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Sur la planète Trantor, capitale de l'Empire galactique, un jeune mathématicien, Hari Seldon, vient d'inventer la psycho-histoire, une analyse du comportement humain qui permet de prédire l'évolution future de la société.
Il pense que ce n'est qu'une spéculation sans application pratique, mais l'empereur Cléon, qui sait combien l'Empire est fragile, pense que la psycho-histoire peut infléchir l'avenir.
Sommé de se mettre au service du pouvoir en place, Seldon préfère s'enfuir en compagnie d'une belle historienne, Dors Venabili. Le voilà errant dans les dédales de Trantor, la cité-planète. Il y découvre une multitude de communautéq isolées, farouchement attachées à leur autonomie. Pour lui, c'est le terrain d'expérimentation idéal qui va lui permettre d'affiner sa théorie.
Il n'est que temps : l'Empire va s'effondrer, miné par ses contradictions. Et Seldon vient d'avoir une idée colossale : créer une fondation pour manipuler l'histoire et réduire la durée du Moyen-Age galactique qui s'annonce.
« Pourquoi, se demanda-t-il, tant de gens passent-ils leur vie à éviter de trouver les réponses aux questions - et en premier lieu à éviter les questions ? » N'y avait-il pourtant rien de plus excitant que de chercher des réponses ?
Face à cet intérêt pour Fondation de la part de nombreux amis et également face à un regain d'intérêt pour la SF suite à la lecture de La Main gauche de la nuit (U. Le Guin), je n'ai pu moi-même résister à la tentation d'acheter Prélude à Fondation.
Ce livre n'est qu'une partie d'une oeuvre vaste, et pas le premier écrit, il est donc difficile de l'apprécier (j'entends, de le commenter) de façon juste, sans avoir lu également les autres. Toutefois cette première découverte d'Asimov, la qualité, l'originalité épatante de l'intrigue et de l'univers ici développé me conduisent vers l'irrésistible envie de lire les autres livres, ce qui me permettra donc à terme de comparer ce premier tome à ce qu'est capable de réaliser l'écrivain.
Il est intéressant de voir les débuts de la psychohistoire. De voir comment Hari Seldon en est venu à la mettre en place. Selon moi, il est préférable de lire cette partie du cycle après les autres tomes de fondation.
Beaucoup de personnes m'avaient conseillé de suivre l'ordre chronologique du cycle de Fondation par rapport aux événements de la série. Cela peut faire débat, mais le fait d'avoir suivi l'ordre de parution du cycle m'a un peu gâché la surprise. C'est dommage, les révélations de la fin auraient été bien plus surprenantes si j'avais écouté ces recommandations.
Moins migraineux que Terre et Fondation et donc plus appréciable selon moi côté interactions des personnages.
On abandonne par contre cette fois le voyage dans l’espace pour se concentrer sur une seule et unique planète : Trantor. En bref, ca change, ce n’est pas moins bien, c’est différent. En outre, j’ai beaucoup apprécié la mention à Fondation vers la fin du roman, moins les deux dernières pages autour de la « romance » du livre.
Lecture entamée après avoir visionné la série télé afin de mieux appréhender la psycho-histoire et le personnage de Sheldon.
Ce tome retrace notamment la "jeunesse" de Sheldon (25 - 40 abs) et les prémices de sa fameuse psycho-histoire.
Je m'attendais à une lecture assez rébarbative et au final c'est tout le contraire.
L'écriture est fluide, simple et l'histoire est vraiment prenante.
On suit les personnages de Hari Seldon, Chetter Hummin, Dors Venabili, Raych avec grand plaisir. Des intrigues, un peu de religion, de politique, d'histoire, de romance, une description de Trantor ...., la relation entre Hari et Dors est bien mise en avant et nous donne vraiment envie de lire la suite.
Personnellement j'ai lu les livres dans l'ordre de publication des tomes (et non l'ordre chronologique de l'histoire) et je conseille aux lecteurs voulant éviter certains spoilers de suivre l'ordre de parution (qui n'est pas celle suivie sur Booknode). Ainsi j'ai lu le Prélude apres Terre et Fondation et je ne le regrette pas car cela m'éclaire sur pas mal de sujet (surtout la fin du tome Terre et Fondation).
Je vins de finir « Prélude à Fondation » et j’ai personnellement fort apprécié.
C’est mon tout premier livre d'Isaac Asimov et j’ai grande hâte de découvrir la suite du cycle. Incroyable de se dire que le roman est paru en 1988.
Les personnages sont crédibles, complexes, attachants.
On se laisse agréablement prendre par l’intrigue qui ne manque pas de faire réfléchir. Le récit est remarquablement bien écrit, facile à lire, fluide, très actuel.
Les rebondissements se tiennent, ils sont sensés et parfois inattendus (et rien n’est laissé au hasard)
Quelle joie d’évoluer aux côtés de Hari Seldon, Chetter Hummin, Dors Venabili, Raych, …
Quelle joie aussi de découvrir tout ces lieux et secteurs (Spoiler(cliquez pour révéler)Domaine impérial, Université de Streeling, Mycogène, Dahl, Billibotton, Kan, …), d’emprunter ces transports différents, de se balader sur Spoiler(cliquez pour révéler)la Couverture, du côté des Spoiler(cliquez pour révéler)puits thermiques, …
J'ai adoré la chute comme toujours exceptionnelle ! Spoiler(cliquez pour révéler) J'ai beaucoup apprécié le retour des robots dans ce tome et la façon dont il arrive à faire le lien entre tous ses écrits. La qualité de l'écriture est évidemment au rendez-vous. Sans aucun doute, Asimov est l'un de mes auteurs préférés !
Résumé
Sur la planète Trantor, capitale de l'Empire galactique, un jeune mathématicien, Hari Seldon, vient d'inventer la psycho-histoire, une analyse du comportement humain qui permet de prédire l'évolution future de la société.
Il pense que ce n'est qu'une spéculation sans application pratique, mais l'empereur Cléon, qui sait combien l'Empire est fragile, pense que la psycho-histoire peut infléchir l'avenir.
Sommé de se mettre au service du pouvoir en place, Seldon préfère s'enfuir en compagnie d'une belle historienne, Dors Venabili. Le voilà errant dans les dédales de Trantor, la cité-planète. Il y découvre une multitude de communautéq isolées, farouchement attachées à leur autonomie. Pour lui, c'est le terrain d'expérimentation idéal qui va lui permettre d'affiner sa théorie.
Il n'est que temps : l'Empire va s'effondrer, miné par ses contradictions. Et Seldon vient d'avoir une idée colossale : créer une fondation pour manipuler l'histoire et réduire la durée du Moyen-Age galactique qui s'annonce.
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