Les extraits appréciés par Cle-mencia

Le Renard : Très bien, je ne peux faire que plaisir à une si charmante apparition ! Adieu, donc !
Maud : C'est horrible... Je le rencontre enfin... et je suis parmi les cochons...
Afficher en entierIl doit y avoir une morale à cette histoire mais pour l'instant, j'ai du mal à la saisir...
Afficher en entierElle se meurt, je vis.
Douce ritournelle se disputant notre infini.
Plus rien d’autre n’existe dans ce lit. Dans ces draps froissés par notre sinistre opéra, par le ballet de nos silhouettes affamées.
Rien à part mes doigts enfoncés dans sa chair. Ces bourreaux qui compriment inexorablement sa trachée, qui la vénèrent à la tuer.
Mon sexe accélère, ma main se desserre.
Épargnée par ma clémence, sa gorge rougit de plaisir tandis qu’elle inhale notre funeste parfum érotique. Sa peau s’en imprègne, capture notre essence à en intoxiquer ses bronches.
C’est ça, respire mon ange.
Inspire-moi. Expire-toi.
Afficher en entierOn ne peu pas proférer des menaces pour s'enfuir juste après, Catalina. C'est mauvais pour le charisme.
Afficher en entierJe passe la main dans les cheveux doux de l’homme et murmure, haletante :
— Comment tu t’appelles ?
— Est-ce que ça compte ? dit-il en plaquant sa bouche sur ma nuque, entre deux inspirations.
— Il faut bien que je gémisse un prénom quand tu feras plus que de me « bouger », apparemment.
Il se met à ricaner, là tout contre ma peau. Ses lèvres me chatouillent et un rire m’échappe aussi.
Afficher en entierIl avait eu dans son lit un nombre incalculable de femmes. Des humaines, des Fae, des femmes sublimes comme d'apparence bien plus modeste. Des prostituées aux nobles, il avait voulu goûter les femmes comme un poète goûtait les mots.Spoiler(cliquez pour révéler) Mais jamais il n'avait vécu quoi que ce fût de similaire à ce qu'il venait de vivre avec Lyhra.
Il craignait de mettre un mot sur ce qui faisait battre son cœur, de qui l'adoucissait Spoiler(cliquez pour révéler)quand il regardait l'entité des Tréfonds dans son lit. Mais au fond il savait.
Afficher en entierAsher m’attire à lui. Il referme ses bras autour de moi, son menton dans mes cheveux.
— Tu es stupéfiante, déclare-t-il. Mais si tu ignores une fois de plus un de mes ordres, je te ligote et je te traite en prisonnière. Compris ?
Un long frisson remonte le long de mon dos quand ses mains s’enroulent autour de mes poignets, qu’il bloque dans mon dos. Son souffle effleure ma joue alors qu’il se penche. Un incendie se déclenche au creux de mes reins, quand une image précise s’impose : moi, les mains prisonnières des siennes au-dessus de la tête, son corps lourd sur le mien et nos yeux aimantés l’un à l’autre, nos respirations mêlées, haletantes, et ses coups de reins profonds qui m’obligent à me mordre les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Je secoue la tête pour dissiper cette illusion gênante.
— Ne me donne plus d’ordre, si tu veux être certain que je n’y désobéisse pas, me forcé-je à répondre. Je n’ai pas quitté Terdzik pour me soumettre à un autre alpha.
— Tu pourrais aimer te soumettre à moi, petite louve, susurre-t-il, le regard brûlant.
— Je ne crois pas, non. Tous les alphas sont tellement arrogants…
Mais au fond de moi, une petite voix murmure : en es-tu sûre ?
Afficher en entier« -Mais c’est avec toi que j’ai envie de jouer, murmura-t-il, se penchant vers moi.
Tu m’étonnes. Un taré avec un penchant pour les filles aveugles qui ne peuvent pas les reconnaître lors d’une séance d’identification. »
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