux. Je voyais le garçon le plus solitaire que j'avais jamais rencontré. Doux, désorienté, perdu. Et je songeai amèrement qu'il n'avais pas conscience que de l'autre coté du parking, se trouvait une fille dans le même état que lui.
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