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Liste des extraits

Extrait ajouté par shanaslibrary 2024-02-07T16:00:03+01:00

Sa tête était pleine de cris d'hommes et de femmes aux visages tordus par la terreur, suppliant qu'on épargne leur vie, hurlant à l'aide. Il entendait les rires de ses compagnons et sentait l'odeur du sang dans ses narines [...] Il se ressaisit et revint à la réalité [...] Il posa la main sur son sexe. Il bandait.

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Extrait ajouté par Jean-Michel-12 2021-07-25T11:58:46+02:00

Carl le suivait des yeux en se demandant ce qu’il fichait là.

- Ils n’ont pas trouvé de cadavres, lui lança Carl alors que Marcus Jacobsen saluait de la tête ses collègues de l’autre côté de la bannière défoncée.

- Salut Carl ! Tu as une minute s’il te plait, je voudrais que tu viennes avec moi, lui dit-il quand il l’eut rejoint. On a trouvé la droguée que tu cherches. Et elle est très très morte.

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Extrait ajouté par Jean-Michel-12 2021-07-25T11:58:11+02:00

Il s’allongea, les bras derrière la nuque, et contempla le plafond, imaginant Mona Ibsen en train de se glisser toute nue sous sa couette. S’il ne se dépêchait pas de conclure, ses couilles allaient se flétrir comme de vieilles pommes. Avec Mona Ibsen ou avec n’importe quelle fille d’un soir draguée dans un bar, mais il fallait qu’il s’envoie en l’air. Sinon, autant s’enrôler comme agent de police anti-émeute en Afghanistan. S’il devait perdre les deux balles qu’il avait dans sa culotte faute d’exercice, autant aller en prendre une dans la tête là-bas.

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Extrait ajouté par Clarisseay 2019-08-20T19:34:21+02:00

- Ouais !" Sil était possible d'exprimer avec un mot aussi court le reproche, la lassitude, la froideur et un prodigieux agacement à être dérangée pendant l'exécution d'une tâche de la plus haute importance, Rose y était indéniablement parvenue.

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Extrait ajouté par Clarisseay 2019-08-19T22:16:15+02:00

Les deux Mister Hyde pouvaient céder la place aux Docteurs Jekyll

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Extrait ajouté par Clarisseay 2019-08-13T01:03:15+02:00

Le mauvais côté des vacances, c'est qu'un jour elles se terminent.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-03-22T19:24:01+01:00

1) "Carl était comme ça et il l'avait toujours été. Personne n'avait le droit de le commander, et c'est ce qui le rendait si facile à manipuler."

2) "Et quand elle en eut fini avec lui, elle s'attaqua à des proies plus difficiles. Elle n'avait que l'embarras du choix. Elle n'avait peur de rien ni de personne."

3) "Carl fit une grimace et ferma les yeux. Le silence peut être une vertu, l'omerta est un vice. Un sacré putain de vice."

4) "Elle savait mieux que quiconque ce que cela signifiait de se sentir souillée, et elle ne pouvait plus s'en passer."

5) "Les puissants vivent de l'impuissance des faibles, dit-on. Mais leur propre impuissance les gouverne parfois."

6) "Un objet pour chaque vie qu'ils avaient prise. Comme les scalps pour les Indiens. Les oreilles et la queue du taureau pour les toreros. Comme les cœurs que les Incas arrachaient à leurs victimes."

7) "Personne au monde n'a aussi mauvaise mine qu'un flic qui a accumulé les échecs, à part un avocat qui a accumulé les victoires."

8) "Ses cheveux étaient emmêles et pleins de poussière, et son regard si insondable qu'il devait contenir toute la peine et tout le chagrin du monde."

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Extrait ajouté par Stephanelefort 2016-12-20T16:57:31+01:00

Marcus Jacobsen, le chef de la brigade criminelle, était un homme désordonné et cela ne l’incommodait pas. Le désordre n’était qu’apparent. Intérieurement, Marcus Jacobsen était très organisé. Dans sa pensée bien structurée, les choses étaient à leur place. Il n’oubliait jamais le moindre détail, et même à dix années d’intervalle, il était capable de se le remémorer avec une précision parfaite.

Il n’y avait que lorsque son bureau se trouvait soudain envahi par ses collaborateurs, doués d’un sens aigu de l’observation, et qui avaient dû se faufiler entre des tables à roulettes branlantes et des montagnes de documents, qu’il prenait conscience du capharnaüm avec une certaine contrariété.

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Extrait ajouté par Maks 2016-01-25T01:38:59+01:00

D’ailleurs il n’avait plus envie de voir quoi que ce soit. Ils pouvaient faire de lui ce qu’ils voulaient, et si possible avant de lui infliger la vision de ce qu’ils avaient fait à son ami.

L’un des trois éclata de rire. Un grand rire qui venait du ventre et qui se communiqua aux deux autres. Ce fou rire macabre força Carl à fermer les paupières aussi fort que le lui permettait le chatterton sur ses yeux.

Comment pouvait-on se réjouir ainsi de la souffrance et de la mort de son prochain ? Comment ces hommes en étaient-ils arrivés à un tel degré de démence ?

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Extrait ajouté par Maks 2016-01-23T21:13:59+01:00

Passer devant cette étude sans s’y arrêter était aussi difficile que de résister à toutes les tentations citées dans la Bible. Il entendait presque le diable ricaner dans son dos. Mais s’il succombait, s’il sonnait à cette porte et demandait à parler à Bent Krum, il aurait la directrice de la PJ au bout du fil en moins de dix minutes. Et ce serait la fin de Carl Mørck et du département V.

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