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Des coureurs de montagnes et des escaladeurs de cimes, il y en a toujours eu chez les Servettaz comme dans les autres familles de la région de Charnonix - et depuis que la vogue de l'alpinisme amène en Savoie des « monchus » désireux de vaincre les sommets, on est aussi guide de père en fils mais, parce qu'il connaît trop bien les dangers du métier, Jean Servettaz a décidé de préparer le sien à devenir hôtelier.
Cela n'a pas empêché Pierre de s'entraîner et d'être un fin grimpeur.
Aussi est-il un des volontaires de la cordée qui doit descendre le corps de son père tué par la foudre pendant un orage au retour d'une course dans les Drus.
La neige et la glace rendent l'expédition presque impossible.
Pour avoir voulu forcer quand même un passage, Pierre tombe.
Il ne se relèvera de son lit d'hôpital que plus résolu à ne pas s'enliser dans la vie d'homme des plaines.
Il sera guide comme son père.
Il découvre alors que son accident lui a laissé une terrible séquelle : le vertige.
Un prodigieux effort de volonté et l'aide de ses camarades lui permettront pourtant de répondre enfin à l'appel envoûtant des hauteurs.
Un appel qui résonne tout au long de ce récit où sont merveilleusement évoqués la rude existence des montagnards et le site grandiose où ils vivent.
- La vie doit être une lutte continuelle. Malheur à ceux qui ne combattent pas ! qui se laissent aller aux choses faciles ! J'ai bien failli devenir un de ceux-là, oncle ! et quand je songe au bourbier dans lequel je m'enfonçais, j'en frissonne de dégoût.
Un livre que je relirai avec plaisir ! Une toile de fond garnie des plus beaux paysages et sommets des Alpes qui nous fait voyager et découvrir le mode de vie de alpinistes au début du XXeme siècle. Bien que daté de 1941, ce livre n'a pas vieilli. Tous les personnages sont attachants, dans leur jus et sans manichéisme.
La morale qui en découle et le sujet sérieux du dépassement de soi malgré les difficultés, de faire son deuil et continuer de vivre sans abandonner est bien traité.
Le style d'écriture m'a beaucoup plus, détaillé de termes techniques et géologiques, on y voit bien que Frison-Roche est du métier ce qui aide à apporter une immersion complète sur les cimes où on est transporté grâce à ses personnages. Les émotions ne sont pas en reste et bien dosées.
Bref j'aimerais en lire plus de cet auteur ! Je vais poursuivre ma quête ;)
C'est ma mère amatrice de sports d'hiver qui m'avait fait découvrir ce roman, quand j'étais môme et commençais à m'intéresser à la littérature, avant que le collège m'en dégoûte avec les lectures imposées.
Lu collégienne. Mais ce n'est pas le collège qui me l'avait fait connaître, mais ma mère, amatrice de varappe lorsqu'elle était jeune fille. Un livre que j'ai précieusement conservé et transmis !
Je découvrais l'univers de l'escalade et des guides de montagne. Mais au-delà du cadre, c'est l'histoire d'une famille, de la transmission d'une passion, du courage, de la solidarité et du dépassement de soi. Je me souviens des engelures, la peur de la mort imminente, de l'acceptation face aux risques encourus, à l'impitoyable force des éléments...
Roman lu au tout début de mes études secondaires. Je me souviens encore avoir été marqué par ce récit d'aventure peu commun qui parvenait à nous tenir en haleine. L'écriture détaillé m'avait frappé.
En ce moment, étant dans mon délire "chaine du Montblanc", je me suis mise à lire la trilogie Premier de Cordée/ La grande crevasse/ Retour à la montagne et j' ai été plongée dans ces livres comme si c' était les histoires que me racontait mes grands parents.
J' ai beaucoup aimée dans ce livre l' histoire de Pierre qui, à cause d' une perte d' un de ses proches à causes de la montagnes, à le vertige et fait donc de la rééducation pour réaliser son rêve. J' adore toutes les descriptions de la montagne et des grandes courses.
Bref, amoureux de la montagne, je vous le conseil fortement.
Résumé
Des coureurs de montagnes et des escaladeurs de cimes, il y en a toujours eu chez les Servettaz comme dans les autres familles de la région de Charnonix - et depuis que la vogue de l'alpinisme amène en Savoie des « monchus » désireux de vaincre les sommets, on est aussi guide de père en fils mais, parce qu'il connaît trop bien les dangers du métier, Jean Servettaz a décidé de préparer le sien à devenir hôtelier.
Cela n'a pas empêché Pierre de s'entraîner et d'être un fin grimpeur.
Aussi est-il un des volontaires de la cordée qui doit descendre le corps de son père tué par la foudre pendant un orage au retour d'une course dans les Drus.
La neige et la glace rendent l'expédition presque impossible.
Pour avoir voulu forcer quand même un passage, Pierre tombe.
Il ne se relèvera de son lit d'hôpital que plus résolu à ne pas s'enliser dans la vie d'homme des plaines.
Il sera guide comme son père.
Il découvre alors que son accident lui a laissé une terrible séquelle : le vertige.
Un prodigieux effort de volonté et l'aide de ses camarades lui permettront pourtant de répondre enfin à l'appel envoûtant des hauteurs.
Un appel qui résonne tout au long de ce récit où sont merveilleusement évoqués la rude existence des montagnards et le site grandiose où ils vivent.
Source : Le Livre de Poche, LGF
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