Postmortem

Mon premier Patricia Cornwell, j'ai bien aimé, un bon Thriller ,bien écrit ,j'ai passé un bon moment lecture

Très bon thriller qui amorce la série de Kay Scarpetta, un des meilleurs de la série. On découvre le personnage de Scarpetta, son boulot atypique pour un thriller et on est vite pris dans l'enquête, on lâche pas le livre jusqu'à son sache qui est le meurtrier.

J'ai voulu lire le premier tome de la série "Kay Scarpetta". C'est amusant de revenir à l'âge des disquettes et des modems. Bon, le personnage central - Kay Scarpetta - me hérisse un peu et semble subir ce qui se passe. Elle se réfugie dans la cuisine quand elle est submergée par ses émotions. Un stéréotype des années 90 ?

En commençant ce livre, on est directement plongée dans l'enquête, mais ensuite elle n'avance plus beaucoup, puis elle est résolue très rapidement à la fin.

C'est le premier tome des aventure du Dr Scarpetta, la première rencontre avec ce médecin légiste. Une large place est faite aux personnages, ce qui est normal pour un premier tome j'imagine, pour découvrir la vie de Kay, ses relations avec les autres personnages, les enjeux de son travail... Mais c'est autant d'informations qui prennent le pas sur l'enquête.

J'ai bien aimé ce livre, mais sans plus. J'ai apprécié le personnage de Kay Scarpetta et j'ai trouvé intéressant d'avoir son point de vue, par contre, je n'ai pas réussi à adhérer complètement à l'histoire.

Pas mal pour un début avoir dans la suite.

Nouvelle enquête du Dr Scarpetta, médecin-légiste, sur les meurtres de femmes torturées mais qui n'ont aucun point commun apparent. Difficile quand on lui "met des bâtons dans les roues".

Une amie m'a prêté ce roman, première enquête de Kay Scarpetta.

Je me suis décidée à le lire et j'ai été déçue. En effet, cette enquête piétine, sans aucun suspense, pendant une bonne moitié du livre : petits différends entre collègues, histoire de piratage.

L'auteur décrit les similitudes entre les meurtres, les techniques compliquées de médecine légale.

Dommage sachant que ce livre a remporté à sa sortie cinq prix internationaux comme entre autre le prix "Edgar Poe", le prix "John Creasey Award" et le prix du roman d'aventures (vu en quatrième de couverture de version poche chez l'éditeur "Le livre de poche").

L’histoire est vue à travers le point de vue de l’héroïne, un médecin légiste Italo-Américaine, prénommée Kay. Déjà, je commence à tiquer : pourquoi l’auteur a-t-elle choisi tel un nom de famille ? Scarpetta signifie « petite chaussure ». Voulait-elle rendre un hommage à un auteur de l’art dramatique du début du siècle dernier réellement existé à Naples (Eduardo Scarpetta). Seulement, sa Kay est loin d’être comique. Tranquille, posée, sérieuse, elle ne joue pas dans le registre de la comédie. Bien au contraire, femme intelligente et responsable de son département, elle est en proie au machisme. Les hommes veulent le pouvoir et n’admettent pas la présence féminine et surtout son efficacité. Quelqu’un en veut à Kay et fait tout pour la discréditer… Cette personne malveillante profite des crimes violents et affreux d’un tueur en série (qui finira même par s’en prendre à Kay) somme toute très banal et sortant presque comme un lapin d’un chapeau. Le rythme du roman est lent. Néanmoins, malgré cela, le texte est intéressant. En plus, j’ai apprécié les personnages : Kay, la femme lucide, glaciale, mais sensible, Lucy, la nièce adolescente compétente en informatique, Marino le policier qui semble au début antipathique mais qui cache une certaine humanité. Ce livre se laisse lire.

Dans ce roman, on fait la connaissance de Kay Scarpetta et de sa nièce...un bon début de série policière.

Les personnages sont complexes et intéressants, c'est un plaisir de les découvrir et ça donne envie de suivre leurs aventures.

Je n'ai pas du tout aimé ce roman. Je suis pourtant fan des thrillers et autres policiers, mais là je n'ai vraiment pas été passionnée par ce livre. C'est pourtant une série qui a beaucoup de succès...

J’essaierai peut-être un second livre de cette série...