Extraits

- Non. Non, je... J n'ai pas besoin de lui. Mais j'ai envie d'être avec lui. Chauqe parcelle de mon corps en a envie... même si lui ne le veut pas, pas de la même façon en tout cas.

- Eh bien, alors, montrez-lui ce qu'il rate! lance Mme Gallagher en ramassant son sac à main au pied de son bureau avant de la passer à son épaule. J'ai un déjeuner tardif aujourd'hui. Vous pouvez rester ici quelques minutes si vous avez besoin de passer un appel personnel.

« J'inspire à pleins poumons, je sens mon visage rougir à la fois d’excitation et de honte. Ça me semble si mal de dire ce genre de choses à haute voix. »

- Est-ce que vous avez déjà cuisiné pour quelqu'un avant aujourd'hui ?

J'aurai pu me retenir de poser la question, mais j'ai envie de savoir.

- Non.

Je tressaille en mon for intérieur, je m'attends à ce qu'il se replie sur lui-même. Mais après une très longue pause, il se penche vers moi et dépose sur mes lèvres un baiser plus léger qu'une plume.

- Maintenant, mangez ! m'ordonne-t-il en portant une nouvelle fourchette à ma bouche. Vous allez avoir besoin de forces. Je n'en ai as encore fini avec vous ...

Je sens des dernières digues, celles que j'avais réussi à maintenir en place, celles qui protégeaient mon cœur, céder d'un coup quand la fourchette passe mes lèvres.

Je suis foutue.

Le coup me brûle. Ce n'est pas aussi douloureux que d'être fessée, mais plus intense. J'écarquille les yeux en pensant qu'il reste encore neuf coups. Malgré la douleur, mon excitation est à son comble.

Je compte les coups, et la douleur augmente à chacun d'eux. Au dixième, ma voix tremblote, les larmes brouillent ma vue. Je ne suis pas sûre de pouvoir en supporter plus.

Pourtant, je mouille de plus en plus, mon clitoris est brûlant de désir. J'ai tellement envie de lui que j'en tremble. Ce n'est pas la première fois que Zach fait naître en moi un tel mélange de sensations - un mélange extrêmement étrange, mais ça n'avait jamais été aussi intense.

- Dix ! dis-je en sanglotant, chaque nerf de ma peau à vif.

Je suis soudain absolument consciente de mon corps, d'une façon que je n'avais encore jamais expérimentée. Et je ne trouve pas ça très confortable.

- C'est très bien, me félicite Zach en passant la main sur ma peau échauffée.

Je m'écarte, non pas en raison de la douleur, mais parce que je ne suis pas sûre de supporter une stimulation supplémentaire, quelle que soit sa nature.

- Regardez-moi ce cul ! Si joli, si rose... Vous vous en êtes très bien sortie. Vous êtes prête pour la suite.