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Les commentaires de Judas_Cris

Commentaire ajouté par Judas_Cris 2024-01-29T14:26:13+01:00
Lu aussi

Un webtoon ultra-populaire à qui ont peut accorder d'être beau à regarder et bien rythmé.

Cependant ses qualités s'arrêtent là : Solo Leveling, c'est One Punch Man sans le twist de Saitama. C'est à dire que le héro est le plus fort, sera toujours le plus fort, mais que la seule conséquence que ça aura... c'est que tout le monde le trouvera trop cool. D'ailleurs c'est vrai qu'il est trop cool : fort, taciturne, beau brun ténébreux, toutes les filles tombent pour lui mais lui il est au-dessus de tout ça, il obtient le respect de ses pairs mais il n'en a pas besoin, etc. etc. Le modèle de la réussite égoïste à la coréenne.

Toute la série est tellement tournée autour de montrer à quel point son héro est trop cool, sauve tout le monde et pourtant possède sa part d'ombre ténébreuse du cool... que l'auteur a oublié de lui donner une motivation et un but.

Si, au début, son but est de gagner de l'argent pour soigner sa mère malade (merci le système de santé coréen)... ce problème est résolu au tome 3 ou 4 assez facilement. Après ça ? Le néant. Le personnage continue à grinder, devenir plus fort, affronter de nouveaux ennemis... pourquoi ? Aucune idée. Le gamin qui devait affronter des monstres pour guérir sa mère est devenu un type-ténébreux-cool.jpeg qui se lance dans des aventures avec le flegme d'un joueur de mmorpg qui ouvre sa table des quêtes. C'est incompréhensible.

Et l'intrigue de fond quand à connaître la nature profonde des portails, des monstres, etc. est bien faible pour nourrir l'intérêt du lecteur.

C'est au final un tour de force que le webtoon tienne en halène ses lecteurs (moi y compris, il semblerait) uniquement par le rythme et les power-up, comme une sorte de machine à sous où on gagnerait à chaque tirage

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2024-01-29T13:55:41+01:00
Diamant

Un roman de fantasy plutôt court mais qui m'a marqué pour longtemps. La vie mouvementé d'un personnage, né dans les îles d'une colonie impériale et croisant (accompagnant même) une femme au destin légendaire... mais qui déjouera nos attentes de lecteur un peu trop habitué à la fantasy de pouvoir et grandes batailles. Lire Un Long Voyage, c'est un peu comme écouter son grand-père raconter une vie prise entre les grands mouvements de l'histoire, avec toute la charge émotionnelle que cela sous-tend.

Mais si vous devez lire ce livre, c'est pour son avant-dernier paragraphe. Un détail tout simple, qui ne figurera dans aucun livre d'histoire, et qui n'est même *pas grand chose*... mais ça m'a ému aux larmes, pendant de longues et longues minutes. Un des rares moments de lecture où j'ai *été* le personnage et où j'ai vécu un blast d'émotion merveilleux.

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2024-01-29T13:47:02+01:00
Or

Complètement happé par ce livre. Intrigué par la 4e de couverture inexistante, j'ai lu les premiers mots... puis je l'ai fini 2h plus tard, sans avoir compris ce qu'il se passait. L'écriture est précise, réussissant à mettre des mots extrêmement justes sur une thématique que pourtant on a vu traiter 100 fois (le rapport à la mort et le covid). Très intimiste, c'est un bouillon de moments de vie qui entretient tout un questionnement... auquel la toute dernière scène racontée apporte une conclusion frappante par sa simplicité et pourtant sa pertinence.

Très beau livre

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Or

J'ai adoré de bout en bout ! Le ou la personnage principal est très agréable à suivre, et découvrir pan après pan une histoire nimbée de légende par le prisme de petits objets du quotidien présentés à la façon d'un musé intime... c'était excellent ! Un gros coup de cœur pour ce tout petit roman très court et accessible :)

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2024-01-29T13:36:08+01:00
Bronze

Conte gothique qui transforme l'horreur corporelle en quête initiatique et intime. Recommandé :)

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2024-01-29T13:30:50+01:00
Or

Un régal visuel, on peut se perdre de longues heures dans ces planches sans se lasser.

L'histoire est un régal, servi par des personnages très attachants.

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2024-01-29T13:27:03+01:00
Argent

Je ne comprends pas pourquoi il n'y a pas plus de monde qui parle de ce manga ? Sortir en fr en même que Blue Lock (autre manga de foot, pourtant au style raaaaaadicalement différent) a probablement pas aidé mais c'est plutôt injuste.

Le manga ne donne pas dans l'épique fantaisie mais, au contraire, dans un hyper réalisme qui touche tout les aspects : aussi bien le jeu (il y a des vrais techniques, expliquées à la façon d'un vrai entraîneur) que dans l'environnement (on y parle de vrais joueurs, de vrais coachs, de vrais clubs, etc.). La série pourrait presque servir de guide ONICEP pour devenir footballeur pro au japon ahah

Quand à la fiction, Ao Ashi contient des moments de tensions qui sont dans les tout tout meilleurs du manga de sport. Et les matchs complets sont intelligemment peu nombreux dans le récit, à chaque fois illustrant des moments pivots pour le personnage ou son équipe. Les entraînements, eux, occupent bien 70% du temps de lecture et c'est un REGAL, d'autant que l'évolution de l'alchimie entre les joueurs est passionnante à suivre.

Seul (immense) point négatif : la médiocrité de l'écriture des personnages féminins. Il y en a (ce qui est déjà bien) mais elles sont en compétition pour le personnage principal et le manga passe son temps à les jouer les unes contre les autres subtilement... c'est assez naze.

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Argent

Très bon livre jeunesse ! L'histoire est surprenamment intime et touchante, adoucie par un dessin très coloré et charmant.

A la fin du livre il y a un cahier documentaire sur les noms de familles en Europe, qui recontextualise et donne des infos intéressantes... peut-être un peu trop complexe pour les moins de 10 ans, mais de très bonne facture. Faites attention cependant : le site internet suggérer a changer depuis et c'est un service payant rattaché à une autre boite

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Argent

Depuis Murder Falcon, je signe sans regarder pour acheter tout ce que Daniel Warren Johnson sort de sa plume et de ses crayons. Beta Ray Bill n'y fait pas exception.

Le canevas un peu étroit du canon marvel (et des évents de la publication actuelle à laquelle a du se plier l'auteur) ne nous permettra malheureusement pas autant d'ambition que dans WonderWoman Dead Earth, mais ce n'est pas pour autant que Beta Ray Bill est sans intérêt.

Outre le dessin (toujours au top), l'histoire est en effet faussement classique (une quête d'arme magique, pour retrouver sa forme humaine) car en substance le personnage se perd... dans son voyage, dans sa psyché, et jusqu'à perdre ses buts. Une conclusion avec un petit sous-texte appréciable et douce-amère que je ne vous spoil pas mais qui valent le détour. Ce n'est pas du calibre de Murder Falcon, mais vous trouverez certainement une certaine fraicheur si vous écumez les publications marvel ;)

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Commentaire ajouté par Judas_Cris 2021-09-02T21:31:31+02:00
Diamant

PTSD se déroule dans une ville fictive, inspirée des mégalopoles sud-asiatiques. Son état connait ou a connu une guerre, que les personnages appellent sobrement "la guerre du nord".

Le récit suit les vétérans, revenus du front pendant ou après la guerre. Ayant connus l'enfer des affrontements et la mort atroce de leurs camarades, ils ont été gavés de drogues pour tenir le coup.

Puis le gouvernement les a abandonné : pas d'indemnisation, pas de boulot, et une réinsertion dans la vie civile très difficile.

Jun est l'une d'entre eux, c'est une vétérante ayant perdu son oeil droit et ses amis dans la guerre. Ses traumatismes la poursuivent : elle a l'impression de n'avoir jamais quitté le front et réagit hostilement à beaucoup de situations pourtant banales. Son cerveau s'est bloqué en mode "tuer ou être tuée" et ses seuls moments de paix relatives, elle les trouve dans les médicaments.

La distribution des médicaments, justement, est contrôlée par des gangs qui font régner leur loi sur la ville. Aux prises avec eux, Jun va être tentée de reprendre les armes et de se trouver un nouveau combat.

En parallèle de sa fuite dans la violence des guerre des gangs, Jun va faire la rencontre de Léona et de son fils Bao. Léona est une jeune femme, mère célibataire malgré elle, qui essaye de se battre à sa manière en tenant un petit restaurant de rue. Faire ce qu'elle peut pour nourrir les gens, améliorer leur vie plutôt que de faire du mal.

C'est à Jun qu'elle va offrir la trousse de soin qu'elle tient de son beau-père. La formation militaire aux premiers soins de la tireuse prend alors son sens dans la rue, et elle peut venir en aide aux blessés qui ont eut affaire aux gangs ou aux sans-abris maltraités.

Cependant se pose la question de l'escalade de la violence. Alors que sa vendetta contre les gangs continue, les gens qu'elle pouvait aider en subissent les conséquences et il ne semble y avoir aucune échappatoire au bain de sang qui s'annonce.

Peut-on se reconstruire d'un traumatisme en répétant de vieux schémas ? La communauté et le groupe créent-ils le conflit ou permettent-ils d'en sortir ? Quelle forme la rédemption peut-elle prendre, et est-elle souhaitable ? Ce sont autant de questions posées par PTSD, au cœur d'une bande dessinée à fleur de peau, hypnotisante et hyperviolente.

Le récit se magnifie dans une conclusion que je ne vous spolierai pas mais qui va contre certaines attentes du lecteurs. La synthèse proposée, loin d'être une conclusion fermée ou moralisatrice, se découvre toute en nuance et vaut, à elle seule, le coup de la lecture.

Le dessin de Guillaume Singelin, lui, transforme cette histoire en œuvre d'art. Ces personnages aux grands yeux, aux traits crayonnés sensibles, s'inscrivent parfaitement dans cet environnement urbain, reflet d'un monde en miniature, et tranchent avec la violence des combats, renforçant l'impression instinctive qu'ils ne devraient pas "être fait pour ça". Dans les planches, au découpage parfait qui accompagne toujours le mouvement ou se taille sur mesure aux environnement, on retrouve de nombreux artefacts, petites traces de crayonnés, et le contour des cases est légèrement imparfait, très organique... Ce style graphique, qui fait la marque de fabrique de Guillaume Singelin, rend le dessin incroyablement humain pour moi, le charge d'une sensibilité difficile à exprimer à l'oral. Je dois avouer que je suis follement amoureux de ce style.

Enfin, je dirais que PTSD s'inscrit dans l'hommage à un certain cinéma asiatique. Parmi ceux-ci se trouvent deux de mes films d'animations préférés : Ghost in the Shell et Akira. Si vous aimez lire en musique, je vous conseille l'OST de Kenji Kawai. Vous y retrouverez des villes qui, plus que d'être un décors, agissent dans le récit comme des personnages et couvrent chaque scène d'un enjeux, d'une sensibilité, d'une tragédie parfois.

PTSD j'ai adoré. Il y a tout ce que j'aime de la bande-dessiné dans le travail de Guillaume Singelin. Cette lecture a été une expérience inoubliable. Sa relecture, aujourd'hui, est une confirmation : si je ne pouvais emporter que 5 livres pour l'éternité, PTSD serait sans hésiter l'un d'eux. Quand je me plonge dans ces pages, je pleure, de joie ou de tristesse, mais je pleure sincèrement.

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