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En tout cas, je suis prêt à me battre jusqu'à la mort contre celui qui voudrait vous prendre à moi
Afficher en entierSa sœur était allongée sur le lit, si belle et tellement triste !
A cette vue, son cœur se serra.
Afficher en entierSi vous avez besoin d'un protecteur, vous pouvez compter sur moi.
Afficher en entierAlors, sa fierté, qui lui avait toujours donné la force d'agir dans les moments difficiles, vint une fois de plus à son secours.
Afficher en entier-Qu'y a-t-il? fit-elle, alarmée. Que se passe-t-il? Que ... faites vous ici?
En guise de sourire, il eut une sorte de rictus.
-Je crois que je suis bien trop vêtu.
Afficher en entier-Diable !fit-il d'un ton ulcéré. Vous pousseriez n'importe qui à la folie !
Afficher en entier-Vous me déconcertez, miss Langford. Vous êtes la seule jeune fille avec qui j'aie jamais dîné qui m'ait parlé de la sorte... Mais je suppose que ce sont vos lectures qui vous ont mis toutes ces idées en tête !
-Il m'est difficile de croire,Mr Fane, que vous ayez fréquemment dîné en tête à tête avec des jeunes filles de mon âge, et encore moins dans des circonstances semblables à celles qui nous réunissent aujourd'hui.
-En effet.
Afficher en entier-Sapristi ! s'écria-t-il, furieux.Vous auriez pu vous tuer ! Avez vous perdu la tête ?
D'un geste nerveux il abbatit sa cravache sur les épaules de la jeune fille, puis la jeta. Elle poussa un cri de surprise et de douleur. Alors il l'attira brusquement contre lui et l'embrassa.
Afficher en entierElle se tut et remarqua alors l'expression de Magnus Fane: l'étonnement le plus complet se lisait dans ses yeux.
-Qui vous a dit cela ? interrogea-t-il avec brusquerie. Qui vous a parlé de moi ?
Le son de cette voix, dure et cassante, ramena Delysia de la songerie où son esprit s'attardait, s'efforçant d'imaginer le vrai Magnus Fane...
-Personne, répondit-elle en rougissant. Je... n'ai parlé de vous avec personne... On m'a simplement dit que vous étiez un individu mystérieux "Mi-ogre, mi-démon", et que ceux qui vous connaissaient vous redoutaient.
Elle poursuivit pour achever de le convaincre de sa sincérité :
-Vraiment, quand je vous ai vu pour la première fois, j'ai été étonnée.Je vous prenais pour un vieillard chenu.
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