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Extrait ajouté par Milka2B 2013-11-11T17:42:49+01:00

- Élisabeth ? Liz ? Tu n’as pas mis de sucre dans ton thé, arrête de le tourner comme ça.

- Ah oui, pardon, tu disais ? Mon air faussement détaché ne devait pas paraître très convaincant.

- Je sais ça peut paraître abject, mais je te promets, je n’avais rien prémédité (c’est ça, mon œil !)… Tu me plais beaucoup… beaucoup (il insista sur le mot)… Tu es belle, intelligente, drôle (les violons maintenant…)… mais (ah ben, le voilà le mais, il lui en a fallu du temps) je ne suis pas pour toi ! Je ne suis pas un type bien tu sais (ça, tu me laisses en juger toute seule, coco)... je te ferais du mal (parce que là tu m’en fais pas peut-être). Tu mérites mieux que ça. Élisabeth (il chuchotait presque), regarde-moi, dis-moi que je suis un salaud, si cela te soulage. Dis quelque chose ou je te baise là tout de suite sur cette table ! (il avait parlé plus fort, toutes les têtes s’étaient retournées et nous regardaient).

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Extrait ajouté par Thuringwethil 2013-05-02T11:39:20+02:00

Je glissait, tétons à l'air, le long de ce torse imberbe, mordillant, léchant, suçant chaque centimètre carré de peau à la recherche du membre turgescent, objet de toutes mes convoitises. Je n'eus aucune difficulté à extirper la bête du panty, la tenant d'une main, imprimant un va et vient de l'autre et léchant le prépuce dans le même temps.

[...]

Je le pris à plein bouche, laissant glisser la langue le long du gland, montant, descendant. Les gémissements de mon amant accompagnaient ma progression et m'excitaient un peu plus.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-05-01T00:27:12+02:00

Cependant, nous avions notre petite routine de couple professionnellement actif. Si on peut écarter de la notion de routine, l’endroit dans lequel elle se déroulait. Parce que se lever dans l’appartement en penthouse de Sacha tous les matins pour aller travailler, prendre son petit déjeuner dans la cuisine aux parois de verre avec vue plongeante sur Manhattan qui se réveille, passer une demi-heure dans un dressing plus grand que mon ancienne chambre chez Maddie pour choisir une tenue parmi les dizaines neuves qui s’y trouvaient puis sauter dans une voiture avec chauffeur pour se rendre au bureau, n’était pas du tout la routine que j’avais pu imaginer pouvoir vivre avec un éventuel compagnon, le jour où je m’étais étalée de tout mon long en vélo devant la voiture de Sacha.

Tu parles d’une normalité, ça ressemble plutôt à un conte de fées !

Alors oui, nous avions ces petites attentions de couple fou amoureux qui rendent ces moments quotidiens moins routiniers… Hum si on considérait comme une petite attention le fait de trouver un diamant monté en pendentif dans un pain tout frais dégusté au petit déjeuner… Mais il y avait les choses plus simples, les regards enamourés, les effleurements affectueux quand nos corps partageaient le même espace, sa main repoussant une mèche de mes cheveux, la mienne redressant son nœud de cravate…

Non, la vie avec Sacha n’avait rien de comparable avec ce que j’avais pu rêver, tout simplement parce que Sacha n’avait rien de comparable avec aucun autre homme. Il parvenait à tout transformer. Le moindre regard, la moindre parole, pouvait se charger d’un sous-entendu sensuel auquel je ne savais pas résister.

Mais attention, dans la journée, chez Goodman & Brown, pas question de se laisser aller ! Sacha redevenait le patron rigoureux d’un cabinet juridique prestigieux et moi la jeune collaboratrice qui avait tout à prouver et qui avait de l’énergie à revendre, surtout pour me préserver de la prédatrice qui était encore dans les murs.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-05-01T00:22:55+02:00

– Si Ruppert signe avec Ong, darling, je te ferai jouir jusqu’à ce que tu perdes ton souffle…

Je m’étouffai avec une gorgée de champagne (Il avait dit « darling » ?)… et toussotai pour retrouver mon souffle.

– Inutile, je perds déjà mon souffle, lui dis-je en me tapotant le décolleté. Mais ne te gêne surtout pas… même s’ils ne signent pas !

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-25T12:11:34+02:00

Ses doigts experts se glissèrent dans la fente du fourreau et trouvère rapidement le chemin de mes cuisses. Ils ne s’y attardèrent pas, continuèrent leur progression vers mes fesses. Instinctivement je remontais une jambe autour de sa taille ce qui lui permit de prendre mon cul à pleine main. Ses doigts s’immiscèrent sous le tissu de ma culotte, longèrent la courbe de mes reins, puis fouillèrent mon intimité jusqu’à trouver le chemin de mon antre, largement lubrifiée. Je penchais la tête en arrière en gémissant, offrant ainsi mon cou à ses baisers. De sa main libre, il releva mes cheveux, pinça le lobe de mon oreille entre ses dents puis ramena ma tête vers lui. Je gémissais à nouveaux, ses baisers se dirigeaient vers ma bouche. Nos langues de rencontrèrent, son doigt s’activait sur mon clitoris, dur et gonflé. Sa queue aussi dure que mon clitoris frottait à m’en faire mal sur ma cuisse à chaque va-et-vient de son doigt. J’allais geindre, le suppliant mentalement de me prendre ici et maintenant quand son doigt relâcha subitement mon clitoris et sa bouche quitta la mienne.

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-25T12:11:13+02:00

Jupe noire ? Prune ? Au-dessus du genou ? Au-dessous ? Droite ? Ample ? Oh, et puis zut ! Je pris ce qui me semblait le plus basique, une pièce en flanelle grise qui tombait parfaitement sur les hanches, légèrement évasée dans le bas. Un chemisier blanc simple et efficace complétait la tenue. Bon ben voilà ! Je me regardais satisfaite dans le miroir, tournais et retournais sur la pointe des pieds. Manquait plus que les chaussures ! J’avais moi-même une paire d’escarpins noirs, portés deux fois en tout et pour tout. J’avais l’impression de marcher sur des œufs avec ça, mais je pense que Monsieur de Villiers n'apprécierait pas la jupe en flanelle avec les Converse ! Heureusement j’allais directement au cabinet le lendemain, je me serais mal vu arriver à la fac dans cette tenue ! Je me couchais en emportant dans mon lit un cours de droits sur les sociétés privées… et je sombrais après le deuxième paragraphe, rapidement rattrapée par des sexes en érection qui dansaient autour de moi. Décidément !

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-05-01T00:26:05+02:00

Elle redressa la tête comme une bête apeurée. Je me penchai et pris sa main dans les miennes. Doucement. Pour la rassurer.

– Gena, dites-moi, vous êtes sûre que Margaret vous a volé votre fils ? Vous êtes sûre que ce n’est pas vous qui avez confié votre enfant à votre sœur ?

Une lueur dans ses yeux.

– Et pourquoi aurais-je fait ça ? Vous êtes en train d’insinuer que j’aurais abandonné mon enfant ?

– Gena, vous avez peut-être été poussée à le faire parce que vous vous sentiez en danger, dis-je très lentement pour qu’elle ne s’affole pas et surtout pour qu’elle me comprenne bien.

Elle secoua la tête et c’était reparti avec ses « tss tss tss ».

– Non, répondit-elle fermement. Elle me l’a volé. Elle était jalouse. Jalouse de l’amour de Malcom.

– Et si justement vous aviez eu peur de Malcom, qu’il vous fasse du mal à vous et votre enfant ?, osai-je avec vraiment beaucoup de précaution.

– Vous dites n’importe quoi, chère demoiselle ! rétorqua-t-elle avant de me tourner le dos.

Bon, rien à faire, elle est dans son monde, Gena…

Je l’entendis marmonner « Petite sotte » et je crois bien que cela s’adressait à moi.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-05-01T00:24:05+02:00

– Natalia est une garce !

Il recula d’un pas. J’étais hors de moi.

– Natalia est une garce doublée d’une fourbe ! Elle manipule, elle torpille, elle fait du mal et, le pire de tout, c’est qu’elle prend son pied !

– Natalia a peur, Liz. Comme toi et moi, elle a peur de ce qu’elle ne connaît pas, sans savoir à quoi elle a affaire. Elle tient à notre amitié, elle a voulu m’éviter le pire.

On n’a pas dû voir le même film tous les deux…

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Extrait ajouté par Djczq 2015-04-25T12:11:21+02:00

Elle me déshabilla du regard, avec un « hum » plein de sous-entendus. C’est vrai que je n’avais pas du tout le même look que l’avant-veille ! J’avais trouvé dans la penderie de Maddie une robe en laine qui épousait parfaitement mes lignes que j’avais mixée avec un blazer en velours. Je n’avais pas osé à nouveau les talons, mais mes ballerines collaient parfaitement avec la robe. J’avais enroulé une longue écharpe en satin autour de mon cou et remonté ma tignasse en un chignon un peu fou, duquel des boucles, indomptables, s’échappaient.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2015-05-01T00:25:13+02:00

Helen se précipita vers moi dès qu’elle me vit passer devant son bureau.

– Liz, Liz, Sacha est là, me souffla-t-elle.

Je restai stupéfaite. Mon cœur se mit à battre à tout rompre, mes jambes se dérobèrent sous moi, mes mains tremblaient.

Sacha était là... mais ça faisait à peine une semaine qu'il...

Et soudain, il apparut dans le dos d’Helen, lentement, quelques dossiers sous un bras, appuyé sur une canne.

– Helen, je vais prendre ces deux dossiers avec moi, si tu veux bien m’en faire des copies...

Son regard s’arrêta sur moi qui restais figée sur place. Il y eut comme un vide dans ses yeux, puis un trouble, il inclina le visage d’un air interrogateur. Il n’avait pas l’air de savoir comment se comporter.

– Je... euh... Excusez-moi, vous êtes ?, me demanda-t-il, embarrassé.

Oh Sacha, mon Dieu, nous ne sommes pas des inconnus ! Comment te faire comprendre que nos corps se connaissent, que nous avons partagé tant d’intimité...

Comme je ne bougeais toujours pas et étais encore moins capable de répondre, Helen intervint :

– C’est Élisabeth Lanvin, M. Goodman, notre nouvelle collaboratrice française. C’est vous qui l’avez débauchée d’un cabinet parisien.

Sacha eut un petit sourire gêné. On aurait dit qu’il était pris d’un soudain vertige, comme si la tête lui tournait.

Sacha, rappelle-toi, le vélo, ma chute, comment tu m’as aidée à me relever et le soir même de quelle façon tu m’as embrassée... Je t’en prie...

Je lui tendis la main avec détermination, il fallait que j’amorce le contact et je me forçai à lui adresser un sourire sincère sans rien laisser paraître de mon désarroi.

Quand il prit ma main dans la sienne, mon corps fut parcouru de frissons et je compris aux tremblements de ses doigts contre les miens qu’il ressentait la même chose.

– Sacha, euh... Ravie de vous revoir parmi nous, monsieur Goodman, balbutiai-je.

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