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Les extraits appréciés par Cle-mencia

« Ainsi commence le sermon tiré du verset satanique de saint Dorian Jacobson, patron des assassins et des meurtriers. »

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Les hommes avaient la drôle d'habitude d'accuser le diable dès que quelque chose ne leur plaisait pas. C'était étrange qu'on nous qualifie de démoniaques, quand c'était les humains, précisément, qui prenait du plaisir à nous regarder brûler.

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Une branche n'est qu'un morceau d'arbre cassé tant qu'elle n'est pas affûtée pour être transformé en lance. Le chagrin m'avait coupée en deux. Et la rage avait aiguisé les morceaux pour en faire une arme.

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"Un petit conseil, sorcière. Crier "Je vais te tuer" coupe complètement l'effet de surprise de l'attaque."

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Il salue les convives et se tourne vers moi afin de me faire un baisemain. Son regard curieusement solennel me délivre un message aussi clair que son éclat affectueux.

— N'aimez jamais quelqu'un qui vous traite comme si vous étiez ordinaire, Emilia.

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Je pose une main sur ma poitrine compressée par le corset sous ma chemise trempée par une sombre prémonition, désespérée de m’en libérer.

Non, m’intimé-je à contrecœur, je ne puis faire cela, je ne suis pas encore prête.

Si je tiens à entamer ma troisième et dernière leçon afin de pouvoir m’offrir le seul organe noble de sa personne, il est indispensable que je puisse être en mesure de lacérer un corps anonyme.

Avant de réduire à néant celui désormais affairé à épouser mes courbes.

— Respire, Emilia, me chuchote-t-il à l’oreille en me pressant contre son torse ferme. Un bourreau ne peut faire preuve d’indulgence face à son pendu. Imagine le nombre de luxations cervicales si tel était le cas.

Je ris nerveusement tandis qu’il dépose un baiser prononcé sur mon cou.

Les convulsions passionnelles produites pourraient presque me faire lâcher ma lame.

Non, pensé-je, je ne suis pas encore prête à lui résister.

— Et si j’échoue ? haleté-je.

— Alors, je t’allongerais à sa place, répond-il d’une affolante lascivité. Et cela ne sera guère pour te donner ce plaisir que tu convoites tant.

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Je lui lâchai le bras et la pris à bras-le-corps pour la jeter en travers de mon épaule.

Elle poussa un cri rauque.

— Qu’est-ce qu’il vous prend ?

— Un escargot à la coquille cassée irait plus vite que vous.

Ses petits poings s’abattirent dans mon dos.

— Vous êtes complètement dingue.

Souriant intérieurement, je la secouai un peu et fus récompensé par un petit cri étouffé et une pluie de coups redoublée. Ce genre de choses m’amusait beaucoup…

— Reposez-moi par terre, ordonna-t-elle. Ou je vous le jure, je vais vous botter le cul !

L’immobilisant d’un bras, je lui donnai de l’autre une tape sur les fesses.

— Surveillez votre langage. Ce n’est pas digne d’une dame.

— Ne recommencez jamais ça, ou… (Elle fut interrompue par un bâillement intempestif, qui gâcha totalement son effet.) Arrogant et autoritaire, vous n’êtes qu’un sale conn…

Paf. Je tapai cette fois son postérieur un peu plus fort.

— Votre langage, Serena.

Le flot ordurier qui se déversa alors de sa bouche me fit presque lâcher prise. Cela méritait une fessée, et au bout de la troisième elle finit par se taire.

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Mon téléphone sonna, faisant vibrer le tiroir du bureau où il était rangé. Me redressant, je décrochai et fronçai les sourcils en reconnaissant le numéro de Dex.

— Qu’est-ce qu’il y a ? demandai-je en posant les pieds sur la table.

— Pas grand-chose, répondit-il. Eliza et moi étions à la maison il y a quelques minutes.

— Merci de m’en informer.

— Et je me demandais si tu n’avais pas perdu quelque chose, poursuivit Dex. Une petite chose d’un mètre soixante-huit, avec une tignasse de jolis cheveux blonds. Non, ma chérie, tes cheveux à toi sont sublimes, pas juste jolis, ajouta-t-il à l’écart du combiné. Quoi qu’il en soit, je me suis demandé…

Je reposai les pieds par terre.

— Merde.

Un gloussement amusé me parvint de l’autre bout de la ligne.

— Elle est dans le kiosque. Quelle drôle d’idée. Tu ferais mieux de rappliquer avant que quelqu’un ne la voie. P.-S. Tu es nul à chier comme baby-sitter.

— Va te faire foutre. (J’étais déjà à la porte, la main sur le loquet.) Merci, mec.

— À ton service.

Connard.

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Putain de merde.

Encore plus révoltant, ce que j’étais en train de faire me plaisait beaucoup – quoi que ce fût. Je l’enlaçais ? Par tous les enfers, oui, j’étais bien en train de l’enlacer. Et de la serrer contre moi.

J’étais en train de lui faire un putain de câlin.

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Ses dents brillèrent dans le clair de lune et il approcha les lèvres de mon oreille.

- Mais vous, je ne vous aurais pas traitée ainsi (...) Vous auriez gémi mon nom tout le temps que cela aura duré et j'aurais fait en sorte que cela dure très longtemps, Feyre, acheva t-il en faisant sonner mon nom comme une caresse.

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