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1979

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Spécialisations

Initié en Romance Initié en Politique Initié en Histoire Initié en poésie Initié en Théâtre

Insignes

Membre depuis 2010 Booknaute Maitre

Qui suis-je ?

Sabir Kadel (qui écrit sous le nom de M. K. Sabir).

Romancier, essayiste et cinéaste, né en 1979, issu d’une famille mauricienne, est toutefois pétri de cultures hellénique, latine et allemande. Rejoignant Nietzsche, considère que les concepts de Bien et de Mal ne sont que des constructions socio-historiques.

Les thèmes abordés de manière récurrente dans ses écrits sont le télescopage de la prédestination et du libre arbitre, le solipsisme, et la fonction corrosive des mots.

Juriste de formation (Maîtrise en Droit comparé appliqué et théorie du droit –major de la mention- de l’université Aix-Marseille III), exerce comme conseiller légal à la Commission de réforme des lois à Maurice. A publié une nouvelle dans les Chroniques de l’Ile Maurice (Éditions Sépia, Paris, 2009) et une autre dans la revue L’Atelier d’écriture. Est l’auteur d’un essai philosophique (ISBN : 978-2- 8121-4087-7), La dixième époque, qui questionne la corrélation positive qui existe entre le protestantisme américain et la géostratégie états-unienne, et de l’incrustation de la pensée religieuse dans des domaines, a priori, sécularisés, ainsi que d’un roman lui aussi inédit, Étranges Attracteurs, qui traite de la quête effrénée du savoir à laquelle se livre un couple. Le roman décrit un monde où l’empire des mots s’évanouit, et où l’emprise du langage expire, ce qui est aussi le corollaire à la disparition de toute norme.

Siteweb: http://sabirkadel.webs.com

Bio (Eng.)
Born in 1979, Sabir Kadel (whose pen name is M. K. Sabir) is a writer and filmmaker of Mauritian origin. His main themes revolve around the overlapping of predestination and freewill, Solipsism and Personism.

Sabir’s political views emphasize Anarcho-capitalism, libertarianism and ethical-egoism.

Initially a lawyer, he works as a legal research associate for the Law Reform Commission. He has published a short story in ‘Chroniques de l’Ile Maurice’ (Éditions Sépia, Paris, 2009). He is the author of a philosophical essay, ‘The Tenth Era’ which focuses on the positive correlation between American Protestantism and geostrategy. He also wrote a novel ‘Strange Attractors’ which follows a man and a woman lost in a radical quest for knowledge.

http://www.facebook.com/#!/pages/La-Dixieme-Epoque/217935311558121?sk=info

A propos des livres

Thèmes :
Télescopage de la prédestination et du libre-arbitre

Télescopage du liberteriansime/minarchisme et du « Volk »

Le végétarisme

L’inutilité de l’écriture- toute littérature est « faux-semblant », le règne du « soi-disant »

Le surhomme et l’être logologique

Solipsisme

Doublepensée

Anarcho-Capitalisme


Influences :
La première de ses influences est Friedrich Nietzsche, même s’il ne se définira jamais nietzschéen, et refusera toute étiquette, citant Ludwig Feurbach qui dit : aucune philosophie n’est ma philosophie. Toutefois, il semble être influencé principalement par des penseurs de langue allemande, tels que : Schopenhauer, Fichte, Leibniz, Wittgenstein, Freud, Heidegger.
Il pense toutefois que les présocratiques ont déjà tout dit, et marque une nette préférence pour le philosophe d’Ephèse, Héraclite.
Ses influences en poésie et en littérature en générale sont aussi germaniques. Citons entre autres : Novalis, Goethe, Hesse, Zweig, Mann, Heine, Celan, Jünger, et surtout, celui qu’il place au-dessus de tout le reste, et qu’il qualifiera dans « La dixième époque » de prophète : Hölderlin.


Thèmes abordés
Tout est religieux

Pour Sabir Kadel, comme pour Mircea Eliade ou Carl Schmitt, la religion est partout présente, et la laïcité n’est qu’une version sécularisée du sentiment religieux, qui, pour être l’essence de l’être humain, n’est pas pour autant une fatalité. Il dresse l’arbre généalogique de la laïcité, et la fait remonter au Christianisme, aux lumières, jusqu’à la Grèce, et Platon qui est son véritable créateur, avec son appréhension du monde en terme d’Universaux. Les idées platoniciennes, pour Sabir Kadel, sont partout présentes, et la laïcité, la république, le christianisme, les droits de l’homme, sont fondamentalement la même chose, puisque tous ces courants considèrent qu’existent indépendamment des mots qui servent à les désigner, des concepts qui existeraient en dehors des limites du langage et qui s’imposeraient à nous.
Pour autant, Kadel ne se définit pas comme un nominaliste, puisque selon lui, se définir par opposition à une idée, c’est toujours être esclave de cette idée. Pour cette même raison, il refusera de se présenter comme « athée » puisque ce faisant, il accepterait, d’une part de jouer selon les règles des déistes et de prendre comme référant Dieu, et d’autre part, de séparer les religions des courants de pensée tels la laïcité, le communisme, etc., il dira simplement, qu’il ne croit en rien ; soit il sait, soit il ne sait pas, et rajoute-t-il : «le plus souvent, je sais ».

Tout est permis- le führerprinzip

Refusant l’épithète d’immoraliste, il lui préfère celui d’a-moraliste. Rejoignant Nietzsche, il considère que les concepts de Bien ou de Mal ne sont que des constructions socio-historiques.
Les valeurs sont héritées, et, à nouveau comme Nietzsche, il pense qu’il faut aller par-delà Bien et Mal. Même s’il récuse le terme, le « perspectivisme » semble être le courant de pensée dans laquelle il s’inscrit.

Rien ne peut être dit

Le seul terme qu’il eut jamais utilisé pour se désigner est « mystique ». La vérité peut être atteinte, mais elle est incommunicable à d’autres ; elle ne peut être transmise. Il se réfère souvent à la 7ème proposition de Wittgenstein dans son « tractatus logico-philosophicus » selon lequel : « ce que l’on ne peut pas dire, il faut le taire ».

La critique récurrente d’Ibn Rushd

Contre toute attente, il voue le plus profond mépris à Averroès qui pense qu’existe deux sphères de vérité, l’une religieuse, et l’autre philosophie, et que les deux se Valent. Kadel préfère un Al-Ghazali qu’il trouve plus cohérent.

La bataille contre les mots, et le corps comme étant la seule sphère de liberté

Comme Yukio Mishima, qu’il considère être le plus grand romancier, il envisage la fonction corrosive des mots, et voit dans la sacralisation du corps le seul moyen de combattre le mot. Mais il considère que la voie royale demeure le mystique.

Pessimisme et prédestination

Pour Kadel, la rédemption n’existe pas et les gens ne s’améliorent pas. Si les gens sont « mauvais » et « stupide » de naissance (deux tares qui vont souvent ensemble selon lui, puisque comme Salomon dans le cantique des cantiques, il croit en un « cœur intelligent » et il cite Hölderlin qui dit : « Qui pense le plus profond, aime le plus vrai »), ils le demeurent à jamais.

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