Beaucoup de blabla pour rien !

Après avoir lu 3 chapitres soit 93 pages, je ne sais toujours pas ou veux nous emmener l'auteur. C'est une succession de description de situations, sans fil rouge et sans but. L'auteur est avare en ce qui concerne la description de ces personnages et j'ai donc eu beaucoup de mal à les intégrer ou les situer.

L’ambiance est sombre, aigri et l'homme n'est que de la chair à canon dans un futur - d'après ce j'ai compris - post-catastrophe bactériologique avec une société et un système totalement corrompu ou la course à l'énergie est ce qui a de plus important.

Cette ambiance ne me dérange pas au contraire mais j'aurais aimé au bout de 90 pages ne serait-ce que le début d'une trame!..

Ce livre est estampillé SF parce-qu'il dans un futur possible mais je trouve qu'il ne le mérite pas malgré tout. C'est un peu trompeur pour celui qui aime Dune, Fondation, Hypérion ou encore "Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques?".

Pour finir sur une note plus positive, la lecture est plutôt fluide ! Cependant, je ne sais pas si j'arriverais à lire un chapitre de plus. :/

Une tragédie poignante !

Au premier abord, ce comics parait complexe, surtout part sa profusion de personnages qui nous sont présentés au fur et à mesure de l'histoire. Il peut être un bon point d'entrée pour l'univers DC Comics.

Comme je le disais, c'est une tragédie et aussi un polar. Pas de bataille cosmique. Chaque personnage est intéressant et à sa propre psychologie. Ce récit n'est pas manichéen, ce n'est pas tout blanc ou tout noir, bon ou mauvais. Cette histoire repose l'éternelle question de "la fin justifie t-elle les moyens ?" Les héros peuvent mal agir et les vilains agir en héros. Quand on est confronté à des choix moraux, qui sait sur le moment quelle réaction on aura?

C'est dur de commenter sans spoiler mais ce comics est un vrai chef-d’œuvre, du même niveau que Watchmen ou V pour Vendetta (pour moi). Un véritable ovni chez DC Comics.

Le dessinateur, Rags Morales est au sommet de son art et le scénariste, Brad Meltzer nous offre une histoire véritablement touchante !

Alors là, je n’ai pas compris… :/

J’ai découvert Killing Joke avec l'édition d'Urban Comics, c.à.d. le 7 Mars 2014 et quand on lit des critiques et éloges perpétuelles sur ce comics, qu’on lit celui-ci et qu’on y trouve rien d’extraordinaire, on me traitera sans doute d’extraterrestre ou d’hérétique.

Lisez ce comics pour l’histoire du Joker et la continuité du batverse, mais je ne peut pas vous conseiller de le lire pour son côté immersif ou la qualité du récit !

L'histoire est bien construite mais la sauce ne prends pas et ma totalement laissé de marbre. :( Et pourtant je suis un immense fan de Watchmen qui est du même auteur (Alan Moore).

Là où ça me rassure, c’est qu’Alan Moore lui-même n’aime pas cette histoire. Au moins là-dessus, on est d’accord !

Il y a peut de scénaristes qui peuvent se targuer d’avoir changé le statu quo du chevalier noir ou simplement apporter une vrai profondeur à celui-ci et tout son univers et ainsi donner une direction à suivre dans le futur. Voilà ce qui est pour moi le panthéon des meilleurs scénaristes que Batman ai eu : Bill Finger, Dennis O’Neill, Grant Morrison, Peter Tomasi et enfin Steve Englehart à qui ont doit le Batman moderne. Et pourtant, la tâche était ardue après le massacre télévisé cartoonesque qu’il a subit dans les années 60…

Délectez-vous devant ces très bonnes intrigues et dites-vous que c’est cet auteur qui à permis à Batman de passer du statut de clown à celui de Dark Detective comme on le connait dans Batman The Animated Serie.

Voilà une histoire qui apporte un vrai vent de fraicheur, qui donne le sourire et qui se dévore en un rien de temps.

J’ai passé un super moment à lire cet ouvrage. Si la première partie « The Gauntlet » est contée à la sauce Year One de Miller elle n’en reste pas moins une bonne histoire et est surtout un prétexte à nous amener directement au reste du récit. Car Robin Year One fait suite directe aux évènements de The Gauntlet. Et là, aux commandes, c’est un trio gagnant qui nous est servit par DC : Scott Beatty, Chuck Dixon (tous les 2 au scénario) et Javier Pulido (aux dessins).

J’adore les dessins de Javier Pulido qui renforcent le côté juvénile et insouciant de Robin et du récit. On y retrouve pas mal de vilains de l’univers Batman (encore heureux me direz-vous) qui font pour certain, parti sans le savoir du fil rouge de l’histoire.

Certains pourront trouver la fin légèrement téléphoné mais elle ne devrait gâcher en rien le plaisir de lire cette magnifique édition de Robin Year One !

De Jeph Loeb et Tim Sale, Amère Victoire est exactement dans la même veine qu’Un Long Halloween (qui est dailleurs sa suite) et est toujours aussi bien raconté et dessiné.

Cette histoire est indispensable à l'univers de Batman surtout parce-qu’on voit comment Dick Grayson alias Robin est arrivé aux côtés de Bruce Wayne / Batman.

L’une des meilleure enquête de Batman par le talentueux Jeph Loeb et non moins talenteux Tim Sale.

Tim Sale sert à merveille l’ambiance de cette histoire par des dessins imposants et iconiques. Les colorisations sont magnifiques elles aussi et sont appuyé par un papier mat qui est parfaitement adapté pour ce genre : polar sombre.

L’histoire est haletante et surtout, on voit la plupart des ennemis de Batman dans cette histoire. Jeph l’a dit lui-même : « Batman à la meilleure galerie de vilain qui soit ! Pourquoi ne pas tous les utiliser au lieu de les prendre un par un ? »

C’est une histoire en 13 numéros (1 par mois) : d’Halloween, jusqu’à l’Halloween suivant ; qui raconte donc les débuts de Batman, de sa collaboration avec James Gordon et le procureur Harvey Dent ou l’on verra plus tard dans ce comics comment il est devenu Double Face.

Ce comics est la principale inspiration du film Batman The Dark Knight de Nolan dont il a reconnu que scénaristiquement, Un Long Halloween était le comics qui avait le plus fort potentiel pour être adapté au cinéma. J’acquiesce et je le remercie ! ^^

L'avis que j'exprime ici est mon ressentit, mes impressions et mes opinions. Libre à vous d’en accorder de l’importance ou pas.

Ce qui représente le mieux Zero Year pour moi, est une pensée que je me suis faite en ayant fini de lire les 12 numéros de Snyder : « Zero Year est à la chronologie de Batman ce qu’Indiana Jones à d’utilité dans les Aventuriers de l’Arche Perdue !.. ». Regardez l’épisode 4 de la saison 7 de The Big Bang Theory et vous comprendrez alors pourquoi.

Etait-il nécessaire de faire une nouvelle origin story de Batman ? Tout comme : était-il nécessaire de faire une suite à The Dark knight Returns en lieu et nom de The Dark Knight Strikes Again ? Brrrr, j’en ai encore la chair de poule…

Avec cet arc en 12 numéros, c’est confirmé ; Scott Snyder est depuis Death of the Family le Joel Schumacher du Comics… J’ai cru à un moment qu’on allait voir apparaitre les fameux tétons du costume de Batman (Georges Clooney) tellement Zero Year était exagérément coloré ! Oo

Pour essayé d’être un minimum objectif, ça serait une bonne histoire si le héros n’était pas Bruce Wayne/Batman et que cette histoire ne se déroulait pas non-plus à Gotham City. Gotham -> gothique !...

Cette trilogie dénature complètement la psychologie des personnages mais aussi l’apparence et l’atmosphère de Gotham elle-même.

Pour moi, Batman c’est pas ça !!!!!

FUYEZ, pauvres fous !

J’ai adoré cette histoire !!!

Je la trouve géniale et extrêmement bien écrite ! Et pourtant, ce n’était pas gagné d’avance en voyant le nom de Geoff Johns estampillé sur la couverture de ce comics qui est le scénariste le plus mainstream et commercial de DC Comics. Force est de constater qu’il a fait un bon boulot ici en basculant quelques statuts-quo et en gardant les codes qui fait de Batman le Batman que j’adore. Geoff apporte un vrai souffle d’air frais et signe ici une nouvelle origine story audacieuse, intéressante et passionnante !

J’attends de voir la suite, si les 2 prochains tomes seront aussi bons que le 1er vu que Batman Earth 1 est annoncé comme étant une trilogie.