Une nouvelle fois, je ne tarirais pas d’éloges sur ce roman de Samantha Shannon. Mais je vais faire des efforts pour ne pas tout raconter et vous laisser découvrir ce livre (bien que ça me frustre énormément, je ne peut pas écrire un roman pour expliquer à quel point j’aime un roman).

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Les personnages d’abord. Qu’est-ce que je les aime. Paige est l’une des mes protagonistes préférées tous livres confondus (avec Ellana), elle mérite tellement une happy ending, dans ce tome j’ai carrément eu les larmes aux yeux, pas à cause d’une mort, mais parce que Paige souffrait. Elle est tellement forte et en même temps tellement humaine (et en même temps tellement marcherêve). C’est ma chouchoute quoi.

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Et Arcturus, Arcturus…. Comment dire ? Il est presque parfait. Pour ne pas répéter à quel point il est l’un de mes personnages masculins préférés ever - parce que oui chacune de ses interventions est juste parfaite, sa dynamique avec Paige est incroyable - je vais juste dire à quel point je l’ai trouvé bien écrit. Parce que oui, il n’est pas humain, et S. Shannon arrive parfaitement à nous le rappeler, autant dans la manière dont il s’exprime que dans la manière dont il est décrit par Paige. C’est subtil et en même temps, on ne peut pas ignorer la différence entre les rephaïm et les autres êtres humains.

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Une fois de plus, l’intrigue est prenante, on ne s’ennuie pas. On est transporté dans l’univers incroyablement riche et toujours plus vaste de l’autrice, avec cette l’ambiance du précédent tome (la pègre) moins présente ; mais on suit les personnages dans leur quête qui nous tient en haleine, à la découverte de nouveaux lieux et personnes.

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En bref (parce qu’il faut bien s’arrêter), c’est encore un chef d’œuvre, avec une histoire très bien menée, toujours plus de difficultés, de complots et de rébellion. Mon argument de vente principal ? C’est du Samantha Shannon.

Ce livre m’a totalement conquise. Comment dire que j’avais adoré le premier tome et j’avais un peu peur, en quittant l’ambiance de la prison, de moins apprécier ce tome. Et bien pas du tout, je l’ai même, à certains égards, préféré au premier.

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Tout d’abord l’intrigue. L. Noni arrive à maintenir du suspens et de l’action sans que ce soit répétitif. Kiva aurait pu être agaçante à balancer entre son devoir et son cœur en changeant d’avis sans cesse, mais non. C’est un personnage qui évolue et qui prend des décisions, et c’est agréable.

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J’avais pourtant dit que je parlais d’intrigue mais me voilà déjà aux personnages. Car on ne va pas se mentir, c’est l’énorme point fort ce ce livre. Jaren est tellement incroyable, si je devais ne parler que de lui, je me retrouverai vite à court de synonymes : merveilleux, charmant, parfait…. Je ne pensais pas pouvoir l’aimer plus mais j’avais tort. Il se classe aisément dans mes bookboyfriends préférés. Et les autres personnages sont presque aussi géniaux. Caldon est mon chouchou évidemment, il prend tout avec humour mais est tellement attachant, et Tipp est super mignon.

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En bref, je n’ai pas pu lâcher mon livre.

Ça me frustre d’en dire si peu mais je ne développe pas plus mon ressenti de l’intrigue pour éviter les spoilers et j’en dis le moins possible sur les personnages pour vous laissez les découvrir pleinement (mais j’étais obligé de parler de Caldon). Parce que je vous en supplie, foncez lire cette trilogie, elle vaut clairement le détour. Amateurs de fantasy, ou pas, n’hésitez plus ! L’intrigue est prenante, mais sans prise de tête et les personnages sont très bien construits.

C’était un coup de cœur pour moi et je vous le recommande chaudement.

J’ai dévoré ce livre. J’avais tellement hâte de retrouver Arin et Kestrel et je n’ai pas été déçue, l’ambiance est toujours au complot et à la trahison.

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Kestrel a une position délicate dans ce tome, fiancée au futur Empereur, elle se doit de faire profil bas et de tout faire pour protéger Arin de l’Empereur. A la cour, tout est une question d’apparence, et même si il n’y avait pas tant d’intrigues "de cour", elle se retrouve plus prêt des intrigues politiques et c’est intéressant. Kestrel est très intelligente et elle s’efforce de protéger Arin en plus de son peuple.

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Arin est toujours aussi incroyable. Il a l’intérêt des Herranis à cœur mais aussi celui de Kestrel, alors même qu’il pense qu’elle l’a trahi. Il est vraiment décidé à sauver son peuple et j’ai beaucoup aimé voir son évolution, de comment il prend peu à peu ses responsabilités jusqu’à aller chercher de l’aide dans le redouté pays de Dacra.

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La tension entre les deux protagoniste est présente tout au long du roman. Chacun s’efforce d’oublier l’autre. Kestrel doit tenir Arin à distance car si l’Empereur devinait l’affection entre eux, ce serait fatal. La romance était donc un peu répétitive et frustrante - avec à chaque fois Arin qui se dit qu’il oublie Kestrel, avant de se dire que peut-être elle joue la comédie, et Kestrel qui s’efforce de repousser Arin, plus violemment à chaque fois - mais toujours aussi addictive.

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On découvre dans ce tome de nouveaux personnages comme Verex, qui est plus intéressant que je ne l’avais imaginé et qui, j’espère, sera approfondi dans la suite, mais aussi des nouveaux lieux.

On redécouvre aussi des personnages du premier tome, comme le père de Kestrel. J’ai adoré voir plus en détail leur relation que j’ai trouvé très bien construite.

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En bref, je n’ai pas pu lâcher ce livre, j’ai adoré le côté stratégie militaire et complots, plutôt sombre. C’est une super suite à la série et j’ai hâte de lire la suite, et fin, quoique je n’ai pas envie de quitter les personnages de cette série.

C’était incroyable. J’ai vraiment aimé ce livre, qui a frôlé le coup de cœur.

L’ambiance était tout bonnement prenante et je ne sais pas ce qui, de l’intrigue ou des personnages, a rendu ce livre impossible a lâcher.

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Tout d’abord Kestel. Habituée aux héroïnes badass qui se battent mieux que tout le monde, Kestrel a apporté un vent de nouveauté. Et bien qu’elle ne soit pas la plus forte au combat, elle est très douée en stratégie. Elle est attachante, intelligente, remet en question le traitement des Herranis et j’ai beaucoup apprécié suivre son histoire.

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Passons maintenant à Arin. Comment dire que j’ai eu un coup de cœur sur ce personnage sans en parler sur 20 lignes…

Ça faisait un petit moment que des protagonistes masculins ne m’avaient pas autant plus. J’ai adoré son caractère, la manière dont il assume son attirance pour Kestrel (il se l’assume à lui-même au moins), la manière dont il veut protéger son peuple mais sans faire de mal à Kestrel. Leur relation est vraiment incroyable. La tension, et toute la dernière partie quand, à peine entamée, leur relation se complique. J’ai vraiment accroché à ce couple et je n’accepterais pas d’autre fin qu’eux deux ensembles.

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Si les intrigues politiques ne sont pas aussi présentes que je ne l’aurais cru, complots et manipulation sont au rendez-vous. Le monde est bien construit et la suite promet. Je sens (du moins j’espère) que les intrigues politiques vont être approfondies.

En bref j’ai vraiment adoré et je sens que je vais dévorer les deux derniers tomes.

J’ai été agréablement surprise par cette lecture. Je m’attendais à une petite fantasy assez classique, mais pas du tout. Je ne savais pas où l’intrigue nous emmenait, et je savais vraiment pas ce qui allait se passer. J’ai beaucoup aimé.

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La perso principale est assez complexe. Terrifiée par ce qu’elle est, désireuse d’être aimée. J’ai apprécié la voir évoluer, se poser des questions. Je ne peux pas dire grand chose sur les autres personnages sans spoiler mais l’antagoniste est vraiment bien et j’ai adoré la romance à la fin, sachant qu’au milieu on a une sorte de triangle amoureux (normalement je n’aime pas ça, mais là ça n’en n’est pas vraiment un) et je savais vraiment pas comment ça allait se terminer, j’ai adoré.

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La première partie du roman est très classique, avec peu d’action, j’avoue que je commençais à m’ennuyer légèrement et au millieu, l’histoire semblait finie et je me suis demandé ce qu’il pouvait bien y avoir ensuite. C’était sans compter les plot-twists bien sûr, très bien amenés. Et la suite du roman était incroyable, toute la deuxième partie est très prenante, et pleine de rebondissements.

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L’intrigue est très bien menée, les personnages intéressants, il y a de la représentation, et un décor original car l’autrice s’est inspiré de la culture persane, de son folklore, et c’est très immersif. La fin, bien qu’un peu facile, est vraiment bien.

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En bref, je suis frustrée de devoir en dire si peu car tout devient vite un spoiler, mais j’ai passé un très bon moment en lisant ce livre. N’hésitez plus, c’est un one-shot qui vaut le détour, vous risqueriez d’être surpris.e.s.

Bon, j’avais adoré Fable et j’avoue que c’était plus pour retrouver l’univers que pour l’histoire en elle-même que j’ai lu ce livre. Néanmoins j’avais très envie de découvrir le passé de ce couple que j’avais beaucoup apprécié.

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On découvre le passé d’Auster, plus que celui de Paj. Auster vit au sein d’une organisation qui pourrait s’apparenter à la mafia, tandis que Paj est un simple marin. En si peu de pages, les personnages ne sont pas très approfondis, pourtant ils ont leur personnalité propre qui permet de s’attacher à eux. Le fait qu’ils soient peu développés dans Fable a permis de rendre cette histoire encore plus intéressante, car j’ai pu tout découvrir sur ces personnages.

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La romance est au premier plan, et bien qu’elle soit rapide, elle m’a touchée et j’ai trouvé Paj et Auster très mignons, ce qui était mon avis en lisant Fable. J’ai beaucoup apprécié découvrir les autres membres de la famille des Roth, notamment Murrow et Ezra. La question de la loyauté est un autre point important, et c’est un aspect que j’ai trouvé très intéressant, à plusieurs niveau.

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L’histoire reste plutôt simple, du fait de sa longueur (très courte), mais on devine sans peine le passé d’Auster, ainsi que leur futur, à lui et Paj, avant de rejoindre l’équipage de West. Le livre est assez indépendant de la duologie principale, mais si vous n’avez pas aimé Fable, je ne vous le conseille pas forcément, le peu de page de vaut pas le coup si vous n’aviez pas comme moi accroché aux personnages de Fables. C’est intéressant si vous avez beaucoup aimé la duologie, mais loin d’être nécessaire ou incontournable. Par ailleurs, on y retrouve des persos de Fable, et des organisations que l’on connaît, mais ce n’est pas du tout la même ambiance.

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En bref, une petite lecture bien sympa, que je conseille évidemment aux personnes ayant adoré Paj et Auster dans Fable. Il faut juste que j’en parle : cette carte ?!

Moi qui avait été un peu déçue de la carte dans les deux tomes de Fable, que je trouvais trop simple, et ne représentant pas tous les lieux, voilà qu’on retrouve une superbe carte, plus travaillée et complète dans ce livre, ça fait plaisir ! (Même si elle aurait plus sa place dans la duologie principale)

Par où commencer…

Ce livre m’a bouleversé. Mais c’est du Pierre Bottero, il n’aurait pas pu en être autrement, qu’est-ce que j’aime cet auteur. Ce roman graphique ayant été publié après sa mort, voir des références à son décès dans les remerciements de l’illustrateur n’a pas aidé à arrêter mes larmes…

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Je m’attendais à tout sauf à ça. Je trouve que le thème abordé est très dur pour être dans du jeunesse, et que la forme fait que toutes les nuances sont compliquées à saisir, bien que la fin soit très claire.

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Et cette fin, elle m’a totalement brisée.

Mais avant, parlons du début. Tout le "basculement" est magnifiquement illustré. J’ai bien aimé les dessins des paysages et des animaux, mais beaucoup moins ceux des personnages et des monstres je doit l’avouer, c’est une question de goût. Les créatures fantastiques et autres Imaginaires sont au final très peu présents, mais comment ne pas apprécié toute les références aux univers de Bottero, pour les amateurs de l’auteur.

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Alors cette fin… je la voyais venir, mais la manière dont c’est amené, avec toute la poésie dont fait preuve Bottero, et la beauté de sa plume, j’ai craquée. Ça commençait à faire un bon moment qu’un livre ne m’avais pas fait pleurer, il me semble logique que ce soit du Bottero qui m’atteigne. Je connais les personnages en plus, dont je ne dirai rien pour ne pas spoiler. Cette annonce pourtant attendue vers la fin m’a fait pleurer, puis quand tout était fini j’ai re-pleuré une deuxième fois. Rien qu’en racontant l’histoire à mes proches, les larmes me montent aux yeux.

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Je n’en dirais pas plus, le livre est très court, mais c’est surtout un livre qu’il faut découvrir de A à Z. Je le conseille bien évidemment à celles et ceux qui, comme moi, sont fans de Pierre Bottero mais aussi à tous les autres. Je vous en prie allez le lire, émotions garanties ; il m’a profondément marquée et je trouve vriament dommage qu’il soit introuvable car j’aurai adoré l’avoir dans ma bibliothèque.

J’adore la mythologie (qu’elle soit grecque, égyptienne…), alors quand j’ai vu ce livre dans ma bouquinerie, avec une annexe à la fin pour apporter des précisions aux mythes et rites religieux des vikings, je n’ai pas hésité longtemps.

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Un livre très court avec peu d’aspects négatifs, il a rempli mes attentes, je n’ai rien à lui reprocher. Comme promis, on y découvre les dieux les plus emblématiques du panthéon nordique, il y a même un index des personnages (bien qu’il en manque certains). Ce premier tome est centré sur l’arrivée de Loki à Asgard, il y a peu d’action mais on ne s’ennuie pas une seule seconde. L’intrigue est simple et prenante et l’arrivée du maître-bâtisseur ajoute un peu de suspens.

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En si peu de page, les personnages n’ont pas vraiment le temps d’être approfondis. On survole leur personnalité, et on s’attache peu. Loki reste le personnage principal, alors il est un peu plus développé, dans son passé et ses désirs, mais il reste assez flou. J’ai beaucoup aimé Sigyn, qui sera plus développée par la suite j’espère. Ne vous attendez pas à de la romance, l’histoire d’amour n’est même pas au second plan. Néanmoins, on comprend rapidement les différents liens entre les personnages et on peut facilement se plonger au milieu de tous ces dieux et déesses.

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J’ai beaucoup aimé les dessins, qui illustrent certains passages. Je les ai trouvés vraiment réussis. Après l’histoire, j’ai pris plaisir à en apprendre plus sur la pratique de la religion nordique, son origine et ses répercussions actuelles. Il a plusieurs fois été fait mention de l’Edda poétique, une des sources principales, alors je pense y jeter un coup d’œil.

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En bref, une lecture assez originale, très courte, mêlant mythes et histoire de la religion, que j’ai apprécié.

[Lu pour les cours]

Une histoire vraie, émouvante, racontée par un écrivain fasciné, et ça se ressent tout au long du roman.

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Charlotte est une jeune femme comme une autre, mais qui a grandi dans un contexte particulier, celui de la guerre. Son contexte familiale n’était vraiment pas évident non plus. Il y a eu énormément de suicide parmi les femmes de sa famille. Le tout donne une ambiance particulière au roman, très sombre et tragique.

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Je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages, il faut dire que le livre est très court. Si une partie m’a dérangée, c’était la relation de Charlotte et Alfred. Elle est très jeune, et lui assez vieux (ils ont environ 20 ans d’écart). Se développe alors une relation passionnelle, décrite comme tres intense, incroyable, mais qui m’a plus d’une fois dérangée, moins que de l’amour, j’y voyais une forme de dépendance affective, mais ce n’est que mon avis personnel. Elle a environ 18 ans et un homme s’intéresse pour la première fois à sa peinture, elle va peindre énormément de tableau de lui, donc cette relation ne m’a pas vraiment plue…

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Un autre point particulier : l’écriture de ce livre. Que la plume plaise ou non, c’est original. Une phrase par ligne. Si je comprend l’auteur, qui explique dans le livre pourquoi il l’a écrit comme ça, ça a tendance à rendre ma lecture moins fluide. De plus, l’histoire de Charlotte est entrecoupée de scènes de la vie de l’auteur, de ses recherches dans les traces du passé de Charlotte. Si tout le processus est intéressant, il me sortait quelques fois de l’histoire et j’aurai sans doute préféré le retrouver dans une postface ou une note de l’auteur.

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Mais ce livre m’a vraiment touché. J’avais les yeux humides à la fin de ma lecture. Ce roman est dur, mais nécessaire. Je n’avais jamais entendu parler de Charlotte Salomon avant, et je trouve qu’elle devrait être plus connue. La guerre est assez présente, et je trouve que tous les livres qui traite de ce thème sont dur à lire. Il y a eu tellement de violence… Et bien que l’on connaisse la fin, qui est dans le résumé, on ne peut s’empêcher d’espérer qu’il en soit autrement. Outre la guerre, sa vie n’a vraiment pas été facile, le fait qu’elle ait dû tout quitter, que sa famille se brise.

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Ce n’est pas mon type de lecture, et je l’ai lu par obligation, mais je suis vraiment contente d’avoir lu ce livre et découvert l’histoire de Charlotte, j’ai l’impression d’en ressortir grandie.

Je vous prévient, je ne vais pas être objective. Quel plaisir de retrouver Murtagh et de retourner en Alagaësia.

J’avais vraiment adoré ce personnage secondaire dans Eragon et j’ai été ravie de continuer l’histoire de son point de vue.

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Bon le début peut-être un peu lent à se mettre en place. Je conseillerais de lire Eragon avant, bien que ce livre ne soit pas le cinquième tome de la saga. Car ayant toutes les références aux personnages et aux précédents événements, le début ne m’a pas perdu et j’ai apprécié pouvoir appréhender la relation de Murtagh et Thorn tranquillement. Le récit est construit de manière assez basique, une quête "principale" va se dessiner, précédée de quêtes "secondaires", mais ça ne m’a pas dérangé, au contraire, ça apporte des péripéties et un certain rythme.

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Dans ce livre, on découvre un Murtagh bien différent d’Eragon, tant dans sa personnalité que dans sa relation avec son dragon. Il est exclu et on le ressent très bien. J’ai particulièrement aimé comment sont abordées les angoisses de Thorn et Murtagh. J’ai adoré détester Bachel, - les vilains de C. Paolini, que ce soit Galbatorix ou Bachel, se classent aisément dans le top 5 des personnages que je déteste le plus - elle est tellement cruelle. J’ai eu un petit coup de cœur pour Uvek, un Urgal fort sympathique.

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Il y a une ambiance très particulière, de mystères et d’enquête, qui vers la fin est assez oppressante, et que j’ai fortement apprécié.

Bien que le récit soit dépourvu de scènes de grandes batailles (présentes dans Eragon) je ne me suis pas ennuyée, j’ai dévorée les 500 dernières pages en une soirée/nuit (oui les 500 "dernières"). Je dois avouer que j’ai beaucoup aimé cette fin, je l’avais un peu espérée tout du long.

Je n’en dirais pas plus, allez découvrir cette merveille (évidemment doublement conseillée aux fans d’Eragon).