Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
767 812
Membres
1 221 928

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Les extraits ajoutés par Cle-mencia

Les gangs sont la gangrène de l'humanité... Une petite faille et, tout à coup, la soif d'argent et de violence créée une infection impossible à contenir, qui finit par ronger la ville jusqu'à l'os pour n'y laisser qu'un squelette broyé.

Afficher en entier

Mes joues brûlent.

Je passe ma langue sur mes lèvres. Je me penche en avant et me redresse, mais il attrape mon menton dans sa main et le tient fermement. Les sourcils froncés, il me réprimande d'une voix douce :

- Tu auras le droit de m'embrasser quand je te l'autoriserai.

Afficher en entier

Punaise, qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? Il y a encore du sang par terre et me voilà qui halète pour une raison tout à fait déplacée, tandis qu'il défait rapidement mes lacets, en commençant par le bas. Il ne mentait pas. Il connaît parfaitement le fonctionnement d'un corset. Pouce après pouce, mon dos se retrouve exposé.

Afficher en entier

Mon souffle s'accélère, tellement sa voix est intense. Bon sang, je ne veux pas trouver une seule chose admirable chez Xaden Riorson, et pourtant il est là, fâcheusement admirable. Trou du cul.

Afficher en entier

Nous venions d'arriver à Todos Santos, ma famille et moi, quand j'ai découvert le manoir des Spencer pour la première fois. Je suis restée plantée dans l'entrée, sur le plancher de bocoa qui ne craquait jamais.

Ma mère m'a donné un coup de coude dans les côtes.

- T'as remarqué le parquet ? C'est du "bois de fer", il n'y a pas plus dur.

Elle se trompait. Je n'allais pas tarder à découvrir qu'il y avait plus dur que le bois de ce plancher : le cœur du garçon qui vivait ici.

Afficher en entier

Il n'y a que Rayan, ce poignard et moi.

- Rayan ?

Il a l'air de réfléchir, de livrer une bataille interne et inédite. Les muscles de sa mâchoire tressautent et il finit par lever son arme pour l'approcher de mon cou qu'il tient toujours aussi solidement.

Afficher en entier

J'espère que je ne suis pas en train de rêver, j'espère que je suis en train de vivre.

Afficher en entier

Et elle disparait dans le couloir.

En ne faisant rien pour la retenir, j'ai fait un choix. Le meilleur qu'il soit pour elle et moi. Je la protège de ce côté sombre qui encercle ma poitrine et j'évite de côtoyer ce que je nomme désormais, mon seul et unique point faible.

Afficher en entier

- Tu veux changer le monde, mon petit serpent ? Alors, hisse ta cage si haut que personne ne pourra t'attraper. Brises-en les barreaux et sers-t'en d'arme. Rien n'est plus tranchant. Je le sais, car c'est ce que j'ai fait.

Afficher en entier

Peu importait à quel point la vie s'assombrissait, il suffisait, pour chasser la douleur, d'ouvrir un bon bouquin.

Afficher en entier

287 résultats