Plus que le monde

Alex est solitaire, mal dans sa peau, dans sa tête, il a un père... Je cherche un mot adapté sans être malpolie mais c'est dur... Un père inadapté. Une mère pas tellement mieux...

Sören lui ce serait plutôt tout le contraire, il est lumineux, il est taquin, mais lui aussi côté famille c'est pas trop ça...

Alors quand ces deux là vont se rencontrer ça va faire quelques étincelles.

Alex ne va pas être très bavard, mais Sören va l'être pour deux. Il va le faire sortir de sa routine, de son quotidien, va le mettre face à des choix, va le confronter à sa réalité.

Pas dans la force, en lui laissant le choix, en le guidant seulement... Parce que c'est de ça qu'à besoin Alex, d'une lumière dans la noirceur de sa vie.

J'ai pas envie de vous en dire plus cette fois encore parce que quand j'ai commencé ma lecture et en ayant lu quelques extraits que Mary propose sur son insta, je suis partie avec le moins d'infos possible.

Et c'est la découverte qui fait tout.

Cette histoire elle est belle, elle est touchante, elle est bien écrite, mais au delà de ça c'est l'histoire de la lune et du soleil, en tout cas c'est comme cela que moi je le vois. La chaleur du soleil face au sombre de la lune.

Un écorché vif face à une lueur d'espoir.

Bien que Sören soit bien plus que cela au final.

Leur relation d'inconnus à amis est semée d'embûches, de non dits, de secrets.

Leur entourage est loin d'être tendre (le père et l'oncle d'Alex sont sûrement les deux personnages que je déteste le plus depuis que la lecture est devenue une passion et c'est peu dire), sa tante au contraire est comme une bouée dans une mer agitée, sauf quand il est question de prendre position, de défendre réellement, là elle se transforme en Casper et qu'est-ce que j'ai voulu la secouer purée.

Mais revenons en à Alex et Sören parce que pour moi, ce livre, cette histoire, c'est eux. C'est ce qui en ressort, c'est ce qu'il faut retenir. Même si la brutalité des évènements n'est pas sans rappeler la réalité, je préfère en faire abstraction.

Je ne suis pas directement concernée donc je ne sais pas si ce que je vais dire sera dit avec des mots justes mais la détresse d'Alex paraît si... Réelle. Juste. La tournure de l'histoire ne guérira pas tout cela et je pense que c'est là, la différence avec d'autres récits qui vous feront croire que de l'amitié ou de l'amour peut tout changer.

Des fois, même le plus beau rayon de soleil ne peut pas briser la glace...

Dans le livre "une autre étoile" que j'ai lu récemment je me souviens avoir apprécié l'écriture, souvent juste, des sentiments, du deuil, de la reconstruction. Ici, Mary m'a une fois de plus montrer que sa plume est à la fois sensible et piquante. Elle montre plein de choses qui remue, là à l'intérieur, qui nous bouleverse mais aussi qui peuvent nous faire sourire.

J'ai adoré cette histoire, je penses que le préciser n'est pas nécessaire. Mais je l'écris.

Je crois que ces deux là vont me rester en mémoire. Longtemps.

Ah et pour info... J'ai ri aussi. Et j'ai aimé plein d'autres personnages (Sophia, Odile, Marlène & Yannick, les meilleurs !). J'espère que vous aussi, vous allez faire leur rencontre prochainement. Parce que ce livre vaut le coup. Parce que cette histoire le mérite

Pour les fans de romance M/M

Tout d’abord merci à l’auteur pour son livre en Service presse

Ce livre est un coup de cœur.

Les protagonistes sont attachants

Mais surtout Alex me représente totalement.

Je me suis retrouvé en lui mais en version masculine

Niveau de l’histoire: On rentre dès les premières lignes dans le vif du sujet. L’histoire est très bien détaillée. On passe par différents émotions surtout avec la famille d Alex

J’ai adoré le jeu du chat et de la souris entre Alex et Soren

J’ai passé un très bon moment pour le lire. J’ai eu du mal à m’en détacher.

Par contre, l’histoire traite un « peu » le sujet du travestisme.

Habituellement, je ne suis pas à l’aise avec ce type de sujet mais dans l’histoire Ca ne m’a gêné.

Je le recommande

Un roman plein de douceur et de sensibilité

Une jolie histoire pleine de sensibilité que j'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir grâce à la confiance accordée par l'autrice via un service presse.

L'histoire d'Alex m'a de suite prise aux tripes, sa détresse masquée derrière son apparence effacée, sa fragilité aussi.

C'est avec plaisir que j'ai suivi son histoire et sa rencontre avec son opposé, celui qui, finalement, va l'obliger, souvent malgré lui, à sortir de sa coquille protectrice.

On comprend pourquoi il arbore cette "armure" au vu des réactions immondes de son père et son oncle. J'aurais bien voulu leur donner un coup de pelle à ces deux-là, et secouer au passage sa tante. Cette tante qui parait de son côté et lui apporte cette douceur maternelle dont il manque cruellement, mais qui ne bronche pas ou si peu lorsque les coups pleuvent.

Je ne veux pas en dire plus pour vous laisser le plaisir de découvrir ce joli roman que je vous invite à découvrir.

Je n'aurais qu'un seul bémol : ce terme d'adolescent sans cesse répété qui me semble si peu adapté et dérangeant pour deux raisons. La première et non des moindres étant son âge dans le récit, dix-huit ans. La deuxième faisant presque du coup passer Soren pour beaucoup plus âgé que lui alors que non, et donnant alors des relents un peu dérangeants à leur relation.

Laquelle est au contraire pleine d'amour, de compréhension et d'acceptation envers les "défauts" de chacun.

Avis : Plus que WOW !

Alors je dois dire que c’est un superbe découverte. C’est un roman poignant dont les sujets divers et variés liés à l’homophobie m’ont touchés.

Alex, personnage principal, assez renfermé, solitaire. C’est un garçon de 18 ans qui manque de confiance et d’amour propre. Il a vite me toucher dans sa solitude, dans sa démarche vers l’inconnu, vers LUI.

Soren est plus âgé, plus ouvert et il est suédois avec un accent à faire chavirer les cœurs (oui, oui je suis fan des accents) C’est un personnage très compréhensif qui vient, certes d’un milieu aisé mais qui comprend Alex mieux que quiconque.

Pas si différents mais complémentaires. Un monde adulte où deux jeunes cherchent à s’intégrer, dans une société souvent hostile, malsaine, violente, écrasante. Une famille qui les rabaisse au lieu de les soutenir et de les élever.

Un roman saisissant, renversant, bouleversant. Pour comprendre ce livre, il faut en ouvrir les pages et le lire. Par ce que « Plus que le monde » représente un tout. Un tout bien plus merveilleux que « Plus que tout au monde »