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Il se tourna pour se placer juste en face de moi. « Les miens … ils savent instinctivement quand ils rencontrent ‘la bonne’, leur âme sœur. » Mon estomac se noua encore plus. « Les tiens ? Les Russes ? » « Non. Je ne suis pas … normal, Megan. Je suis désolé si tout cela te semble ridicule et si je déballe tout comme ça, mais il faut que tu saches. Il faut que tu saches avant de prendre ta décision. » « De quoi parles-tu, Roman ? » « Des métamorphes. Les miens sont des métamorphes.
Afficher en entierTa maison n’est pas censée me convenir quand je suis sous forme d’ours, Megan. » Debout dans la salle de bains de ma conjointe, je me tenais les mains sur les hanches et je la regardais les sourcils levés. « Ce n’est pas une bonne idée. »
Megan, qui avait pris de l’assurance après avoir passé les quelques derniers jours nue avec moi, étendit les bras au-dessus de la tête en me montrant chaque centimètre de son corps sexy de femme. Elle avança sa lèvre inférieure et elle me regarda en agitant les cils. « S’il te plaît ! »
Je jurai. « D’accord. C’est ton plancher. »
« Oui, et c’est moi qui l’ai fait installer. Il supportera ton poids. » Elle se hissa sur le plan de travail et me regarda les yeux écarquillés. Elle voulait vraiment me revoir sous mon autre forme.
Comme je ne voulais plus lui refuser ça, je me transformai. Le plancher craqua sous mon poids, mais tint bon quand même, comme elle l’avait prédit. Je prenais tout l’espace disponible dans la salle de bain. Quand je baissai les yeux vers Megan, je penchai la tête de côté et la reniflai.
Jamais je ne l’avais vue écarquiller les yeux à ce point. Elle s’assit par terre et fut immédiatement perdue dans ma fourrure. « Ah ! Oh, mon Dieu ! »
Je me retransformai, craignant de lui avoir accidentellement fait mal, mais je la trouvai en train de rire comme une folle. « Tu m’as fait peur, bordel ! Pourquoi as-tu crié comme ça ? »
Elle riait si fort que je crus un instant qu’elle pleurait. « Je suis vraiment désolée. Je me suis excitée, c’est tout. Tu es si câlin et si doux. »
« Je ne suis pas câlin ! Je suis un prédateur alpha, femme, le sommet de la chaîne alimentaire. »
« Oui, OK. » Elle rit à nouveau et s’essuya les yeux. « Je suis désolée. Je le suis vraiment. C’est juste que … je ne peux m’empêcher de penser au chien qu’avait ma maman quand j’étais petite et qui pissait sur le tapis en fourrure qu’elle avait. »
Je la regardai sans rire, pas du tout amusé.
« Je suis vraiment désolée ! C’est juste que … » Elle rit plus fort, en se tenant le flanc. « Je veux faire la sieste dans ta fourrure. »
J’essayai de garder mon air renfrogné, mais son rire et son amusement me plaisaient. Je la soulevai facilement et la jetai sur mon épaule tout en lui donnant une claque sur le cul. « Tu ne respectes pas beaucoup mon statut de prédateur mortel. »
Elle rit comme une folle quand je la laissai tomber sur le lit et quand je m’installai au-dessus d’elle. Je blottis mon visage contre son cou et grognai. Elle se cambra immédiatement et frotta son corps doux contre le mien.
« Je t’aime, Megan. »
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