Les extraits appréciés par Cle-mencia

Tu ne peux pas te permettre d'avoir pitié de ces hommes, Mia. Quand on nage à de telles profondeurs, la compassion ne sert qu'à se noyer. Tu dois faire preuve d'autant d'implacabilité que ceux que tu pourchasses...
Afficher en entierLes cieux ne nous accordent qu’une seule vie, mais grâce aux livres nous en vivons un millier.
Afficher en entierVoyant que je ne la lâche pas, Carla essaie de se dérober d’entre mes mains puissantes. Malheureusement pour elle, son échec est cuisant.
—Laisse-moi ! M’ordonne-t-elle en haussant le ton.
—Non.
Je libère son cou de mes dents et plonge mes prunelles dans les siennes. Ma main droite relâche son poignet gauche, puis s’appose sur son épaule. La bretelle de son débardeur et de son soutien-gorge glisse sur son bras. Carla frissonne.
—Je ne suis pas ton jouet, marmonne-t-elle.
—J’ai prévu de faire plein de choses avec toi… soufflé-je.
—Tu n’as aucun droit sur mon corps, Miguel.
—J’ai absolument tous les droits.
Un petit grognement s’échappe de sa bouche dans laquelle j’aimerais m’enfouir. Pendant ce temps, mon index sinue le long de son épaule dénudée, poursuivant sa route sur son bras. Son épiderme se barde de chair de poule, ses poils sont dressés.
—Tu aimes ça ?
—Va te faire foutre !
Son insulte est un électrochoc. Ma main cesse tout mouvement et se referme brutalement sur la mâchoire de Carla que j’empoigne fermement, la forçant à lever les yeux pour les ancrer sur moi. Je n’arrive pas à jouer le jeu. Pour la première fois depuis si longtemps, ma confiance s’est envolée. On m’a affublé d’une mission irréalisable pour un homme comme moi.
Toutefois, j’approche mes lèvres de la bouche de Carla que je frôle, me retenant de les écraser.
Sa respiration s’accélère, je sens sa poitrine se soulever contre la mienne.
Quelques secondes quasiment scotché à ses lèvres au goût fruité, suffisent. Mon visage s’éloigne du sien, arborant toujours ce masque de froideur sinistre.
Les yeux écarquillés, Carla m’observe pantoise.
Je la relâche et la laisse avec toutes les questions qu’elle ne peut sortir, encore sous le choc de cet acte qui n’est pas moi.
Cet acte n’est que ma mission. Rien d’autre.
Une mission que je compte mener à ma façon, sans être sûr de pouvoir y parvenir.
Une fois dans le couloir, je cesse tout mouvement, prêt à me raviser pour revenir sur mes pas.
Personne ne me souffle quoi que ce soit dans mon oreillette, ce qui est assez rare. Pourtant, mes lèvres appellent celles de Carla.
Un instant après, je me rétracte et me tire.
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La Société Sanctuary
Afficher en entier- Dors, t'en as besoin. T'es crevée.
- T'es sérieux ? Tu te prends pour mon père, maintenant ?
A peine l'ai-je prononcée que je regrette déjà cette repartie puérile. Bien sûr que je suis éreintée, et Morgan est bien placé pour le savoir : il m'a vu au petit matin et il a deviné que je ressors ce soir.
- Crois moi, je n'ai pas une seule pensée paternelle envers toi, affirme-t-il. Profite de la route pour te reposer et fiche moi la paix !
Afficher en entier– Ça te fait bander de me commander, Loup ?
D’un coup, il me saisit les cervicales. Il ne m’étrangle pas véritablement, cela ressemble plutôt à un avertissement ferme. Sa posture entière m’impose des barrières.
– Et toi ? Tu mouilles de ne pas savoir comment je vais te dévorer ? contre-attaque-t-il.
Afficher en entier– J’ai un petit aveu à te faire, reprends-je, campé à quelques pas du lit.
Je payerais cher pour m’immiscer dans sa jolie caboche masquée. Elle me dévisage, mon sang s’échauffe, mon froc rétrécit.
– Dis-moi, m’encourage-t-elle.
– Je vais te baiser.
Clair. Net. Brutal. Honnête.
Afficher en entierT'as pas l'air d'avoir capté le deal, grogne t-il. Je n'enfreindrai jamais tes "non", et toi jamais mes règles. Ôtes tes mains !
Afficher en entierIl ne peut pas sauver tout le monde. C'est pour ça qu'il m'a dit de respirer ?
- Morgan, ils vont faire quoi ?
- Reprends une longue inspiration, Marjorie.
- Arrête de me répéter ça ! Pourquoi tu insistes ?
- Parce que je vais te faire plonger plus bas. Là où je n'ai plus pied.
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