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La guerre civile espagnole a inspiré à Ernest Hemingway un de ses plus dramatiques et célèbres romans : Pour qui sonne le glas. Le film qui en a été tiré, et dont Ingrid Bergman et Gary Cooper étaient les héros, étendit encore sa très grande popularité.
Un pont, dans la montagne de Castille, doit sauter : il faut couper la route à l'armée franquiste. Pour cette mission précise, Robert Jordan, jeune Américain enrôlé volontaire dans les rangs républicains, rejoint un groupe de maquisards espagnols parmi lesquels se trouvent deux femmes : la terrible Pilar et la tendre Maria pour laquelle Jordan va immédiatement éprouver une vive passion.
L'amour suspendra le temps, éloignera la solitude et fera oublier la mort.
Nul homme n'est une île complète en soi-même ; tout homme est un morceau de continent, une part du tout ; si une parcelle de terrain est emportée par la mer, l'Europe en est lésée, tout de même que s'il s'agissait d'un promontoire, tout de même que s'il s'agissait du manoir de tes amis ou du tien propre ; la mort de tout homme me diminue, parce que je suis solidaire du genre humain. Ainsi donc, n'envoie jamais demander : pour qui sonne le glas ; il sonne pour toi. JOHN DONNE
J'ai lu ce livre à une époque où le guerre d'Espagne ne constituait pour moi qu'une guerre théorique. Dans ce cadre de guerre en dentelles, l'auteur déroule son récit émaillé de dynamitages, de coups-de-main et d'amourette. Même la mort du héro sera belle et glorieuse, mais n'est-ce pas une constante chez Hemingway?
De ce superbe roman romanesque d'aventure n'est venu l'envie d'en connaître plus sur cette guerre, je lus donc l'Espoir de Malraux. Depuis lors ces deux romans sont indéfectiblement liés dans mon esprit, l'un pour sa frivolité, l'autre pour son analyse politique.
J'ai lu ce livre car il parlait de la guerre civile en Espagne. En effet, ce sujet m'intéressait car mon grand père y a participé en tant que Républicain et en est mort. Je voulais donc en savoir plus sur cette période.
Je n'ai pas lu la 4ème de couverture ni la première page qui introduit le livre par une présentation de l'auteur et heureusement car le livre y est résumé ! Quel intérêt ensuite de lire le livre ! Pourquoi l'éditeur a-t-il fait cela ? J'ai bien fait d'attendre d'avoir fini le livre pour le lire.
Le livre est bien écrit mais un peu long, il n'y a pas trop d'action sauf à la toute fin. J'ai quand même passé un bon moment de lecture.
Un classique...pas évident à lire, pleins de détails, mais qui font la force de ce livre. ! Un livre dont l on se souvient longtemps apres...! La guerre et l'amour et un foutue pont à faire sauter...!
Un roman que j'ai récupéré chez mes grands-parents et que ma Maman a pu lire dans les années 80. Et même si le résumé me tentait bien, je ressors un peu mitigée…
L'histoire est celle de Robert Jordan, un professeur américain engagé dans les Brigades internationales envoyés en Castille pour faire sauter un pont. Cette offensive républicaine est imminente et il faut se préparer à cette attaque. Notre professeur aura trois jours pour le faire et, en même temps, il partagera son quotidien avec les guérilleros…
Parfois sortir de sa zone de confort permet de découvrir de belles lectures et parfois, cela ne le fait pas. Cela est le cas avec cette histoire. En effet, la période de la guerre et les situations de guerre sont très éloignées de ce que l'on vit actuellement. Et, dans les romans que je lis, j'ai besoin de m'identifier à la situation, ce qui n'a pas été le cas ici. Pourtant, l'histoire est intéressante avec un quotidien que l'on n'a pas l'habitude de découvrir dans les livres d'histoire. Mais cela ne l'a pas fait avec moi.
La fin est comme on aurait pu s'y attendre. Finalement, on suit une toute petite partie de l'histoire de Robert Jordan, peut-être la plus marquante. Néanmoins, cela m'empêche de réellement apprécier ce personnage.
Du côté des personnages, il y en a vraiment beaucoup. Cependant, le point commun entre chaque, pour moi, c'est que je n'ai pas réussi à m'attacher à eux… En effet, j'ai besoin d'une identification aux personnages pour les apprécier et cela n'a pas été le cas ici pour plusieurs raisons. Tout d'abord, les personnages sont nombreux, donc il est difficile d'apprendre réellement à les connaître. Ensuite, nous n'avons pas vraiment leur ressenti, ni leur histoire. Cela est rédhibitoire pour ma part. Enfin, je pense que la différence de vision du monde m'a empêché de réellement les comprendre.
Concernant la plume de l'auteure, elle est très descriptible. Et parfois, cela m'a vraiment dérangé, car j'avais l'impression qu'il y avait des longueurs qui ne faisaient pas avancer l'histoire.
Une lecture mitigée avec une histoire intéressante, mais j'ai eu l'impression d'être seulement spectatrice de cette dernière…
Un bon livre, bien écrit et faisant le témoignage d'une période très importante et pas forcément très connue, en plus d'être agrémenté d'une histoire d'amour très émouvante.
Je n'avais jamais lu Hemingway et je me suis dit que c'était l'occasion.
Pour être honnête je suis un peu en difficulté pour rendre un avis.
Je ne peux pas dire que j'ai adoré mais je n'ai clairement pas "pas aimé "
C'est très bien et pourtant assez simplement écrit (ce qui me plait beaucoup) et on reste touché et accroché jusqu'à la dernière page.
Les personnages sont parfaitement rendus dans toutes leurs différences et souvent leur ambivalence.
Et je pense que ca rend bien une des réalités de cette "guerre" très particulière
Pourtant j'avoue avoir eu l'impression de passer totalement a côté de ce qui a bouleversé tant de lecteurs.
Paradoxalement je suis contente d'en avoir enfin terminé et de pouvoir cocher la case livre et auteur lu comme si ca avait été une corvée... et j'ai en même temps l'envie de tenter une autre lecture d'Hemingway pour trouver le petit truc qui m'a manqué.
En fait pour moi ce livre a été une promesse non tenue je crois... au début j'étais vraiment sous le charme mais quelque part je me suis perdue.
Une espèce de huit-clos en plein-air. Une fraction de temps magistralement contée. J'avoue mon ignorance en ce qui concerne la guerre civile espagnole, mais ce roman m'a donné envie de m'y intéresser.
La profondeur des personnages m'a particulièrement frappé. Le style d'Hemingway et sa maitrise du récit m'ont happé en quelques pages.
Hemingway est devenu mon auteur américain préféré grâce à ce roman génial. Pas très évidement à lire, mais après, c'est une histoire super et très addictive.
Pour dire vrai, j'ai lu cet ouvrage il y a longtemps et par ailleurs, la période de la seconde guerre mondiale est tellement galvaudé et mise à toutes les sauces que je refuse de lire quoi que ce soit qui s'y rapporte. Mais pour qui sonne le glas, outre le fait que l'action se déroulle en espagne à la période juste avant guerre, revêt un accent de vérité et de tragique à côté duquel il ne faut pas passer. Un peu comme "A l'Ouest rien de nouveau" pour bien saisir la réalité de la première guerre mondiale.
Un classique qu’il faut avoir lu. On s’attache vite aux personnages en leur donnant tout notre espoir. L’écriture fait qu’on se retrouve dans la tête du personnage principal ce qui nous implique encore plus dans cette histoire tragique.
Résumé
La guerre civile espagnole a inspiré à Ernest Hemingway un de ses plus dramatiques et célèbres romans : Pour qui sonne le glas. Le film qui en a été tiré, et dont Ingrid Bergman et Gary Cooper étaient les héros, étendit encore sa très grande popularité.
Un pont, dans la montagne de Castille, doit sauter : il faut couper la route à l'armée franquiste. Pour cette mission précise, Robert Jordan, jeune Américain enrôlé volontaire dans les rangs républicains, rejoint un groupe de maquisards espagnols parmi lesquels se trouvent deux femmes : la terrible Pilar et la tendre Maria pour laquelle Jordan va immédiatement éprouver une vive passion.
L'amour suspendra le temps, éloignera la solitude et fera oublier la mort.
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