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Extrait ajouté par ilovelire 2018-02-13T20:39:05+01:00

ZACH prit la porte sud trop vite, son ouverture à peine assez large pour la moto alors qu’il passait beaucoup trop rapidement, comme s’il pouvait fuir la morsure acide de la panique qui lui brûlait le fond de la gorge. Il gravit la côte vers le garage à plus de 100 km/h, et dérapa pour s’arrêter sous l’auvent du porche, éteignit la Ducati, et courut dans les escaliers pour entrer dans son appartement en claquant la porte derrière lui, puis s’arrêta finalement, sa poitrine se soulevant rapidement comme s’il avait couru tout le chemin depuis le bar. Il ôta son blouson et le balança sur une chaise, puis se jeta sur le canapé et laissa la crise de panique le submerger. Le psy lui avait toujours dit de ne pas la combattre, de laisser passer l’anxiété le balayer et le traverser, mais c’était plus facile à dire qu’à faire. Ce foutu psy n’avait sans doute jamais eu de crise d’angoisse, jamais su ce qu’on ressentait quand on était convaincu qu’on était en train de mourir, que la peine incroyable dans la poitrine était une crise cardiaque, que la tourmente dans le cerveau était une attaque cérébrale ou que finalement on avait dépassé le seuil de la folie ... Il trembla violemment, la sueur suintant sur sa peau moite et des larmes coulant de ses yeux troublés. Il sanglota, frissonna et pleura hystériquement.

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