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Elle s’est soulevée juste un peu et a regardé son frère par-dessus son épaule, ses mèches me recouvrant le visage.

— Maintenant tu vois ce que ça fait, a-t-elle dit. Au moins, tu m’as pas trouvée le cul nu sur le canapé avec un coup d’un soir.

J’ai écarté les cheveux d’Aly pour y voir plus clair. Christopher a esquissé une grimace embarrassée et a mis une main derrière sa nuque. Nonchalant, il a haussé les épaules, mais il était évident qu’il se retenait d’éclater de rire.

— Aly, t’exagères, c’est arrivé une seule fois et je t’ai même présentée la fille !

— Tu n’imagines pas combien j’ai trouvé ton geste approprié à cet instant-là, a-t-elle remarqué sarcastique.

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Peut-être qu'elle se disait qu'elle serait heureuse de se glisser en moi, de s'installer dans ma chair et d'y établir sa résidence.

Mais elle se trouvait déjà en moi.

Aly était partout .Je sentais sa vie dans mes veines , parce qu'elle l'avait insufflée dans mon sang.Tout mon être lui appartenait, parce qu'avant elle, je n'existais pas.Je n'étais rien, je n'avais aucune valeur.A présent , je comptais pour quelqu'un, et cette seule idée me terrifiait.

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Je l’enlaçai par-derrière, la joue appuyée contre son dos et les mains serrées sur son ventre.

Jared poussa un profond soupir. Pendant un temps interminable, le silence nous enveloppa. Nous nagions dans ce silence. Et la tension se cristallisa dans l’air vif de l’automne.

Je savais qu’il était blessé. Ces paroles l’avaient profondément affecté. J’aurais voulu faire bouclier, le protéger, mais c’était simplement un autre obstacle que nous devions surmonter. Tout ce que je pouvais faire, c’était le soutenir, le tenir comme je le faisais actuellement, lui promettant ainsi que je ne croyais pas aux insinuations qui avaient été proférées.

Finalement, il prit la parole, dans un grognement tendu.

— Merde, Aly.

Il secoua violemment la tête. Comme s’il capitulait.

— Je savais que je n’aurais pas dû venir ici. Je n’y ai pas ma place. Ton père a raison.

Il s’affaissa, essayant clairement de s’éloigner.

— Il a raison sur chaque point.

Sa douleur s’insinua dans mon esprit, et je renforçai mon étreinte autour de lui, ne voulant pas le laisser mettre cette distance entre nous. Ma voix sortit comme un murmure lorsque je le suppliai dans son dos :

— Non, il a tort. Il ne te connaît pas, pas comme je te connais. Il est juste surpris.

Je clignai des yeux dans le noir, essayant de donner du sens à ce qui venait de se passer en bas.

— Juste sous le choc, ajoutai-je. C’est tout à fait différent.

Même si ma voix se fit plus basse, mon ton se renforça.

— Et même s’il croyait vraiment ce qu’il a dit, ça ne change rien.

Je l’étreignis plus fort, ma joue s’appuyant contre son omoplate.

— Tu te souviens de ce que je t’ai dit la nuit où tu es revenu ? J’aime tout ça, Jared. J’aime tout ce qui fait de toi la personne que tu es. Et tout ce qui importe, c’est ce que je pense ; pas ce que lui, ou n’importe qui d’autre, pense. Juste toi et moi. Rien d’autre ne compte.

L’hésitation l’immobilisa avant qu’il ne se retourne pour se retrouver entre mes jambes. Sa main puissante se déploya sur mon ventre encore plat, où notre enfant grandissait. Ses yeux bleus flamboyaient, rivés sur les miens.

— Juste toi, moi et lui.

Tout se radoucit : la tension, l’inquiétude, la honte qui bouillait dans ses veines.

C’était la promesse de Jared. Un serment.

Nous ne laisserions rien se mettre sur notre chemin.

— Juste toi, moi et lui, répétai-je.

Son regard doux parcourut mon visage. Comme une caresse.

— Je t’aime, Aly Moore. Tu le sais, n’est-ce pas ?

Je pris son visage entre mes mains. Sa chaleur me brûla la peau ; le lien que nous partagions était plus fort que tout. J’inclinai la tête sur le côté, perdue dans son expression désespérée.

— Bien sûr que je le sais.

Je l’avais su bien avant qu’il ne le sache lui-même.

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Devant le comptoir de la cuisine, Aly se versait un verre de jus d’orange. Des mèches de ses cheveux presque noirs étaient lâchées et tout emmêlées ; sa tête au réveil devait être l’une des choses les plus mignonnes que j’aie jamais vues. Bien sûr, elle portait ce short qui exposait ses longues jambes qui me rendaient fou.

Mince.

Il me suffisait d’un coup d’œil pour que mon corps la réclame.

Après l’avoir eue toute la nuit.

J’approchai derrière elle et m’appuyai contre son dos. Je saisis le comptoir, emprisonnant son petit corps délicat. Mon nez s’enfouit dans la vague de cheveux qui tombait sur ses épaules, juste dans le creux sous son oreille. J’inhalai le délicieux parfum de noix de coco mélangé à l’odeur de cette fille.

— Trop belle, susurrai-je, parce que c’était carrément ce qu’elle était.

Je pus presque la sentir rougir, la chaleur émanant de sa peau tandis qu’elle mordait sa lèvre inférieure pour effacer son sourire.

Cette chose qui ressemblait à du bonheur s’attisa dans ma poitrine, me rappelant que j’étais vraiment super heureux.

— Aaah… Vous vous fichez de moi ?

Une voix détestable qui ne pouvait qu’être celle de Christopher rompit le charme du moment.

— Est-ce qu’il faut vraiment que j’assiste à ces conneries au réveil chaque matin ? C’est ma petite sœur, tu sais ?

Il ne faisait que me taquiner, mais je sentais toujours des traces de sa méfiance subsister.

Je me contentai d’attirer ma nana encore plus près et adressai à Christopher un sourire narquois.

— Il faut que tu t’y habitues, mec, parce que je n’irai nulle part.

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Je détruis tout ce que je touche.

Cette pensée m’a percuté plus fort qu’un coup de pied dans le ventre. Je n’arrivais plus à respirer. Il faudrait aussi que j’apprenne à surmonter cette détresse que j’avais fait vivre à Aly pendant mon absence. Je n’avais cessé de prier pour qu’elle réussisse à m’oublier, sans savoir que je lui avais laissé le plus cuisant des souvenirs de moi. Je l’avais marquée pour toujours. J’avais imprimé mon corps dans le sien.

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Parce que je suis moi... parce que je voudrais être tellement meilleur pour toi. Tu mérites un hommes que tu peux inviter chez tes parents sans que ça se termine en pugilat.

-tu es ce que 'ai de mieux dans la vie. Souviens-toi , c'est toi et moi, il n'y a que ça qui compte.

Sa main caressa mon ventre encore plat où grandissait notre bébé. Ses yeux bleus brillaient.

-Toi, moi et ça corrigeât-il.

Tout se radoucit en lui. La tension, l'inquiétude, la honte semblèrent lui donner un peu de répit.

C'était la promesse de Jared. Un serment. Rien ne se mettrait jamais entre nous.

-Toi et moi et ça, répétai-je.

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— On y est presque…

Un grondement monta au loin, des klaxons et des cris faibles, des mèches de pétards qu’on allumait dans les jardins. L’excitation grandissait.

Jared m’aida à me relever, s’assurant que le sac de couchage restait sur mes épaules. M’enlaçant, il posa sa joue contre la mienne et nous restâmes à regarder la ville témoin de nos souvenirs. Nous allions désormais nous en créer de nouveaux.

Jared sortit son portable de sa poche et essuya l’écran.

Le compte à rebours avait commencé. Sa voix sonnait à mon oreille comme la promesse d’une vie heureuse.

— Cinq… quatre… trois…

Il baissait le ton à chaque nombre qu’il prononçait, rendant son anticipation palpable. Tous nos espoirs et nos rêves.

— Deux…

Jared rangea son portable. Il posa son front sur le mien et m’entoura le visage de ses deux mains.

— Un.

Je sursautai en entendant la puissante explosion.

Le feu d’artifice me remua tout entière, les couleurs inondant le ciel. Une vague d’énergie me submergea au moment où Jared m’embrassa fougueusement. Tout son être me réclamait. Ses lèvres dévoraient les miennes, sa langue les taquinant à peine. Il me tenait serrée.

Un déluge de lumière se reflétait sur nos visages, percutant « mes paupières fermées, tels des flashes de notre avenir, serment muet entre nous.

Jared se recula, m’entourant toujours les joues de ses mains puissantes. Enfiévré, enragé.

— Veux-tu m’épouser, Aly Moore ?

Ses yeux bleus débordant d’espoir me transperçaient.

Je me figeai sur place. La question retentit dans mon esprit. Des flammes de bonheur me consumaient. Les larmes me brouillèrent la vue.

— Jared ?

Tout l’amour que j’avais pour cet homme vibrait dans ma voix.

Il s’agenouilla devant moi.

Je mis une main sur ma bouche pour couvrir le sanglot qui montait dans ma gorge. La couverture glissa de mes épaules.

Une violente rafale de vent froid lécha ma peau, tandis que je restais submergée par la chaleur du regard de Jared. Les discrets rayons de lune entouraient son visage et rehaussaient la beauté de ses traits.

Il mit la main dans sa poche et trembla en en sortant le trésor qu’il y avait caché.

La lumière étincela sur le diamant au centre de l’anneau.

Mon cœur menaçait d’exploser.

Il prit ma main dans la sienne.

— Aleena… murmura-t-il dans le vent.

Je le voyais bouleversé.

— Dis-moi que tu veux passer ta vie avec moi, et je t’offre la mienne.

— Oh mon Dieu, Jared…

Je pleurais désormais à chaudes larmes, ne sachant contenir mon émotion.

— Mon Dieu, oui, oui. Oui !

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Aimer quelqu'un est le risque le plus immense qu'on puisse prendre.Ce n'est pas juste parce que c'est rarement une décision consciente.C'est un sentiment qui grandit en nous tout doucement, ou qui nous frappe de plein fouet.Et parfois c'est un trésor qui nous a accompagnés toute notre vie.

Mais toujours c'est inévitable.

Ce que je vivais là était inévitable.

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-Je sais que tu as mal.Je suis là pour toi.tu peux me parler.Tu peux me dire.

Un rire amer a déchiré la nuit et je l'ai regardée, incrédule.

Est-ce-qu'elle me demandait vraiment de le refaire?Elle ne se souvenait donc pas?

-La dernière fois que tu me l'as demandé, Aly, je t'ai perdue.

Les mots se sont échappés de ma bouche , durs et tranchants , avec toute la douleur de ces mois loin d'elle.

-Je refuse que ça se reproduise.Rien ne se mettra plus jamais entre nous.Toute cette merde......rien de tout ça ne compte.Rien.Puisque je t'ai.Je te le répète encore, laisse tomber.

-Tu ne peux pas continuer à faire semblant, Jared.

-Je fais pas semblant.J'essaye juste de trouver la force de vivre.

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— Qu’est-ce qu’il t’a dit ?

La rage bouillonnait au creux de mon ventre, s’échappait par ma bouche tel un sifflement tandis que je prenais la pièce d’assaut.

Aly grimaça, plissa les yeux, tordit ses doigts entre ses mains.

— Il n’a rien dit, murmura-t-elle. Il était juste là. À attendre. Il savait où j’allais, Jared. Qu’est-ce qu’il veut ?

Je me foutais royalement de ce qu’il voulait. Je ne le laisserais pas l’avoir. Personne ne la toucherait. Ou il faudrait me passer sur le corps.

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